mercredi 8 octobre 2014

Punition scolaire

Mélodie avait déménagée en début d'année scolaire dans une nouvelle ville avec son père après que celui-ci ait divorcé avec la mère de la jeune femme. Cette dernière avait été inscrite en terminale au lycée du coin, et elle avait pris à contrecœur le chemin des salles de classe.
En effet elle n'avait jamais été attirée par l'école, et donc n'y accordait aucune attention. Elle passait son temps en classe sur son téléphone ou à griffonner sur ses cahiers sans prêter la moindre attention à ce que le professeur en face expliquait. Ses notes étaient donc de toute évidence plus que moyennes, et les quelques professeurs qui avaient tenté de la motiver s'étaient heurtés à un mur d'indifférence.
Un autre des amusements de Mélodie était de feindre de l'intérêt pour un garçon qui, plein d'espoirs, se lançait dans une tentative pitoyable de séduction qu'elle prenait grand plaisir à démolir, de préférence en public. Et elle ne manquait pas de candidats. Plutôt grande du haut de ses 1m76, elle laissait pousser depuis des années ses cheveux bruns qui lui arrivaient maintenant au milieu du dos. Elle avait de belles formes et savait bien les mettre en valeur afin d'attirer les regards sur elle.
Elle vivait seule avec son père qui n'avait jamais réussi à faire preuve d'autorité avec elle, et il lui passait tous ses caprices depuis son plus jeune âge. L'école avait beau avoir envoyé de nombreux avis à la maison, il n'avait jamais réussi à véritablement la disputer et encore moins à la punir, ce qui la confortait dans son image de fille intouchable.
Mélodie jeta un coup d’œil à l'horloge de la classe en poussant un long soupir, il lui restait encore quinze minutes à supporter les discours de la Chenant avant de pouvoir enfin se tirer de cet école pourrie. Se moquant d'être repérée, elle s'empara de ses écouteurs et les enfila avant de démarrer une de ses musiques préférées sur son téléphone.
Complètement coupée du reste du monde, elle fut brusquement ramenée à la réalité par un coup de baguette sur son bureau qui la fit sursauter. L'enseignante lui parlait d'un ton visiblement furieux, mais elle avait toujours la musique dans les oreilles et elle n'entendait pas un traître mot de ce qu'elle disait, à son plus grand plaisir. Après quelques secondes, le regard de la professeur était si noir qu'elle se décida finalement de retirer les écouteurs d'un geste moqueur.
- Oui, vous disiez ?
- Vous savez parfaitement qu'il est strictement interdit d'écouter de la musique en classe ! Donnez-moi votre téléphone portable, il vous est confisqué !
La classe autour d'elles s'était tue, et tous étaient attentifs à ce qui allait suivre. Nombreux étaient ceux qui espéraient voir Mélodie sévèrement punie, ceux qu'elle avait violemment rejetés en première ligne.
- Tu peux toujours rêver pour que je te le donne !
Madame Chenant était une femme d'un certain âge à l'allure pincée, allure encore renforcée par ses petites lunettes perchées sur le bout de son nez. Ses cheveux noirs étaient regroupés en un chignon lui donnant un air encore plus autoritaire. Elle s'approcha de Mélodie et d'un geste rapide s'empara de son bras tenant l'appareil. Cette dernière tenta de la retirer, mais la prise était trop forte. Elle utilisa son autre bras pour se dégager, et dans la mêlée elle heurta l'enseignante à la joue, ce qui fit gicler les lunettes sur le sol.
Le silence se fit aussitôt et complet. Tous retenaient leur souffle, Mélodie en première. Elle était persuadée d'être allée trop loin, et hésitait à s'excuser. Mais elle vit le regard des autres et décida de jouer la fière jusqu'au bout en éclatant d'un rire qui se coinça dans sa gorge quand elle vit le regard de Madame Chenant.
- Vous... Vous...
Sous le coup de la colère, elle semblait incapable d'articuler une phrase complète, et elle remit sur son nez ses lunettes qu'une élève lui tendait. Avant que Mélodie ait pu faire ou dire quoi que soit, l'enseignante était sur elle et l'avait fermement saisie par l'oreille avant de la tirer vers la porte de sortie.
Jouant bien moins à la fière désormais, Mélodie suivait l’enseignante, tiraillée par la douleur de son oreille fermement tenue par l'enseignante furieuse. Cette dernière la traîna le long des couloirs heureusement déserts jusqu'à, elle le devina très vite, le bureau du directeur.
