mardi 5 août 2014

Une partie de poker très tendue

Je dissimulai mon sourire en jetant un coup d’œil à mon jeu. Avec une main comme ça, j'étais tranquille. je me permis un coup d’œil autour de moi aux autres joueurs, ou plutôt joueuses. En effet, j'étais le seul garçon dans la pièce. Autour de moi étaient assises sur le sol ma petite amie Melody, mon amie d'enfance Katia et une fille que je ne connaissais que de nom, Caroline.
- Tiens, notre cher Samuel a une bonne main il me semble, devina Katia.
Je secouai la tête en riant. Je n'avais pas la moindre idée de comment elle pouvait à ce point lire en moi comme dans un livre ouvert, mais je ne pouvais définitivement rien lui cacher. Comme je m'y attendais, je gagnai ce tour, au détriment de Caroline qui grimaça en me passant ses derniers billets.
- Bon, il semblerait que ce soit terminé pour moi, constata-t-elle en se servant un nouveau verre de vin, la quantité assez importante d'alcool bue au cours de la soirée expliquant en partie ce qui allait suivre.
- Mais non, l'interrompit Katia, un large sourire aux lèvres. On n'a qu'à continuer avec des règles différentes.
- C'est-à-dire ? Demanda Caroline, suspicieuse.
En effet, Katia était plutôt connue pour ses idées assez... particulières.
- Pour ceux qui n'ont plus d'argent, ils n'ont qu'à miser autre chose... comme des vêtements par exemple !
Je faillis m'étouffer en buvant une gorgée de bière, et je n'étais pas le seul à être interloqué.
- Mais... il y a... balbutia-t-elle en me regardant.
- Oh, c'est bon, déclara Katia, Sam est en couple, et il sait à quoi ressemble une femme, pas vrai ?
Sans savoir quoi répondre, je me contentai de hocher brièvement la tête tout en jetant un regard amoureux à Melody.
Caroline hésita un bon moment, puis finalement elle haussa les épaules, avala une longue gorgée de vin et prit sa décision. Elle portait un jeans et un t-shirt, mais elle décida prudemment de retirer une ses ses chaussettes en premier.
Mon cœur battait la chamade. J'avais toujours été timide, mais cette partie commençait sérieusement à m'exciter. Le stress commençait également à monter en moi, je ne tenais absolument pas à fini nu devant ces trois filles, même si Melody ne découvrirait rien de nouveau. Je tentai de me calmer en me disant que j'avais toujours été bon aux cartes, et qu'il n'y avait pas de raison que cela change ce soir-là.
En effet, je continuai de mener la partie pendant les prochains tours, et finalement Melody tendit son dernier billet à Katia. Le stress monta d'un nouveau cran. Caroline avait déjà du retirer son autre chaussette, et elle se retrouva donc rapidement dans l'obligation de se débarrasser soit son jeans soit son t-shirt. Elle hésita un moment, puis, sous les encouragements de Katia et Melody, je n'osais personnellement rien faire étant bien trop gêné, elle se leva pour enlever son jeans. Mon excitation monta d'un cran en voyant la petite culotte bleue assez peu couvrante qui se dévoila à notre vue, et ce n'étaient ni son air profondément gêné, ni ses joues rougissantes qui arrangèrent mon état.
Au prochain tour, ma chance tourna, et je tendis mes derniers billets à Melody, qui put retrouver un peu de tranquillité. L'anxiété me fit manquer de prudence, et je perdis également le prochain tour. Tout en maudissant le fait que j'étais déjà pieds nus, je décidai de retirer mon t-shirt. J'étais d'une carrure plus que banale, ni musclé, ni maigre, ni gros, mais j'attirai tout de même les sifflements de mon auditoire éméché.
