Mélodie avait
déménagée en début d'année scolaire dans une nouvelle ville avec
son père après que celui-ci ait divorcé avec la mère de la jeune
femme. Cette dernière avait été inscrite en terminale au lycée du
coin, et elle avait pris à contrecœur le chemin des salles de
classe.
En effet elle
n'avait jamais été attirée par l'école, et donc n'y accordait
aucune attention. Elle passait son temps en classe sur son téléphone
ou à griffonner sur ses cahiers sans prêter la moindre attention à
ce que le professeur en face expliquait. Ses notes étaient donc de
toute évidence plus que moyennes, et les quelques professeurs qui
avaient tenté de la motiver s'étaient heurtés à un mur
d'indifférence.
Un autre des
amusements de Mélodie était de feindre de l'intérêt pour un
garçon qui, plein d'espoirs, se lançait dans une tentative
pitoyable de séduction qu'elle prenait grand plaisir à démolir, de
préférence en public. Et elle ne manquait pas de candidats. Plutôt
grande du haut de ses 1m76, elle laissait pousser depuis des années
ses cheveux bruns qui lui arrivaient maintenant au milieu du dos.
Elle avait de belles formes et savait bien les mettre en valeur afin
d'attirer les regards sur elle.
Elle vivait seule
avec son père qui n'avait jamais réussi à faire preuve d'autorité
avec elle, et il lui passait tous ses caprices depuis son plus jeune
âge. L'école avait beau avoir envoyé de nombreux avis à la
maison, il n'avait jamais réussi à véritablement la disputer et
encore moins à la punir, ce qui la confortait dans son image de
fille intouchable.
Mélodie jeta un
coup d’œil à l'horloge de la classe en poussant un long soupir,
il lui restait encore quinze minutes à supporter les discours de la
Chenant avant de pouvoir enfin se tirer de cet école pourrie. Se
moquant d'être repérée, elle s'empara de ses écouteurs et les
enfila avant de démarrer une de ses musiques préférées sur son
téléphone.
Complètement
coupée du reste du monde, elle fut brusquement ramenée à la
réalité par un coup de baguette sur son bureau qui la fit
sursauter. L'enseignante lui parlait d'un ton visiblement furieux,
mais elle avait toujours la musique dans les oreilles et elle
n'entendait pas un traître mot de ce qu'elle disait, à son plus
grand plaisir. Après quelques secondes, le regard de la professeur
était si noir qu'elle se décida finalement de retirer les écouteurs
d'un geste moqueur.
- Oui, vous
disiez ?
- Vous savez
parfaitement qu'il est strictement interdit d'écouter de la musique
en classe ! Donnez-moi votre téléphone portable, il vous est
confisqué !
La classe autour
d'elles s'était tue, et tous étaient attentifs à ce qui allait
suivre. Nombreux étaient ceux qui espéraient voir Mélodie
sévèrement punie, ceux qu'elle avait violemment rejetés en
première ligne.
- Tu peux toujours
rêver pour que je te le donne !
Madame Chenant
était une femme d'un certain âge à l'allure pincée, allure encore
renforcée par ses petites lunettes perchées sur le bout de son nez.
Ses cheveux noirs étaient regroupés en un chignon lui donnant un
air encore plus autoritaire. Elle s'approcha de Mélodie et d'un
geste rapide s'empara de son bras tenant l'appareil. Cette dernière
tenta de la retirer, mais la prise était trop forte. Elle utilisa
son autre bras pour se dégager, et dans la mêlée elle heurta
l'enseignante à la joue, ce qui fit gicler les lunettes sur le sol.
Le silence se fit
aussitôt et complet. Tous retenaient leur souffle, Mélodie en
première. Elle était persuadée d'être allée trop loin, et
hésitait à s'excuser. Mais elle vit le regard des autres et décida
de jouer la fière jusqu'au bout en éclatant d'un rire qui se coinça
dans sa gorge quand elle vit le regard de Madame Chenant.
- Vous... Vous...
Sous le coup de la
colère, elle semblait incapable d'articuler une phrase complète, et
elle remit sur son nez ses lunettes qu'une élève lui tendait. Avant
que Mélodie ait pu faire ou dire quoi que soit, l'enseignante était
sur elle et l'avait fermement saisie par l'oreille avant de la tirer
vers la porte de sortie.
Jouant bien moins à
la fière désormais, Mélodie suivait l’enseignante, tiraillée
par la douleur de son oreille fermement tenue par l'enseignante
furieuse. Cette dernière la traîna le long des couloirs
heureusement déserts jusqu'à, elle le devina très vite, le bureau
du directeur.