Elles s'arrêtèrent devant la secrétaire qui comprit immédiatement que l'enseignante n'était clairement pas d'humeur à patienter et alla immédiatement chercher son supérieur. Quelques instants plus tard elles étaient dans le bureau directorial, Mélodie toujours dans sa position embarrassante
- Je suppose que vous vous souvenez de Melody Martin, la jeune femme qui a rejoint l'école en début d'année, et qui a déjà reçu plus d'avis chez les parents que beaucoup d'étudiants durant toute leur scolarité.
Le regard du directeur était dur, et il ne semblait pas enclin à la pitié avec moi.
- Oui, je vois, pendant que vous me racontez ce qu'elle a fait, laissons ma secrétaire s'occuper d'elle.
Sans qu'il ne lui ait donné le moindre ordre, la secrétaire surgit derrière Mélodie et la traîna à l'extérieur du bureau avant de refermer la porte derrière elle.
- Ici, lui spécifia-t-elle avec un petit sourire moqueur, les élèves convoqués n'ont pas le droit de s'asseoir, ils prennent d'avance une position de punition, comme ça.
Elle l'approcha d'une des chaise disposés devant son bureau, la fit s'asseoir à genoux dessus, face au mur, et lui commanda de mettre ses mains sur la tête sans dire un mot. Préférant de pas aggraver son cas, Mélodie obéit sans discuter à ces directives et attendit dans cette position que madame Chenant ait fini de raconter ses « exploits » au directeur. Elle espérait juste ne pas être renvoyée, n'importe quoi d'autre lui irait, mais pas le renvoi.
Après un temps qui lui parut interminable, elle entendit la voix du directeur qui l'appelait dans son bureau. Elle se dépêcha de quitter la position inconfortable pour entrer le bureau avec une certaine appréhension, qui ne se calma pas à la vue des regards glaciaux qu'elle y reçut.
- Mademoiselle, aucune mot ne peut qualifier votre attitude déplorable et inexcusable d'aujourd'hui, qu'avez-vous à dire pour votre défense ?
- Désolé ?
- Non, c'est loin, très loin d'être suffisant. Pour ce que vous avez fait, je pourrais sans aucune difficulté vous renvoyer et faire en sorte qu'aucune école du pays n'accepte de vous scolariser, ce qui, au vu de votre motivation au travail, ne devrait pas trop vous déranger, n'est-ce pas ?
- Non, s'il-vous-plaît monsieur, pas le renvoi ! N'importe quoi mais ne me renvoyer pas ! Je travaillerai plus, promis !
Elle semblait vraiment paniquée. En effet même si elle n'appréciait absolument pas cette école, elle se rendait bien compte que sans diplôme, c'était toute sa vie future qui menaçait de s'écouler. Le directeur soupira, avant d'échanger un regard avec madame Chenant, qui conservait un air impassible depuis qu'elle était entrée dans cette pièce.
- Bon, peut-être que nous pourrions vous laisser une dernière, toute dernière chance.
Le regard de la jeune femme s'illumina alors que l'espoir revenait en elle.
- Vous avez beaucoup de chance que madame Chenant croie qu'on peut toujours remettre des gens comme vous sur le droit chemin. En ce qui me concerne, je vous aurais déjà botté les fesses hors de cet établissement, mais elle tient à vous remettre dans le chemin des études et du travail. J'espère que vous lui en êtes reconnaissante !
Elle se retourna vers l'enseignante et balbutia des excuses et des remerciements d'un air gêné.
- Je ne crois pas une seconde que vous êtes désolée, sa voix claquait comme un fouet.
- En effet, ce ne sont pas vos paroles qui nous intéressent. Votre punition sera la suivante : à partir de ce mercredi et tous les mercredis à suivre pour le restant de l'année, vous passerez vos après-midis en retenue avec madame Chenant pour que vous rattrapiez tous les travaux que vous n'avez pas fait durant l'année, et ne vous inquiétez pas si vous finissez avant la fin de l'année, car nous avons largement de quoi vous occuper. Et tous les midis après les repas vous resterez pour aider à ranger la salle et à faire la vaisselle durant votre temps de pause. Il n'est plus question de faire preuve de la moindre tolérance à votre égard. Ceci est votre toute dernière chance, et vous avez intérêt à en prendre soin. D'accord ?
La sanction lui fit un coup au cœur, mais elle estimait s'en être bien sortie malgré tout, compte tenu de ce qui lui était reproché.