La partie continua, et les choses commencèrent à se corser. Melody se retrouva dans la même position que Caroline plus tôt, et fit le même choix de retirer son jeans, Katia décida autrement et retira son débardeur, dévoilant son soutien-gorge noir qui peinait à dissimiler ses seins arrogants. Caroline quand à elle était en mauvaise posture, car elle était désormais en sous-vêtement, et venait de perdre. Difficilement, elle finit par se résigner à tendre son soutien à Melody, qui le prit avec un grand sourire. Katia me surprit à fixer la poitrine de la perdante, et je baissai vivement la tête, le rouge me montant aux joues.
- Oh, le petit Sam est tout gêné ! Mai pas autant que si c'est lui qui perd !
Le rire des trois filles retentit à mes oreilles qui devaient être aussi rouges que mes joues, mais je me refusai de les laisser me déconcentrer je conservai mon pantalon, alors que Melody perdait son short et son soutien, et Katia se retrouvait en sous-vêtements. Finalement, Caroline fut grande perdante, et dut retirer son dernier vêtement. Cette fois vraiment embarrassée, elle dut se lever de nouveau, avant de passer ses pouces dans l'élastique de la culotte pour la faire lentement descendre le long de ses jambes tremblantes. J'avais déjà vu des filles nues évidemment, mais jamais dans cette situation pour le moins... étouffante.
Caroline se rassit le plus vite possible, et remonta ses jambes, les entourant de ses bras afin de dissimuler le plus possible son corps.
- Donc maintenant, je fais quoi ?
- Bah, tu es la grande perdante de la soirée.
- Et donc ?
- Tu ne connais pas les règles ? Puisque nous sommes quatre, on va prévoir deux gages. Le grand perdant reçoit les deux gages, le deuxième qui perd reçoit celui décidé par les deux autres, et celui qui arrive deuxième choisit le gage qu'il va faire. Le gagnant n'en a bien sûr aucun.
Je fronçai les sourcils, me demandant si Katia n'inventait pas ces règles au fur et à mesure.
- Et comment est-ce qu'on choisit les gages ?
- Puisque on est chez moi, je les décide !
Caroline tenta de protester, en effet l'imagination de Katia n'avait aucune limite, mais cette dernière la rassura.
- Promis, rien de publique, ça restera juste entre nous quatre.
En partie rassurée, cette dernière finit par hocher la tête, suivie par moi, puis Melody.
- Tout, d'abord, commença Katia en conservant le suspens, la personne qui t'a retirée ton dernier vêtement, c'est-à-dire dire moi, te donnera une belle petite fessée !
Caroline rougit de plus belle en balbutiant des excuses, mais Katia, qui elle avait encore ses sous-vêtements, se leva, s'empara d'une chaise et s'assit dessus, avant de tapoter sur ses cuisses, comme pour inviter la perdante à s'installer dessus.
Finissant par accepter la sentence, Caroline se leva et s'étendit le long des jambes de Katia, qui se frotta les mains en riant joyeusement. Melody applaudissait en encourageant son amie, mais quant à moi je ne voyais absolument quelle attitude adopter, et je restai donc silencieux. Katia avait orientée la chaise de manière à ce que nous ayons une plaine vue sur le postérieur de la punie, puis elle commence à donner des claques à un rythme régulier. Elle ne semblait pas vraiment souffrir, et elle resta immobile tout le long de la fessée, plus humoristique que punitive. En effet durant tout le long de l’épreuve, Katia et Meryl rirent, et même Caroline eut un petit rictus. Même moi me pris dans l'ambiance et commençai à plaisanter avec les filles. Après quelque minutes, Katia décida que la fessée avait assez duré, et voulut passer au deuxième gage.
Confuse, Caroline suivit le mouvement alors qu'elle l'emmenait vers le lit.
- Couche-toi sur le ventre, lui intima-t-elle.
Curieux, Melody et moi nous approchâmes afin de voir ce qui allait se passer. Prise au jeu, Caroline obéit et s'installa sur le lit de Katia. Je pus ainsi avoir une pleine vue sur ses fesses rougies par Katia quelques secondes plus tôt. Sans dire quoi que soit, celle-ci quitta la pièce et revint quelques secondes plus tard, des cordes dans les mains.
- Non, commença Melody, tu ne vas pas... ?