Elles s'arrêtèrent
devant la secrétaire qui comprit immédiatement que l'enseignante
n'était clairement pas d'humeur à patienter et alla immédiatement
chercher son supérieur. Quelques instants plus tard elles étaient
dans le bureau directorial, Mélodie toujours dans sa position
embarrassante
- Je suppose que
vous vous souvenez de Melody Martin, la jeune femme qui a rejoint
l'école en début d'année, et qui a déjà reçu plus d'avis chez
les parents que beaucoup d'étudiants durant toute leur scolarité.
Le regard du
directeur était dur, et il ne semblait pas enclin à la pitié avec
moi.
- Oui, je vois,
pendant que vous me racontez ce qu'elle a fait, laissons ma
secrétaire s'occuper d'elle.
Sans qu'il ne lui
ait donné le moindre ordre, la secrétaire surgit derrière Mélodie
et la traîna à l'extérieur du bureau avant de refermer la porte
derrière elle.
- Ici, lui
spécifia-t-elle avec un petit sourire moqueur, les élèves
convoqués n'ont pas le droit de s'asseoir, ils prennent d'avance une
position de punition, comme ça.
Elle l'approcha
d'une des chaise disposés devant son bureau, la fit s'asseoir à
genoux dessus, face au mur, et lui commanda de mettre ses mains sur
la tête sans dire un mot. Préférant de pas aggraver son cas,
Mélodie obéit sans discuter à ces directives et attendit dans
cette position que madame Chenant ait fini de raconter ses
« exploits » au directeur. Elle espérait juste ne pas
être renvoyée, n'importe quoi d'autre lui irait, mais pas le
renvoi.
Après un temps qui
lui parut interminable, elle entendit la voix du directeur qui
l'appelait dans son bureau. Elle se dépêcha de quitter la position
inconfortable pour entrer le bureau avec une certaine appréhension,
qui ne se calma pas à la vue des regards glaciaux qu'elle y reçut.
- Mademoiselle,
aucune mot ne peut qualifier votre attitude déplorable et
inexcusable d'aujourd'hui, qu'avez-vous à dire pour votre défense ?
- Désolé ?
- Non, c'est loin,
très loin d'être suffisant. Pour ce que vous avez fait, je pourrais
sans aucune difficulté vous renvoyer et faire en sorte qu'aucune
école du pays n'accepte de vous scolariser, ce qui, au vu de votre
motivation au travail, ne devrait pas trop vous déranger, n'est-ce
pas ?
- Non,
s'il-vous-plaît monsieur, pas le renvoi ! N'importe quoi mais
ne me renvoyer pas ! Je travaillerai plus, promis !
Elle semblait
vraiment paniquée. En effet même si elle n'appréciait absolument
pas cette école, elle se rendait bien compte que sans diplôme,
c'était toute sa vie future qui menaçait de s'écouler. Le
directeur soupira, avant d'échanger un regard avec madame Chenant,
qui conservait un air impassible depuis qu'elle était entrée dans
cette pièce.
- Bon, peut-être
que nous pourrions vous laisser une dernière, toute dernière
chance.
Le regard de la
jeune femme s'illumina alors que l'espoir revenait en elle.
- Vous avez
beaucoup de chance que madame Chenant croie qu'on peut toujours
remettre des gens comme vous sur le droit chemin. En ce qui me
concerne, je vous aurais déjà botté les fesses hors de cet
établissement, mais elle tient à vous remettre dans le chemin des
études et du travail. J'espère que vous lui en êtes
reconnaissante !
Elle se retourna
vers l'enseignante et balbutia des excuses et des remerciements d'un
air gêné.
- Je ne crois pas
une seconde que vous êtes désolée, sa voix claquait comme un
fouet.
- En effet, ce ne
sont pas vos paroles qui nous intéressent. Votre punition sera la
suivante : à partir de ce mercredi et tous les mercredis à
suivre pour le restant de l'année, vous passerez vos après-midis en
retenue avec madame Chenant pour que vous rattrapiez tous les travaux
que vous n'avez pas fait durant l'année, et ne vous inquiétez pas
si vous finissez avant la fin de l'année, car nous avons largement
de quoi vous occuper. Et tous les midis après les repas vous
resterez pour aider à ranger la salle et à faire la vaisselle
durant votre temps de pause. Il n'est plus question de faire preuve
de la moindre tolérance à votre égard. Ceci est votre toute
dernière chance, et vous avez intérêt à en prendre soin.
D'accord ?
La sanction lui fit
un coup au cœur, mais elle estimait s'en être bien sortie malgré
tout, compte tenu de ce qui lui était reproché.