- Je veux que les choses soient bien claires, vous devez cette chance uniquement à la bonté de madame Chenant, et durant ces retenues toute demande qu'elle vous fera aura valeur de parole divine pour vous. À la moindre désobéissance au moindre de ses ordres, c'est l'expulsion immédiate.
Mélodie hocha rapidement la tête, pressée de quitter ce bureau à l'atmosphère oppressante pour rentrer chez elle et aller devant l'ordinateur. Une fois qu'elle eut reçu l'autorisation de quitter les lieux, elle ne se fit pas prier pour battre en retraite.
Après cet incident, la vie reprit presque son cours normal, à ce détail près que Mélodie prêtait beaucoup plus attention en cours, en tout cas à ceux donnés par madame Chenant. Quand mercredi pointa le bout de son nez, elle eut quand même le cœur lourd à l'idée de passer tout son après-midi libre à l'école en retenue, et poussa un soupir déchirant en imaginant qu'elle vivrait cette situation toutes les semaines pendant le reste de l'année.
Les retenues commençaient habituellement à 13:45, mais madame Chenant lui avait demandée d'arriver plus tôt, à 12:30, pour une raison qu'elle n'avait pas voulu lui dire. Mais Mélodie avait bien évidemment quitté la maison trop tard, et arrive donc à a retenue sur les coups de 13:00.
Anxieuse, elle passa la porte et vit l'enseignante assise à son bureau, devant la salle de classe déserte. L'étudiante portait l'habit réglementaire de l'école, à savoir une jupe légère noire arrivant un peu au-dessus des genoux et un chemisier blanc. Elle avait complété le tout d'une paire de baskets et de chaussettes rouges.
- Vous devez le faire exprès... vous étiez déjà dans de gros problèmes, et vous décidez d'arriver à votre retenu avec 30 minutes de retard ?
Mélodie se lança dans une explication compliquée de ce qui pouvait expliquer son retard, mais elle fut arrêtée immédiatement par un signe de madame Chenant.
- Je me moque de ce que vous avez à dire, c'est vous qui allez m'écouter. Voyez-vous j'ai réfléchi au moyen de vous faire comprendre que vous n'êtes pas la petite princesse inatteignable que vous pensez être, et j'ai appelé votre père pour essayer d'en savoir plus. Il m'a rapidement avoué n'avoir jamais su comment vous punir quand vous faisais des bêtises, ce qui explique le résultat désastreux que vous êtes aujourd'hui ! Qu'en pensez-vous ?
- Je... je ne sais pas madame, répondit-elle prudemment, ne tenant absolument pas à la fâcher encore plus.
- Et donc quand je lui ai proposé de m'occuper de vos sanctions afin de vous apprendre la discipline, il m'a aussitôt donné son accord total à tout ce que je pourrais juger bon pour vous. Et vous étiez présente quand le directeur a dit de même. Ici même, jeune fille, vous allez apprendre le respect et la discipline !
Mélodie commençait sérieusement à paniquer. Elle sentait bien que l'enseignante avait quelque chose en réserve qui n'allait définitivement pas lui plaire, mais comme elle l'avait si bien soulignée, elle ne pouvais absolument rien faire, encore moins maintenant qu'elle savait que son père était totalement d'accord avec la sanction.
Madame Chenant se leva alors et, tirant sa chaise derrière elle, dépassa son bureau et se posa juste à côté. Assise sur sa chaise, elle regarda trop calmement la jeune femme pour que ce ne soit pas effrayant.
- Approchez, et couchez-vous en travers de mes genoux pour que votre punition puisse commencer !
Horrifiée à l'idée de ce qu'elle venait de comprendre, Mélodie recula de quelques pas.
- Jamais ! Vous êtes complètement folle !
- Tiens tiens, vous dites que vous êtes prête à tout pour ne pas être renvoyée, et dès le premier ordre vous redevenez irrespectueuse ! Vous préférez peut-être que la punition se fasse devant vos camarades de retenue ?
Paniquée, la jeune femme se rapprocha alors de la professeur, et espérant que ce serait bientôt fini, se coucha en travers de ses genoux, non sans ressentir un profonde honte. Elle sentit sa jupe remonter légèrement quand elle se pencha, et elle ferma les yeux en attendant la première claque, qui ne tarda pas à arriver.
- Il semblerait que la liste des choses pour lesquelles vous méritez d'être punie et assez longue, n'est-ce pas ?