- Eh oui, Caroline, tu devras passer le reste de la partie ligotée sur ce lit !
- Quoi ! Mais...
- Tu as perdue, pas de discussion !
Abandonnant la partie, Caroline acquiesça et prit une grande respiration. Encore une fois, l'alcool dut jouer une part dans son accord pour ce gage fou, mais toujours était-il qu'elle accepta. Pour être juste, nous étions tous un peu emportés par la boisson.
Katia lui fit ramener ses mains vers la tête du lit, les lia ensemble et attacha l'autre extrémité de la corde à la tête du lit. Ensuite, elle passa une corde autour de sa jambe droite, serra bien, puis l'attacha au pied du lit correspondant, avant de faire de même avec sa jambe gauche. Cette posture eut pour effet d'écarter les jambes de Caroline, en révélant bien plus que ce qu'elle aurait bien voulu révéler à n'importe lequel d'entre nous en temps normal.
Melody dut sentir mon regard, car elle me fit détourner les yeux vers elle, et nous nous embrassâmes longuement, interrompus par les sons étranges qu'émettait Caroline. En effet, Katia avait introduit une bande de tissu dans la bouche de sa victime, et serrait le nœud derrière sa tête, ne lui permettant que d'émettre des sons indistincts. Cerise sur le gâteau, elle prit une autre bande de tissu et l'enroula autour de ses yeux, la coupant définitivement du reste du monde.
- Voilà, maintenant tu vas rester bien sage pendant que nous finissons notre partie, rit ouvertement Katia en lui donnant une dernière claque sur les fesses qui la fit légèrement tressauter.
Maintenant au courant de ce qui pouvait m'arriver, je sentis la sueur couler sur mon front pendant que je piochais mes cartes. Je tentai de me calmer en me disant que j'étais encore celui avec le plus de vêtements sur moi. La plus désavantagée était Melody, à qui il ne restait que son string. Ensuite à égalité venaient Katia, qui portait encore son soutien et sa culotte, et moi avec mon jean et mon caleçon.
Comme on pouvait s'y attendre, la prochaine défaite fut pour Melody, qui se retrouva elle-aussi nue, attendant avec anxiété notre choix à Katia et moi.
- Alors mon petit Sam, que veux-tu pour ta petite amie ? Une fessée ou un ligotage en règle ?
- C'est toi qui décides !
- Non, c'est ton couple, c'est ton choix !
Je regardai Melody dans les yeux et je lis qu'elle préférerait la fessée. Elle serait plus vite terminée, et il savait que Melody détestait se retrouver hors de contrôle sur la situation. C'est alors que l'effet magique de l'alcool me transforma, moi le gentil et timide Samuel, et me fit prendre la décision qui, je le savais, déplairait le plus à celle-ci.
- Je pense qu'un petit ligotage s'impose !
- J'approuve complètement ! Par contre, je n'ai qu'un lit, donc nous devrons nous contenter de cela.
Tout en disant ces mots, elle tira la chaise utilisée précédemment pour fesser Caroline, qui se débattait toujours doucement derrière eux en poussant un petit gémissement de temps en temps, et le poussa vers Melody.
- Je t'en prie, assieds-toi.
Tout en me jetant un regard de reproche, Melody se leva et s'avança vers la chaise. Elle ne tenta même pas de dissimuler sa nudité, sachant bien que ligotée elle se dévoilerait de toute manière. Elle s'assit de la manière la plus confortable possible et attendit son « exécution » avec le plus de dignité possible. Peu compétent en la matière, je laissai Katia s'occuper des nœuds. Celle-si ramena les bras de Melody derrière elle, et les attacha ensemble au dossier de la chaise. Cette action eut pour conséquence de faire ressortir ses seins, et de faire monter mon excitation de plusieurs crans. J'avais déjà vu Melody nue à de nombreuses reprises, mais jamais d'une manière aussi... vulnérable.
- Si Caro y a eu droit, il y a pas de raisons que tu y échappes, susurra-t-elle en s'emparant de nouvelles cordes.