- Je veux que les
choses soient bien claires, vous devez cette chance uniquement à la
bonté de madame Chenant, et durant ces retenues toute demande
qu'elle vous fera aura valeur de parole divine pour vous. À la
moindre désobéissance au moindre de ses ordres, c'est l'expulsion
immédiate.
Mélodie hocha
rapidement la tête, pressée de quitter ce bureau à l'atmosphère
oppressante pour rentrer chez elle et aller devant l'ordinateur. Une
fois qu'elle eut reçu l'autorisation de quitter les lieux, elle ne
se fit pas prier pour battre en retraite.
Après cet
incident, la vie reprit presque son cours normal, à ce détail près
que Mélodie prêtait beaucoup plus attention en cours, en tout cas à
ceux donnés par madame Chenant. Quand mercredi pointa le bout de son
nez, elle eut quand même le cœur lourd à l'idée de passer tout
son après-midi libre à l'école en retenue, et poussa un soupir
déchirant en imaginant qu'elle vivrait cette situation toutes les
semaines pendant le reste de l'année.
Les retenues
commençaient habituellement à 13:45, mais madame Chenant lui avait
demandée d'arriver plus tôt, à 12:30, pour une raison qu'elle
n'avait pas voulu lui dire. Mais Mélodie avait bien évidemment
quitté la maison trop tard, et arrive donc à a retenue sur les
coups de 13:00.
Anxieuse, elle
passa la porte et vit l'enseignante assise à son bureau, devant la
salle de classe déserte. L'étudiante portait l'habit réglementaire
de l'école, à savoir une jupe légère noire arrivant un peu
au-dessus des genoux et un chemisier blanc. Elle avait complété le
tout d'une paire de baskets et de chaussettes rouges.
- Vous devez le
faire exprès... vous étiez déjà dans de gros problèmes, et vous
décidez d'arriver à votre retenu avec 30 minutes de retard ?
Mélodie se lança
dans une explication compliquée de ce qui pouvait expliquer son
retard, mais elle fut arrêtée immédiatement par un signe de madame
Chenant.
- Je me moque de ce
que vous avez à dire, c'est vous qui allez m'écouter. Voyez-vous
j'ai réfléchi au moyen de vous faire comprendre que vous n'êtes
pas la petite princesse inatteignable que vous pensez être, et j'ai
appelé votre père pour essayer d'en savoir plus. Il m'a rapidement
avoué n'avoir jamais su comment vous punir quand vous faisais des
bêtises, ce qui explique le résultat désastreux que vous êtes
aujourd'hui ! Qu'en pensez-vous ?
- Je... je ne sais
pas madame, répondit-elle prudemment, ne tenant absolument pas à la
fâcher encore plus.
- Et donc quand je
lui ai proposé de m'occuper de vos sanctions afin de vous apprendre
la discipline, il m'a aussitôt donné son accord total à tout ce
que je pourrais juger bon pour vous. Et vous étiez présente quand
le directeur a dit de même. Ici même, jeune fille, vous allez
apprendre le respect et la discipline !
Mélodie commençait
sérieusement à paniquer. Elle sentait bien que l'enseignante avait
quelque chose en réserve qui n'allait définitivement pas lui
plaire, mais comme elle l'avait si bien soulignée, elle ne pouvais
absolument rien faire, encore moins maintenant qu'elle savait que son
père était totalement d'accord avec la sanction.
Madame Chenant se
leva alors et, tirant sa chaise derrière elle, dépassa son bureau
et se posa juste à côté. Assise sur sa chaise, elle regarda trop
calmement la jeune femme pour que ce ne soit pas effrayant.
- Approchez, et
couchez-vous en travers de mes genoux pour que votre punition puisse
commencer !
Horrifiée à
l'idée de ce qu'elle venait de comprendre, Mélodie recula de
quelques pas.
- Jamais !
Vous êtes complètement folle !
- Tiens tiens, vous
dites que vous êtes prête à tout pour ne pas être renvoyée, et
dès le premier ordre vous redevenez irrespectueuse ! Vous
préférez peut-être que la punition se fasse devant vos camarades
de retenue ?
Paniquée, la jeune
femme se rapprocha alors de la professeur, et espérant que ce serait
bientôt fini, se coucha en travers de ses genoux, non sans ressentir
un profonde honte. Elle sentit sa jupe remonter légèrement quand
elle se pencha, et elle ferma les yeux en attendant la première
claque, qui ne tarda pas à arriver.
- Il semblerait que
la liste des choses pour lesquelles vous méritez d'être punie et
assez longue, n'est-ce pas ?