Elle claquait à un rythme régulier, alternant entre chaque fesse et en y mettant une force impressionnante pour sa carrure. Essayant de conserver le peu de digité qu'il lui restait, Mélodie retint tout cri de douleur qui aurait pu s'échapper de ses lèvres. Elle tenta de compter le nombre de claques, et après une cinquantaine de ce régime, elle sentit à son grand désespoir sa jupe être relevée, action qui fut immédiatement suivie d'une exclamation d'indignation.
- Mais qu'est-ce que c'est que ça !
- Ma... ma culotte ?
- Une culotte en dentelle noire ! Contraire au règlement ! Et elles doivent couvrir toutes les fesses, toutes !
Tout en disant ces mots, elle promenait ses doigts sur la surface non recouverte par le sous-vêtement qui était très loin d'être négligeable. Ce n'était pas que Mélodie avait voulu jouer la provocatrice, c'était qu'elle n'avait aucun autre type de sous-vêtement que ceux-ci, et qu'elle n'aurait jamais pensé que sa retenue impliquerait ce genre de manœuvre !
- Vous n'avez vraiment aucun respect pour cette école, n'est-ce pas ? Clama madame Chenant tout en relevant encore plus la jupe. Ajoutons cela à la liste de vos torts !
Et la fessée reprit, encore plus fortement que la précédente. La protection apportée par la jupe avait disparue, et ce n'était pas sa petite culotte qui allait la protéger des chocs répétés de la main de l'enseignante sur ses fesses qui avaient déjà prise une teinte rosée. Il lui semblait aussi qu'elle distribuait les claques de manière bien plus forte qu'avant.
Sans s'en rendre compte, ses jambes commençaient à tressauter sous la douleur des claques et elle glissait le long des cuisses de l'enseignante, ce qui la forçait à l'attraper par les hanche pour la remettre en position. Mélodie tenta bien de compter les claques, mais il y en avait trop, et la douleur était de plus en plus présente, si bien qu'elle ne pouvait retenir un petit cri de douleur de temps en temps.
Au fur et à mesure que les claques s'enchaînaient, elle commençait à gigoter de plus en plus, ce qui forçait madame Chenant à la replacer de plus en plus souvent alors que les claques ne s'interrompaient que pour permettre à l'enseignante de faire des remarques à la punie sur son attitude déplorable au fil de l'année et sur la travail qu'elle devrait faire sur son comportement. Chaque mot était ponctué d'une claque plus forte que les autres qui lui arrachait un cri de douleur à chaque fois, et elle devait à la fin de chaque phrase signifier son assentiment à propos de ce que venait de dire la professeur.
Malgré sa culotte elle savait bien que ses gigotement de jambes en dévoilait certainement beaucoup, et elle remercia presque madame Chenant d'avoir procédé à la punition avant l'arrivée des autres élèves.
Finalement, une dernière claque sonna dans la salle, puis le silence se fit. Mélodie avait perdu le compte, mais une bonne centaine de claques avaient été données sur son fessier protégé uniquement par sa culotte noire.
- Levez-vous.
L'ordre claqua comme un fouet, et Mélodie obéit sans attendre, tout en frottant ses fesses douloureuses.
- Prenez l'instrument qui se trouve dans le premier tiroir de mon bureau et donnez-le moi.
Anxieuse à l'idée de ce qu'elle allait y trouver, Mélodie s'avança vers le tiroir et l'ouvrit d'une main tremblante. Ce qu'elle y trouva faillit lui faire tourner les talons et partir en courant, mais elle prit sur elle et s'empara de la strap qui y était déposée. L'instrument était composé d'un court manche et d'une lanière de cuir d'environ 30 centimètres. Une fois qu'elle ait tendu l'instrument à madame Chenant, Mélodie n'eut pas besoin de son commandement pour deviner qu'elle devrait se recoucher en travers de ses genoux.
Puis la fessée reprit juste après que l'enseignante ait relevée la jupe qui s'était rabaissée durant son déplacement. L'instrument claquait sur ses fesses avec bien plus de force que les mains de la professeur, et la douleur se fit clairement ressentir dès les premières claques, lui arrachant des petits cris pitoyables, même pour elle.
Madame Chenant tira alors la culotte vers le haut, pour dévoiler l'entièreté du fessier, ce qui lui permit de le rougir à son tour.
Sans doute fatiguée des petits cris de douleur de la punie, l'enseignante prit la parole.
- Je vous conseille fortement de rester silencieuse, et de cesser de remuer ridiculement vos jambes de la sorte.