Ses paroles ne restèrent pas longtemps mystérieuses, car elle s'empara de la jambe droite de ma copine pour pour l'attacher solidement au pied droit de la chaise, avant de faire de même pour sa jambe gauche, écartant ses jambes et en dévoilant autant, sinon plus, que Caroline ne l'avait fait. Katia compléta ensuite son travail de la même façon qu'avec Caroline en la bâillonnant et en lui bandant les yeux.
Plus combative que Caroline, Melody se débattait franchement, mais sans autre succès que de faire ballotter ses seins de façon admirable.
L'ambiance de la pièce était désormais assez particulière, avec les gémissements des deux femmes qui retentissaient autour d'eux. Si quelqu'un rentrait dans la pièce à cet instant, il n'aurait certainement pas su quoi penser. En voyant une femme nue ligotée sur le lit, une autre à une chaise dans la même tenue, et un homme torse nu face à face avec une troisième femme en sous-vêtements.
Cette personne imaginerait sans aucun doute que je suis responsable de tout ça et que je suis un dangereux malade avant d'appeler la police, et je ne pourrais absolument pas lui en vouloir. D'ailleurs, comment je me suis retrouvé dans cette situation au fait ?
Je fus alors interrompu dans mes pensées par la voix de Katia.
- Alors, il ne reste que toi et moi il semblerait, déclara Katia avec un large sourire.
Tout en tentant de garder mon regard concentré sur ses yeux, j'esquissai un sourire.
- Oui, la finale.
J'avais beau afficher une parfaite assurance, j'étais loin d'être rassuré. Si je perdais, je pourrais choisir quel gage je subirais, mais l'un ni l'autre ne m'intéressait le moins du monde. Et même si je gagnais, je me retrouverais dans la situation où je devrais soit fesser soit ligoter Katia, ce que je n'était pas vraiment prêt à faire. Et ensuite, qu'est-ce que je ferais, dans une chambre remplie de femmes nues et ligotées ? Vraiment, aucune des options qui s'offraient à moi ne me plaisaient.
De toute façon, je ne pouvais désormais plus faire marche arrière, et je dus me rasseoir par terre, pour continuer la partie. À choisir entre deux maux, je préférais encore gagner, au moins j'échapperais à l'humiliation. Bien entendu, le fait de voir Katia nue n'était pas entièrement étranger à ma soudaine détermination. Elle était vraiment magnifique, et même si j'aimais Melody à la folie, je ne pouvais pas empêcher mes yeux de loucher vers ses seins ou ses cuisses.
Mais vouloir gagner et gagner étant deux choses différentes, mes rêveries me firent faire de mauvais choix stratégiques et je me retrouvai obligé de retirer mon pantalon, ce que je fis à contrecœur. Désormais en simple caleçon, Katia ne pouvais pas manquer mon excitation grandissante, ce qui me fit rougir de plus belle. Mais cette dernière se contenta de rire silencieusement et de me faire un clin d’œil complice.
Décidant de me recentrer, je me concentrai de mon mieux sur la partie, et j'obtins ma revanche quand mon adversaire fut obligée de me tendre son soutien-gorge sans se départir de son sourire éclatant. Je tentai tant bien que mal de cacher mon excitation, mais Katia agissait comme si de rien n'était.
La partie devenait vraiment serrée. La tension était à son comble, et je sentais mes mains trembler en serrant les cartes. Finalement, j'eus une chance absolument incroyable sur mon jeu, et j'obtins la victoire. Une fois les cartes posées, je me surpris à haleter, comme si j'avais couru.
Je m'étais tellement concentré sur le fait de gagner que j'en avais presque oublié ce que cela signifiait. Je levai alors les yeux pour voir Katia, qui s'était levée, baisser d'un geste lent son dernier vêtement le long de ses jambes. Je déglutis et tentai de garder la tête froide, mais mon corps n'était pas vraiment d'accord, et le montra de manière assez explicite pour que Katia éclate de rire.