Elle claquait à un
rythme régulier, alternant entre chaque fesse et en y mettant une
force impressionnante pour sa carrure. Essayant de conserver le peu
de digité qu'il lui restait, Mélodie retint tout cri de douleur qui
aurait pu s'échapper de ses lèvres. Elle tenta de compter le nombre
de claques, et après une cinquantaine de ce régime, elle sentit à
son grand désespoir sa jupe être relevée, action qui fut
immédiatement suivie d'une exclamation d'indignation.
- Mais qu'est-ce
que c'est que ça !
- Ma... ma
culotte ?
- Une culotte en
dentelle noire ! Contraire au règlement ! Et elles doivent
couvrir toutes les fesses, toutes !
Tout en disant ces
mots, elle promenait ses doigts sur la surface non recouverte par le
sous-vêtement qui était très loin d'être négligeable. Ce n'était
pas que Mélodie avait voulu jouer la provocatrice, c'était qu'elle
n'avait aucun autre type de sous-vêtement que ceux-ci, et qu'elle
n'aurait jamais pensé que sa retenue impliquerait ce genre de
manœuvre !
- Vous n'avez
vraiment aucun respect pour cette école, n'est-ce pas ? Clama
madame Chenant tout en relevant encore plus la jupe. Ajoutons cela à
la liste de vos torts !
Et la fessée
reprit, encore plus fortement que la précédente. La protection
apportée par la jupe avait disparue, et ce n'était pas sa petite
culotte qui allait la protéger des chocs répétés de la main de
l'enseignante sur ses fesses qui avaient déjà prise une teinte
rosée. Il lui semblait aussi qu'elle distribuait les claques de
manière bien plus forte qu'avant.
Sans s'en rendre
compte, ses jambes commençaient à tressauter sous la douleur des
claques et elle glissait le long des cuisses de l'enseignante, ce qui
la forçait à l'attraper par les hanche pour la remettre en
position. Mélodie tenta bien de compter les claques, mais il y en
avait trop, et la douleur était de plus en plus présente, si bien
qu'elle ne pouvait retenir un petit cri de douleur de temps en temps.
Au fur et à mesure
que les claques s'enchaînaient, elle commençait à gigoter de plus
en plus, ce qui forçait madame Chenant à la replacer de plus en
plus souvent alors que les claques ne s'interrompaient que pour
permettre à l'enseignante de faire des remarques à la punie sur son
attitude déplorable au fil de l'année et sur la travail qu'elle
devrait faire sur son comportement. Chaque mot était ponctué d'une
claque plus forte que les autres qui lui arrachait un cri de douleur
à chaque fois, et elle devait à la fin de chaque phrase signifier
son assentiment à propos de ce que venait de dire la professeur.
Malgré sa culotte
elle savait bien que ses gigotement de jambes en dévoilait
certainement beaucoup, et elle remercia presque madame Chenant
d'avoir procédé à la punition avant l'arrivée des autres élèves.
Finalement, une
dernière claque sonna dans la salle, puis le silence se fit. Mélodie
avait perdu le compte, mais une bonne centaine de claques avaient été
données sur son fessier protégé uniquement par sa culotte noire.
- Levez-vous.
L'ordre claqua
comme un fouet, et Mélodie obéit sans attendre, tout en frottant
ses fesses douloureuses.
- Prenez
l'instrument qui se trouve dans le premier tiroir de mon bureau et
donnez-le moi.
Anxieuse à l'idée
de ce qu'elle allait y trouver, Mélodie s'avança vers le tiroir et
l'ouvrit d'une main tremblante. Ce qu'elle y trouva faillit lui faire
tourner les talons et partir en courant, mais elle prit sur elle et
s'empara de la strap qui y était déposée. L'instrument était
composé d'un court manche et d'une lanière de cuir d'environ 30
centimètres. Une fois qu'elle ait tendu l'instrument à madame
Chenant, Mélodie n'eut pas besoin de son commandement pour deviner
qu'elle devrait se recoucher en travers de ses genoux.
Puis la fessée
reprit juste après que l'enseignante ait relevée la jupe qui
s'était rabaissée durant son déplacement. L'instrument claquait
sur ses fesses avec bien plus de force que les mains de la
professeur, et la douleur se fit clairement ressentir dès les
premières claques, lui arrachant des petits cris pitoyables, même
pour elle.
Madame Chenant tira
alors la culotte vers le haut, pour dévoiler l'entièreté du
fessier, ce qui lui permit de le rougir à son tour.
Sans doute fatiguée
des petits cris de douleur de la punie, l'enseignante prit la parole.
- Je vous conseille
fortement de rester silencieuse, et de cesser de remuer ridiculement
vos jambes de la sorte.