Voulant éviter au mieux sa colère, Mélodie fit de son mieux mais elle ne pouvait pas retenir un petit soubresaut après chaque claque, mais elle tenta tant bien que mal de retenir tout ses cris afin de rester la plus silencieuse possible.
Mais après une quarantaine de claques de la sorte, elle n'y tenait plus et des gémissements de douleur difficilement retenus s'échappaient régulièrement alors que la douleur devenait de plus en plus forte.
L'enseignante s'arrêta alors et frotta quelques secondes les fesses de la punie comme pour soulager la douleur.
- Es-ce que vous avez mal ?
- O...Oui... madame.
Deux forts coupe de strap la prirent au dépourvu et lui arrachèrent un petit cri de douleur.
- Bien, parce que ça va bientôt être bien pire, vous m'avez entendu ? Ça va être bien pire ! Ce n'est que le commencement pour vous !
Et les coups de strap recommencèrent, toujours aussi douloureux. Elle continua de parler tout en entrecoupant chaque mot d'un coup.
- J'ai tout l'après-midi à vous consacrer pour vous faire comprendre ce que j'ai à vous dire. Nous verrons bien si vous allez le comprendre !
Elle conclut son travail de quelques derniers coups de strap plus forts que les autres, avant de s'arrêter.
- Levez-vous, lui dit-elle pour la seconde fois.
Une fois qu'elle eut obéi, madame Chenant se leva à son tour et la conduit vers le bureau du professeur.
- Penchez-vous sur le coin de la table.
Tentant d'ignorer la douleur sourde de ses fesses, elle s'approcha de la table et se pencha comme ordonné. Elle déposa sa tête sur la surface chaude du bois et attendit.
Suite à un rappel cinglant, elle serra les jambes et les redressa, avant de sentir le souffle chaud de l'enseignante se pencher derrière elle. Elle sentit la chose arriver, mais elle ne put rien faire quand madame Chenant s'empara de sa culotte de dentelle pour la faire descendre rapidement le long de ses cuisses. Elle ne s'arrêta pas aux chevilles et les lui fit lever une après l'autre pour la lui retirer complètement, avant de la déposer sur la chaise ayant précédemment servi à la fessée.
- Tenez, nous sommes en retard, il est déjà 13:50 ! peut-être que si vous aviez été à l'heure, votre fessée serait resté entre nous, mais au vu de votre retard, je dois faire entrer les élèves qui sont en retenue cet après-midi.
Mélodie tenta de se relever pour protester, mais un puissant coup de strap sur les fesses suffit à lui faire reprendre sa position originelle.
Sa tête était penchée en direction de la porte de la salle. Ne voulant pas voir les visages de ceux qui la détailleraient ainsi à moitié dénudée, elle voulut détourner le regard mais madame Chenant avait une autre idée sur la question. Elle s'approcha et lui retourna de nouveau le visage vers la porte.
- Vous n'en détournerez pas les yeux. Parmi ceux qui passeront sous peu cette porte, il y aura des gens de votre classe, des élèves plus jeunes et sans doute plusieurs que vous avez rejeté. Oui, j'ai entendu parler de votre manie d'humilier les garçons. Il semblerait que le karma fasse bien les choses finalement !
En effet, quand la porte s'ouvrit elle reconnut plusieurs des personnes qui attendaient devant. Il y en avait trois qu'elle avait violemment rejetés, ainsi que plusieurs élèves bien plus jeunes qu'elle. Ils furent au total une dizaine à passer le cadre de porte.
En entrant dans la salle, tous furent plus que surpris de voir une élève de terminale la jupe relevée et sans culotte penchée sur le bureau du professeur, et avec les fesses bien rougies.
Ceux de sa classe firent rapidement le rapprochement et se firent un plaisir de raconter les événements aux autres, et bientôt les commentaires railleurs fusèrent à son encontre. Elle avait beau serrer les jambes au maximum, elle ne pouvait pas tout dissimiler et elle le savait. La honte mêlée à la douleur de la précédente fessée lui firent monter les larmes aux yeux.
Madame Chenant laissa ainsi les élèves s'amuser quelques instants, puis frappa dans ses mains pour attirer l'attention de tous.
- Mademoiselle Martin ici présente est punie pour son comportement déplorable au sein de notre établissement. Installez-vous un par banc, comme d'habitude.
Mais contrairement aux habitudes, cette fois-ci tous les banc du premier rang furent occupés en quelques secondes à peine, et personne ne s'installa au fond de la classe pour discuter tranquillement. Beaucoup auraient certainement voulu que la fessée ait été donnée devant eux, et ils furent aux anges à la suite de la déclaration de l'enseignante.