- En tout cas tu ne manques mas d'enthousiasme, sourit-elle en s'approchant de moi d'une démarche provocante. Donc, c'est à moi de décider de mon châtiment de perdante, c'est ça ?
Je me contentai de hocher la tête, ne sachant pas si mes cordes vocales auraient bien voulu coopérer si j'avais essayé de construire une phrase complète.
- Mhhh, j'hésite, réfléchit-elle à voix haute, découvrir tes talents avec une corde, ou sentir tes mains expertes sur ma peau ?
Je la soupçonnais de prendre bien plus de temps que nécessaire pour se décider, dans le simple but, j'en étais certain, je faire augmenter mon malaise. Après m'avoir fait poiroter un temps suffisant, elle annonça sa décision.
- J'ai été une très vilaine fille récemment, voudrais-tu me punir comme il se doit ?
Cette façon de dire les choses me mirent encore plus mal à l'aise, chose que je me pensais pas possible quelques secondes auparavant. Elle s'empara d'une chaise et la poussa vers moi.
- Je n'attends que tes ordre, continua-t-elle, toujours son sourire narquois aux lèvres.
Je ne pouvais qu'admirer la façon dont elle retournait une défaite à son avantage en me mettant dans une situation comme celle-là. Je m'assis sur la chaise, et avant que j'aie pu rectifier ma position, Katia s'était étendue sur mes genoux. Le contact de sa peau sur mes cuisses à moitié dénudées, et la vue de ses fesses à quelques centimètres de mon visage firent rejaillir mon excitation d'une manière que dans sa position elle n'avait pas pu manquer, mais elle ne fit aucune remarque et attendait que je commence. Tremblant, je levai lentement ma main, et l'abattit sur les fesses de ma victime. Le contact me fit frissonner, et je recommençai quelques fois de cette manière, essayant de m'habituer à cette nouvelle sensation.
- Allez, plus fort, je suis pas en sucre ! S'écria Katia depuis sa position pourtant fort désavantageuse. Montre que tu es un homme !
Échauffé par ses paroles, je mis de plus en plus de force dans les claques, jusqu'à ce qu'elle commence à tressauter sur mes genoux en poussant de petits cris à chaque claque. Lorsque je m'en aperçus, je m'empressai d'y mettre fin, et Katia glissa de mes genoux pour retourner sur le sol. Ses fesses avaient bien rougies, plus que celles de Caroline, mais elle ne semblait pas avoir vraiment mal.
En pensant à Caroline, je regardai dans sa direction pour voir de nouveau dans quelle position indécente Katia l'avait immobilisée. Elle se débattait toujours légèrement, mais elle semblait avoir compris qu'elle ne pourrait pas se libérer sans une aide extérieure. Melody quant à elle, sa position était définitivement plus révélatrice que celle de Caroline, n'avait pas abandonnée la partie et se débattait fortement pour échapper à ses liens, sans plus de succès. J'étais bien content que les deux filles aient les yeux bandés, car je ne tenais pas à ce qu'elles me voient ainsi.
La partie étant terminée, je me rhabillai en vitesse, et je me retournai pour voir que Katia n'avait rien fait de tel. D'abord étonné, je me souvins qu'il s'agissait de sa chambre, et qu'elle voulait certainement se mettre immédiatement en pyjama pour aller dormir. L'heure était en effet plutôt avancée, mais l'excitation m'empêcherait sans doute de dormir.
- On les libère ? Demandai-je en désignant Caroline et Melody.
- Oui, je m'en occupe. Toi vas dormir.

Tout en hochant la tête, je jetai un dernier regard aux deux prisonnières, puis sortit de la pièce en refermant bien la porte derrière moi. Personne ne me dit rien de ce qui s'était passé dans cette chambre après mon départ, mais mon imagination fertile se chargea de créer de multiples scénarios tous plus fous les uns que les autres. Toujours était-il qu'aucun de nous quatre ne reparla de cette soirée, mais les sourires que je surprenais parfois sur le visage de Katia en me regardant me faisaient penser qu'elle n'avait rien oubliée non plus de cette folle soirée.  

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