Voulant éviter au
mieux sa colère, Mélodie fit de son mieux mais elle ne pouvait pas
retenir un petit soubresaut après chaque claque, mais elle tenta
tant bien que mal de retenir tout ses cris afin de rester la plus
silencieuse possible.
Mais après une
quarantaine de claques de la sorte, elle n'y tenait plus et des
gémissements de douleur difficilement retenus s'échappaient
régulièrement alors que la douleur devenait de plus en plus forte.
L'enseignante
s'arrêta alors et frotta quelques secondes les fesses de la punie
comme pour soulager la douleur.
- Es-ce que vous
avez mal ?
- O...Oui...
madame.
Deux forts coupe de
strap la prirent au dépourvu et lui arrachèrent un petit cri de
douleur.
- Bien, parce que
ça va bientôt être bien pire, vous m'avez entendu ? Ça va
être bien pire ! Ce n'est que le commencement pour vous !
Et les coups de
strap recommencèrent, toujours aussi douloureux. Elle continua de
parler tout en entrecoupant chaque mot d'un coup.
- J'ai tout
l'après-midi à vous consacrer pour vous faire comprendre ce que
j'ai à vous dire. Nous verrons bien si vous allez le comprendre !
Elle conclut son
travail de quelques derniers coups de strap plus forts que les
autres, avant de s'arrêter.
- Levez-vous, lui
dit-elle pour la seconde fois.
Une fois qu'elle
eut obéi, madame Chenant se leva à son tour et la conduit vers le
bureau du professeur.
- Penchez-vous sur
le coin de la table.
Tentant d'ignorer
la douleur sourde de ses fesses, elle s'approcha de la table et se
pencha comme ordonné. Elle déposa sa tête sur la surface chaude du
bois et attendit.
Suite à un rappel
cinglant, elle serra les jambes et les redressa, avant de sentir le
souffle chaud de l'enseignante se pencher derrière elle. Elle sentit
la chose arriver, mais elle ne put rien faire quand madame Chenant
s'empara de sa culotte de dentelle pour la faire descendre rapidement
le long de ses cuisses. Elle ne s'arrêta pas aux chevilles et les
lui fit lever une après l'autre pour la lui retirer complètement,
avant de la déposer sur la chaise ayant précédemment servi à la
fessée.
- Tenez, nous
sommes en retard, il est déjà 13:50 ! peut-être que si vous
aviez été à l'heure, votre fessée serait resté entre nous, mais
au vu de votre retard, je dois faire entrer les élèves qui sont en
retenue cet après-midi.
Mélodie tenta de
se relever pour protester, mais un puissant coup de strap sur les
fesses suffit à lui faire reprendre sa position originelle.
Sa tête était
penchée en direction de la porte de la salle. Ne voulant pas voir
les visages de ceux qui la détailleraient ainsi à moitié dénudée,
elle voulut détourner le regard mais madame Chenant avait une autre
idée sur la question. Elle s'approcha et lui retourna de nouveau le
visage vers la porte.
- Vous n'en
détournerez pas les yeux. Parmi ceux qui passeront sous peu cette
porte, il y aura des gens de votre classe, des élèves plus jeunes
et sans doute plusieurs que vous avez rejeté. Oui, j'ai entendu
parler de votre manie d'humilier les garçons. Il semblerait que le
karma fasse bien les choses finalement !
En effet, quand la
porte s'ouvrit elle reconnut plusieurs des personnes qui attendaient
devant. Il y en avait trois qu'elle avait violemment rejetés, ainsi
que plusieurs élèves bien plus jeunes qu'elle. Ils furent au total
une dizaine à passer le cadre de porte.
En entrant dans la
salle, tous furent plus que surpris de voir une élève de terminale
la jupe relevée et sans culotte penchée sur le bureau du
professeur, et avec les fesses bien rougies.
Ceux de sa classe
firent rapidement le rapprochement et se firent un plaisir de
raconter les événements aux autres, et bientôt les commentaires
railleurs fusèrent à son encontre. Elle avait beau serrer les
jambes au maximum, elle ne pouvait pas tout dissimiler et elle le
savait. La honte mêlée à la douleur de la précédente fessée lui
firent monter les larmes aux yeux.
Madame Chenant
laissa ainsi les élèves s'amuser quelques instants, puis frappa
dans ses mains pour attirer l'attention de tous.
- Mademoiselle
Martin ici présente est punie pour son comportement déplorable au
sein de notre établissement. Installez-vous un par banc, comme
d'habitude.
Mais contrairement
aux habitudes, cette fois-ci tous les banc du premier rang furent
occupés en quelques secondes à peine, et personne ne s'installa au
fond de la classe pour discuter tranquillement. Beaucoup auraient
certainement voulu que la fessée ait été donnée devant eux, et
ils furent aux anges à la suite de la déclaration de l'enseignante.