- Ne nous inquiétez pas, vous aurez l'occasion de les voir rougir bien plus ces petites fesses ingrates ! Elle n'est pas prête de les cacher celles-là !
Elle se mit sur le côté afin que tous aient une pleine vue sur les fesses de la punie, et donna les premiers coups de strap avec force, tout en continuant de parler, m'arrachant des gémissements de douleur que je ne pus retenir.
- Vous qui êtes en retenue, je veux que vous vous rendiez bien compte de ce qui peut vous arriver si vous suivez son chemin, et je ne peux que vous enjoindre à ne pas suivre son exemple, à moins que vus ne vouliez finir dans la même position !
Puis la « vraie » fessée débuta sous les yeux ébahis des spectateurs. Chaque coup de la strap lui occasionnaient un petit sursaut de douleur, ce qui avait pour effet involontaire de dévoiler un peu plus son sexe aux yeux très attentifs de l'auditoire.
Finalement Madame Chenant intervint de nouveau.
- Gardez vos jambes tendues et droites. Acceptez votre punition proprement au moins.
Les coups étaient lents, mais donnés avec plus de force que tous ceux précédents, et à chaque fois elle dut retenir le cri de douleur qui voulait s'échapper de ses lèvres, parvenant difficilement à les transformer en petits gémissements.
Une trentaine de coups s’enchaînèrent ainsi dans la douleur. L'enseignante s'arrêta alors et reprit la parole.
- Et je suppose que vous avez compris que c'est ici, avec moi, que vous ferez toutes vos futures retenues pour le restant de l'année ?
- O...Oui.
- Et que nous pourrons avoir encore de nombreuses discussions dans ce genre.
Derrière elle, les regard que s'échangeaient l'assistance étaient sans appel, le retenue du mercredi après-midi serait sans aucun doute extrêmement populaire à l'avenir !
- les choses ne vont pas être faciles pour vous durant le reste de votre scolarité ! Si vous voulez rester ici, c'est comme ça que les choses vont se passer désormais ! Vous m'avez bien comprise ?
- Oui.
- Maintenant, redressez-vous.
Une fois qu'elle eut obéi, elle crut qu'elle rêvait quand elle entendit le prochain ordre.
- Maintenant ôtez vos vêtements.
Elle ne semblait pas être la seule à ne pas y croire, au vu des murmures qui s'étaient élevés derrière elle après cette annonce.
- M... mais... vous n'avez pas le droit !
- Ne vous avisez pas de tenter de me dire ce que j'ai ou ne j'ai pas le droit de faire ! En ce moment j'ai tous les droits sur vous, et si vous possédez ne serais-ce qu'une once d'intelligence, vous obéirez sans attendre et vous retirerez vos vêtements !
Peut importe les regard suppliants qu'elle lui offrit, l'enseignante était intraitable, et le son de la strap dans sa main la décida à obéir sans plus attendre, mais avant qu'elle ne puisse commencer, madame Chenant la saisit par les épaules et la retourna vers la classe.
- Faites donc profiter vos camarades de cette expérience enrichissante !
Tout en tentant de retenir ses larmes de honte, Mélodie déboutonna son chemisier avant de le laisser tomber par terre. L'enseignante la fit alors se baisser pou le ramasser, le plier soigneusement et de le déposer sur la chaise où sa culotte reposait déjà. Puis elle défit l'attache de son soutien-gorge et le fit glisser le long de ses bras avant de le retirer et de le déposer avec son chemisier.
La vision de ces seins à la fois imposants et bien fermes fit monter l'excitation générale de la pièce de plusieurs crans, si ce n'est de plusieurs degrés.
Finalement, elle fit glisser sa jupe le long de ses jambes, puis pour éviter d'en dévoiler plus que nécessaire décida de se pencher tout en cachant sa touffe d'une main pour la ramasser. Mais elle ne pouvait pas la plier d'une seule main, et elle fut donc forcée de dévoiler son intimité aux regards le temps de déposer la jupe avec le reste de ses habits. Sur un geste de l'enseignante, elle compris que ce n'étais pas fini, et elle retira donc également ses chaussures et chaussettes.
Tentant de ne pas penser au fait qu'elle était maintenant entièrement nue au milieu d'une dizaine de personnes qui ne rataient sans doute aucune partie de son anatomie dont elle était pourtant si fière, elle se protégea la poitrine d'une main et sa toison de l'autre, mais madame Chenant ne comptait pas la laisser s'en tirer à si bon compte et la força à laisser ses bras le long de son corps, permettant aux élèves de la détailler dans ses moindre contours.
Une fois que la professeur eut jugé qu'ils en avaient assez vu, elle reprit la parole.
- Revenez vers la table, et asseyez-vous dessus.
Totalement anéantie, Mélodie obéit sans réfléchir et se retrouva dans la position demandée. Puis l'enseignante la poussa contre la table, la mettant en position couchée, avant de relever ses jambes jusqu'à former un angle droit. Puis elle lui interdit de se tenir à l'aide de ses mains qui devraient rester collées à la table en toutes circonstances.
Si il y avait une petite partie de son anatomie qui n'avait pas encore été complètement dévoilée, c'était maintenant chose faite. Ses lèvres étaient parfaitement visibles et personne dans l'assemblée ne se gêna pour la détailler pendant que madame Chenant se plaçait pour continuer la fessée.
Mélodie réussit à tenir pendant une dizaine de coups de strap, avant que ses jambes ne commencent à être parcourues de soubresauts et que finalement l'enseignante soit obligée de venir les tenir elle-même afin qu'elles ne gênent pas son travail.
- Je suppose que vous savez que tout le monde dans cette salle a une parfaite vue sur tout ce que vous avez à montrer. Si ça peut vous rassurer, ceci est loin d'être la dernière fois que vous montrerez tout ça. À partir de la semaine prochaine, vous arriverez à 14 heures, entièrement nue et prête à recevoir votre punition, d'accord ?
Un coup plus fort que les autres ponctua cette question, ce qui fit que ma réponse fut noyée dans un cri de douleur.
Elle lui donna alors une dernière série de coups, mois forts mais beaucoup plus rapides qui la firent se tordre de douleur alors même qu'elle tentait de garder la position prescrite par l'enseignante.
- Vous pouvez redescendre vos jambes.
Tout en priant pour que ce soit enfin fini, Mélodie obéit tout en essuyant discrètement les larmes qui perlaient sous ses yeux.
- Retournez-vous et allongez-vous sur le ventre.
La demande était étrange, mais la jeune femme y obéit et en profita pour camoufler ses seins de ses bras. Les élèves ne la voyaient maintenant que de profil, et plusieurs en étaient déçus.
Madame Chenant reprit sa strap et l'abattit une première fois sur les fesses déjà bien rouges, tout en reprenant la parole.
- Qu'est-ce que je vais bien faire de vous, Melody ? Qu'est-ce que cela va demander ? Juste quelques coups de strap, un peu de discipline ?
Chaque mot était entrecoupé d'un coup de strap extrêmement douloureux.
- Non non non je ne pense pas, cela va demander beaucoup plus que ça n'est-pas ?
Les coups s'enchaînèrent alors à un rythme infernal, à un tel point que quand elle s'arrêta et reposa la strap à côté d'elle, Mélodie continuait d'être parcourue de soubresauts et de s'agiter inconsciemment.
- Maintenant que vos fesses sont bien chauffées, commença-t-elle en s'emparant cette fois d'une fine baguette de bois, nous pouvons passer à la meilleure partie.
Elle frappa quelques fois dans le vide, puis sans prévenir frappa les fesses de la punie deux fois de suite. La sensation de brûlure qu'elle ressentit était sans commune mesure avec celle de la strap, et inconsciemment elle avait redressée ses jambes.
Une pression de la baguette les fit redescendre, puis un nouveau coup s'abattit. Ses jambes se redressèrent, son ventre décolla de la table en offrant une magnifique vision de ses seins ballottant aux élèves et elle poussa un cri déchirant de douleur.
- Non, ça ne fonctionnera pas comme ça !
Elle sembla réfléchir quelques secondes qui s'approcha de la chaise sur laquelle ses vêtements étaient bien pliés. Elle s'empara de la culotte, et s'approcha du visage de l'étudiante.
- Une belle petite culotte sale pour vous faire taire ! De toute façon vous ne devriez pas les porter, n'est-ce pas ?
Puis lui ouvrant la bouche d'une main elle enfonça la culotte dedans de l'autre. Totalement soumise, elle se laissa faire sans réagir.
Puis les coups de baguette reprirent. La douleur était toujours aussi horrible, mais ses cris de douleur étaient en majeure partie absorbés par le sous-vêtement, les transformant en petits gémissements.