- Ne nous inquiétez
pas, vous aurez l'occasion de les voir rougir bien plus ces petites
fesses ingrates ! Elle n'est pas prête de les cacher
celles-là !
Elle se mit sur le
côté afin que tous aient une pleine vue sur les fesses de la punie,
et donna les premiers coups de strap avec force, tout en continuant
de parler, m'arrachant des gémissements de douleur que je ne pus
retenir.
- Vous qui êtes en
retenue, je veux que vous vous rendiez bien compte de ce qui peut
vous arriver si vous suivez son chemin, et je ne peux que vous
enjoindre à ne pas suivre son exemple, à moins que vus ne vouliez
finir dans la même position !
Puis la « vraie »
fessée débuta sous les yeux ébahis des spectateurs. Chaque coup de
la strap lui occasionnaient un petit sursaut de douleur, ce qui avait
pour effet involontaire de dévoiler un peu plus son sexe aux yeux
très attentifs de l'auditoire.
Finalement Madame
Chenant intervint de nouveau.
- Gardez vos jambes
tendues et droites. Acceptez votre punition proprement au moins.
Les coups étaient
lents, mais donnés avec plus de force que tous ceux précédents, et
à chaque fois elle dut retenir le cri de douleur qui voulait
s'échapper de ses lèvres, parvenant difficilement à les
transformer en petits gémissements.
Une trentaine de
coups s’enchaînèrent ainsi dans la douleur. L'enseignante
s'arrêta alors et reprit la parole.
- Et je suppose que
vous avez compris que c'est ici, avec moi, que vous ferez toutes vos
futures retenues pour le restant de l'année ?
- O...Oui.
- Et que nous
pourrons avoir encore de nombreuses discussions dans ce genre.
Derrière elle, les
regard que s'échangeaient l'assistance étaient sans appel, le
retenue du mercredi après-midi serait sans aucun doute extrêmement
populaire à l'avenir !
- les choses ne
vont pas être faciles pour vous durant le reste de votre scolarité !
Si vous voulez rester ici, c'est comme ça que les choses vont se
passer désormais ! Vous m'avez bien comprise ?
- Oui.
- Maintenant,
redressez-vous.
Une fois qu'elle
eut obéi, elle crut qu'elle rêvait quand elle entendit le prochain
ordre.
- Maintenant ôtez
vos vêtements.
Elle ne semblait
pas être la seule à ne pas y croire, au vu des murmures qui
s'étaient élevés derrière elle après cette annonce.
- M... mais... vous
n'avez pas le droit !
- Ne vous avisez
pas de tenter de me dire ce que j'ai ou ne j'ai pas le droit de
faire ! En ce moment j'ai tous les droits sur vous, et si vous
possédez ne serais-ce qu'une once d'intelligence, vous obéirez sans
attendre et vous retirerez vos vêtements !
Peut importe les
regard suppliants qu'elle lui offrit, l'enseignante était
intraitable, et le son de la strap dans sa main la décida à obéir
sans plus attendre, mais avant qu'elle ne puisse commencer, madame
Chenant la saisit par les épaules et la retourna vers la classe.
- Faites donc
profiter vos camarades de cette expérience enrichissante !
Tout en tentant de
retenir ses larmes de honte, Mélodie déboutonna son chemisier avant
de le laisser tomber par terre. L'enseignante la fit alors se baisser
pou le ramasser, le plier soigneusement et de le déposer sur la
chaise où sa culotte reposait déjà. Puis elle défit l'attache de
son soutien-gorge et le fit glisser le long de ses bras avant de le
retirer et de le déposer avec son chemisier.
La vision de ces
seins à la fois imposants et bien fermes fit monter l'excitation
générale de la pièce de plusieurs crans, si ce n'est de plusieurs
degrés.
Finalement, elle
fit glisser sa jupe le long de ses jambes, puis pour éviter d'en
dévoiler plus que nécessaire décida de se pencher tout en cachant
sa touffe d'une main pour la ramasser. Mais elle ne pouvait pas la
plier d'une seule main, et elle fut donc forcée de dévoiler son
intimité aux regards le temps de déposer la jupe avec le reste de
ses habits. Sur un geste de l'enseignante, elle compris que ce
n'étais pas fini, et elle retira donc également ses chaussures et
chaussettes.
Tentant de ne pas
penser au fait qu'elle était maintenant entièrement nue au milieu
d'une dizaine de personnes qui ne rataient sans doute aucune partie
de son anatomie dont elle était pourtant si fière, elle se protégea
la poitrine d'une main et sa toison de l'autre, mais madame Chenant
ne comptait pas la laisser s'en tirer à si bon compte et la força à
laisser ses bras le long de son corps, permettant aux élèves de la
détailler dans ses moindre contours.
Une fois que la
professeur eut jugé qu'ils en avaient assez vu, elle reprit la
parole.
- Revenez vers la
table, et asseyez-vous dessus.
Totalement
anéantie, Mélodie obéit sans réfléchir et se retrouva dans la
position demandée. Puis l'enseignante la poussa contre la table, la
mettant en position couchée, avant de relever ses jambes jusqu'à
former un angle droit. Puis elle lui interdit de se tenir à l'aide
de ses mains qui devraient rester collées à la table en toutes
circonstances.
Si il y avait une
petite partie de son anatomie qui n'avait pas encore été
complètement dévoilée, c'était maintenant chose faite. Ses lèvres
étaient parfaitement visibles et personne dans l'assemblée ne se
gêna pour la détailler pendant que madame Chenant se plaçait pour
continuer la fessée.
Mélodie réussit à
tenir pendant une dizaine de coups de strap, avant que ses jambes ne
commencent à être parcourues de soubresauts et que finalement
l'enseignante soit obligée de venir les tenir elle-même afin
qu'elles ne gênent pas son travail.
- Je suppose que
vous savez que tout le monde dans cette salle a une parfaite vue sur
tout ce que vous avez à montrer. Si ça peut vous rassurer, ceci est
loin d'être la dernière fois que vous montrerez tout ça. À partir
de la semaine prochaine, vous arriverez à 14 heures, entièrement
nue et prête à recevoir votre punition, d'accord ?
Un coup plus fort
que les autres ponctua cette question, ce qui fit que ma réponse fut
noyée dans un cri de douleur.
Elle lui donna
alors une dernière série de coups, mois forts mais beaucoup plus
rapides qui la firent se tordre de douleur alors même qu'elle
tentait de garder la position prescrite par l'enseignante.
- Vous pouvez
redescendre vos jambes.
Tout en priant pour
que ce soit enfin fini, Mélodie obéit tout en essuyant discrètement
les larmes qui perlaient sous ses yeux.
- Retournez-vous et
allongez-vous sur le ventre.
La demande était
étrange, mais la jeune femme y obéit et en profita pour camoufler
ses seins de ses bras. Les élèves ne la voyaient maintenant que de
profil, et plusieurs en étaient déçus.
Madame Chenant
reprit sa strap et l'abattit une première fois sur les fesses déjà
bien rouges, tout en reprenant la parole.
- Qu'est-ce que je
vais bien faire de vous, Melody ? Qu'est-ce que cela va
demander ? Juste quelques coups de strap, un peu de discipline ?
Chaque mot était
entrecoupé d'un coup de strap extrêmement douloureux.
- Non non non je ne
pense pas, cela va demander beaucoup plus que ça n'est-pas ?
Les coups
s'enchaînèrent alors à un rythme infernal, à un tel point que
quand elle s'arrêta et reposa la strap à côté d'elle, Mélodie
continuait d'être parcourue de soubresauts et de s'agiter
inconsciemment.
- Maintenant que
vos fesses sont bien chauffées, commença-t-elle en s'emparant cette
fois d'une fine baguette de bois, nous pouvons passer à la meilleure
partie.
Elle frappa
quelques fois dans le vide, puis sans prévenir frappa les fesses de
la punie deux fois de suite. La sensation de brûlure qu'elle
ressentit était sans commune mesure avec celle de la strap, et
inconsciemment elle avait redressée ses jambes.
Une pression de la
baguette les fit redescendre, puis un nouveau coup s'abattit. Ses
jambes se redressèrent, son ventre décolla de la table en offrant
une magnifique vision de ses seins ballottant aux élèves et elle
poussa un cri déchirant de douleur.
- Non, ça ne
fonctionnera pas comme ça !
Elle sembla
réfléchir quelques secondes qui s'approcha de la chaise sur
laquelle ses vêtements étaient bien pliés. Elle s'empara de la
culotte, et s'approcha du visage de l'étudiante.
- Une belle petite
culotte sale pour vous faire taire ! De toute façon vous ne
devriez pas les porter, n'est-ce pas ?
Puis lui ouvrant la
bouche d'une main elle enfonça la culotte dedans de l'autre.
Totalement soumise, elle se laissa faire sans réagir.
Puis les coups de
baguette reprirent. La douleur était toujours aussi horrible, mais
ses cris de douleur étaient en majeure partie absorbés par le
sous-vêtement, les transformant en petits gémissements.