- Toutes les semaines vous allez vous retrouver ici avec moi ! Il faudra vous y habituer, et pourquoi pas commencer à aimer ça...
Mais à chaque coup son ventre décollait et ses jambes se soulevaient, si bien qu'elle finit par les immobiliser d'une main pendant que de l'autre elle continuait l'horrible punition.
- Tu seras ma propre assistante personnelle, lui murmura-t-elle à l'oreille de sorte que personne dans la salle ne l'entende. Tu m'appartiens maintenant, puisque je suis... quel est le terme déjà ? Ah oui, ta tutrice privée. Je sens qu'on va bien s'amuser toi et moi.
Le coups devinrent de plus en plus rapide, et Mélodie gigotait dans tous les sens en poussant de véritables cris de douleurs difficilement amoindris par son bâillon de fortune. Finalement l'enseignante fit une pause qui laissa la punie pantoise et essoufflée.
- Laisse-moi te regarder, commença-t-elle en repoussant ses long cheveux qui étaient tombés totalement en désordre devant son visage.
- Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu un visage aussi pitoyable devant moi. Est-ce que j'ai ton attention maintenant, où faut-il que je te donne quelques coups de canne de plus pour être être sûre ?
La jeune femme hochait frénétiquement la tête, tout pour que les horribles coups de baguette qui étaient comme une brûlure dans la peau.
- Ce n'est plus une blague et je ne suis pas en train de m'amuser !
Elle reprit sa canne et le prochain coup fut si fort que Mélodie se redressa comme un ressort, presque à quatre pattes sur le bureau, faisant bouger ses seins d'une manière des plus agréables aux yeux des spectateurs attentifs.
Puis ce fut une véritable avalanche de coups qui s'abattit, non plus sur les fesses, mais sur les cuisses de la pauvre victime. N'étant plus retenue par l'enseignante elle commença réellement à gigoter dans tous les sens, jusqu'à terminer sur le côté, en position fœtale, faisant face aux élèves en retenue tout en sanglotant ouvertement.
- Relevez-vous medemoiselle, que nous puissions juger de l'état de ces fesses !
Obéissant tant bien que mal aux ordres, Mélodie se redressa et se retrouva de nouveau debout devant la salle de classe. Elle fut de nouveau penchée sur la table, présentant ses fesses aux élèves et à l'enseignante. Déjà bien rougies avec la strap, les coups de canne avaient laissées des fines zébrures qui parsemaient ses fesses et ses cuisses.
Du pied, madame Chenant l'incita à écarter les jambes, ce que totalement matée elle fit sans hésiter, afin qu'elle puisse constater les résultats de son travail. après cela, elle tâta de nouveau ses fesses, face à la classe, n'hésitant pas à les écarter pour pleinement admirer le résultat. Satisfaite d'elle-même, elle conclut d'une forte claque sur chaque fesse, avant de lui permettre de se relever et de retirer la culotte mouillée de sa bouche.
- Puisque je suis généreuse, je ne vais pas vous forcer à vous asseoir, mais vous allez maintenant faire ce pourquoi vous êtes ici, travailler. vous allez faire la liste d'exercices que je vais vous donner au tableau, en silence, et quand vous aurez finie vous viendrez vous remettre en position, penchée sur le coin du bureau, toujours sans dire un mot. Puis je corrigerai l'exercice, et à chaque erreur que je repérerais, vous aurez droit à... disons trois coups de baguette en bois, et entre chaque coup vous me remercierez pour ce que fais pour vous, d'accord ?
C'est ainsi que Mélodie passa le pire après-midi de sa vie, et que les autres étudiants passèrent la meilleure retenue de leur vie, tout en se promettant de faire leur possible pour être de nouveau présent la semaine prochaine. En attendant, ils travaillaient fort peu, tout occupés à observer la jeune femme nue qui se promenait devant eux tout en traçant des figures au tableau, avant de sagement se mettre dans la position demandée et de, bien souvent, recevoir une humiliante fessée entrecoupée de ses pleurs et de ses remerciements pour sa tortionnaire.

Mélodie savait qu'elle était loin, très loin d'en avoir finie, surtout que juste avant qu'elle ne quitte la salle, ayant finalement récupérée ses vêtements, madame Chenant lui apprit qu'elle aurait également des cours particuliers avec elle pendant les vacances d'été, et qu'il y avait de bonnes chances pour que leurs leçons se poursuivent même après cette année. Elles allaient passer beaucoup de temps ensemble, ça c'était sûr et certain.

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