- Toutes les
semaines vous allez vous retrouver ici avec moi ! Il faudra vous
y habituer, et pourquoi pas commencer à aimer ça...
Mais à chaque coup
son ventre décollait et ses jambes se soulevaient, si bien qu'elle
finit par les immobiliser d'une main pendant que de l'autre elle
continuait l'horrible punition.
- Tu seras ma
propre assistante personnelle, lui murmura-t-elle à l'oreille de
sorte que personne dans la salle ne l'entende. Tu m'appartiens
maintenant, puisque je suis... quel est le terme déjà ? Ah
oui, ta tutrice privée. Je sens qu'on va bien s'amuser toi et moi.
Le coups devinrent
de plus en plus rapide, et Mélodie gigotait dans tous les sens en
poussant de véritables cris de douleurs difficilement amoindris par
son bâillon de fortune. Finalement l'enseignante fit une pause qui
laissa la punie pantoise et essoufflée.
- Laisse-moi te
regarder, commença-t-elle en repoussant ses long cheveux qui étaient
tombés totalement en désordre devant son visage.
- Cela faisait
longtemps que je n'avais pas eu un visage aussi pitoyable devant moi.
Est-ce que j'ai ton attention maintenant, où faut-il que je te donne
quelques coups de canne de plus pour être être sûre ?
La jeune femme
hochait frénétiquement la tête, tout pour que les horribles coups
de baguette qui étaient comme une brûlure dans la peau.
- Ce n'est plus une
blague et je ne suis pas en train de m'amuser !
Elle reprit sa
canne et le prochain coup fut si fort que Mélodie se redressa comme
un ressort, presque à quatre pattes sur le bureau, faisant bouger
ses seins d'une manière des plus agréables aux yeux des spectateurs
attentifs.
Puis ce fut une
véritable avalanche de coups qui s'abattit, non plus sur les fesses,
mais sur les cuisses de la pauvre victime. N'étant plus retenue par
l'enseignante elle commença réellement à gigoter dans tous les
sens, jusqu'à terminer sur le côté, en position fœtale, faisant
face aux élèves en retenue tout en sanglotant ouvertement.
- Relevez-vous
medemoiselle, que nous puissions juger de l'état de ces fesses !
Obéissant tant
bien que mal aux ordres, Mélodie se redressa et se retrouva de
nouveau debout devant la salle de classe. Elle fut de nouveau penchée
sur la table, présentant ses fesses aux élèves et à
l'enseignante. Déjà bien rougies avec la strap, les coups de canne
avaient laissées des fines zébrures qui parsemaient ses fesses et
ses cuisses.
Du pied, madame
Chenant l'incita à écarter les jambes, ce que totalement matée
elle fit sans hésiter, afin qu'elle puisse constater les résultats
de son travail. après cela, elle tâta de nouveau ses fesses, face à
la classe, n'hésitant pas à les écarter pour pleinement admirer le
résultat. Satisfaite d'elle-même, elle conclut d'une forte claque
sur chaque fesse, avant de lui permettre de se relever et de retirer
la culotte mouillée de sa bouche.
- Puisque je suis
généreuse, je ne vais pas vous forcer à vous asseoir, mais vous
allez maintenant faire ce pourquoi vous êtes ici, travailler. vous
allez faire la liste d'exercices que je vais vous donner au tableau,
en silence, et quand vous aurez finie vous viendrez vous remettre en
position, penchée sur le coin du bureau, toujours sans dire un mot.
Puis je corrigerai l'exercice, et à chaque erreur que je repérerais,
vous aurez droit à... disons trois coups de baguette en bois, et
entre chaque coup vous me remercierez pour ce que fais pour vous,
d'accord ?
C'est ainsi que
Mélodie passa le pire après-midi de sa vie, et que les autres
étudiants passèrent la meilleure retenue de leur vie, tout en se
promettant de faire leur possible pour être de nouveau présent la
semaine prochaine. En attendant, ils travaillaient fort peu, tout
occupés à observer la jeune femme nue qui se promenait devant eux
tout en traçant des figures au tableau, avant de sagement se mettre
dans la position demandée et de, bien souvent, recevoir une
humiliante fessée entrecoupée de ses pleurs et de ses remerciements
pour sa tortionnaire.
Mélodie savait
qu'elle était loin, très loin d'en avoir finie, surtout que juste
avant qu'elle ne quitte la salle, ayant finalement récupérée ses
vêtements, madame Chenant lui apprit qu'elle aurait également des
cours particuliers avec elle pendant les vacances d'été, et qu'il y
avait de bonnes chances pour que leurs leçons se poursuivent même
après cette année. Elles allaient passer beaucoup de temps
ensemble, ça c'était sûr et certain.
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