mercredi 8 octobre 2014

Punition scolaire

Mélodie avait déménagée en début d'année scolaire dans une nouvelle ville avec son père après que celui-ci ait divorcé avec la mère de la jeune femme. Cette dernière avait été inscrite en terminale au lycée du coin, et elle avait pris à contrecœur le chemin des salles de classe.
En effet elle n'avait jamais été attirée par l'école, et donc n'y accordait aucune attention. Elle passait son temps en classe sur son téléphone ou à griffonner sur ses cahiers sans prêter la moindre attention à ce que le professeur en face expliquait. Ses notes étaient donc de toute évidence plus que moyennes, et les quelques professeurs qui avaient tenté de la motiver s'étaient heurtés à un mur d'indifférence.
Un autre des amusements de Mélodie était de feindre de l'intérêt pour un garçon qui, plein d'espoirs, se lançait dans une tentative pitoyable de séduction qu'elle prenait grand plaisir à démolir, de préférence en public. Et elle ne manquait pas de candidats. Plutôt grande du haut de ses 1m76, elle laissait pousser depuis des années ses cheveux bruns qui lui arrivaient maintenant au milieu du dos. Elle avait de belles formes et savait bien les mettre en valeur afin d'attirer les regards sur elle.
Elle vivait seule avec son père qui n'avait jamais réussi à faire preuve d'autorité avec elle, et il lui passait tous ses caprices depuis son plus jeune âge. L'école avait beau avoir envoyé de nombreux avis à la maison, il n'avait jamais réussi à véritablement la disputer et encore moins à la punir, ce qui la confortait dans son image de fille intouchable.
Mélodie jeta un coup d’œil à l'horloge de la classe en poussant un long soupir, il lui restait encore quinze minutes à supporter les discours de la Chenant avant de pouvoir enfin se tirer de cet école pourrie. Se moquant d'être repérée, elle s'empara de ses écouteurs et les enfila avant de démarrer une de ses musiques préférées sur son téléphone.
Complètement coupée du reste du monde, elle fut brusquement ramenée à la réalité par un coup de baguette sur son bureau qui la fit sursauter. L'enseignante lui parlait d'un ton visiblement furieux, mais elle avait toujours la musique dans les oreilles et elle n'entendait pas un traître mot de ce qu'elle disait, à son plus grand plaisir. Après quelques secondes, le regard de la professeur était si noir qu'elle se décida finalement de retirer les écouteurs d'un geste moqueur.
- Oui, vous disiez ?
- Vous savez parfaitement qu'il est strictement interdit d'écouter de la musique en classe ! Donnez-moi votre téléphone portable, il vous est confisqué !
La classe autour d'elles s'était tue, et tous étaient attentifs à ce qui allait suivre. Nombreux étaient ceux qui espéraient voir Mélodie sévèrement punie, ceux qu'elle avait violemment rejetés en première ligne.
- Tu peux toujours rêver pour que je te le donne !
Madame Chenant était une femme d'un certain âge à l'allure pincée, allure encore renforcée par ses petites lunettes perchées sur le bout de son nez. Ses cheveux noirs étaient regroupés en un chignon lui donnant un air encore plus autoritaire. Elle s'approcha de Mélodie et d'un geste rapide s'empara de son bras tenant l'appareil. Cette dernière tenta de la retirer, mais la prise était trop forte. Elle utilisa son autre bras pour se dégager, et dans la mêlée elle heurta l'enseignante à la joue, ce qui fit gicler les lunettes sur le sol.
Le silence se fit aussitôt et complet. Tous retenaient leur souffle, Mélodie en première. Elle était persuadée d'être allée trop loin, et hésitait à s'excuser. Mais elle vit le regard des autres et décida de jouer la fière jusqu'au bout en éclatant d'un rire qui se coinça dans sa gorge quand elle vit le regard de Madame Chenant.
- Vous... Vous...
Sous le coup de la colère, elle semblait incapable d'articuler une phrase complète, et elle remit sur son nez ses lunettes qu'une élève lui tendait. Avant que Mélodie ait pu faire ou dire quoi que soit, l'enseignante était sur elle et l'avait fermement saisie par l'oreille avant de la tirer vers la porte de sortie.
Jouant bien moins à la fière désormais, Mélodie suivait l’enseignante, tiraillée par la douleur de son oreille fermement tenue par l'enseignante furieuse. Cette dernière la traîna le long des couloirs heureusement déserts jusqu'à, elle le devina très vite, le bureau du directeur.
Elles s'arrêtèrent devant la secrétaire qui comprit immédiatement que l'enseignante n'était clairement pas d'humeur à patienter et alla immédiatement chercher son supérieur. Quelques instants plus tard elles étaient dans le bureau directorial, Mélodie toujours dans sa position embarrassante
- Je suppose que vous vous souvenez de Melody Martin, la jeune femme qui a rejoint l'école en début d'année, et qui a déjà reçu plus d'avis chez les parents que beaucoup d'étudiants durant toute leur scolarité.
Le regard du directeur était dur, et il ne semblait pas enclin à la pitié avec moi.
- Oui, je vois, pendant que vous me racontez ce qu'elle a fait, laissons ma secrétaire s'occuper d'elle.
Sans qu'il ne lui ait donné le moindre ordre, la secrétaire surgit derrière Mélodie et la traîna à l'extérieur du bureau avant de refermer la porte derrière elle.
- Ici, lui spécifia-t-elle avec un petit sourire moqueur, les élèves convoqués n'ont pas le droit de s'asseoir, ils prennent d'avance une position de punition, comme ça.
Elle l'approcha d'une des chaise disposés devant son bureau, la fit s'asseoir à genoux dessus, face au mur, et lui commanda de mettre ses mains sur la tête sans dire un mot. Préférant de pas aggraver son cas, Mélodie obéit sans discuter à ces directives et attendit dans cette position que madame Chenant ait fini de raconter ses « exploits » au directeur. Elle espérait juste ne pas être renvoyée, n'importe quoi d'autre lui irait, mais pas le renvoi.
Après un temps qui lui parut interminable, elle entendit la voix du directeur qui l'appelait dans son bureau. Elle se dépêcha de quitter la position inconfortable pour entrer le bureau avec une certaine appréhension, qui ne se calma pas à la vue des regards glaciaux qu'elle y reçut.
- Mademoiselle, aucune mot ne peut qualifier votre attitude déplorable et inexcusable d'aujourd'hui, qu'avez-vous à dire pour votre défense ?
- Désolé ?
- Non, c'est loin, très loin d'être suffisant. Pour ce que vous avez fait, je pourrais sans aucune difficulté vous renvoyer et faire en sorte qu'aucune école du pays n'accepte de vous scolariser, ce qui, au vu de votre motivation au travail, ne devrait pas trop vous déranger, n'est-ce pas ?
- Non, s'il-vous-plaît monsieur, pas le renvoi ! N'importe quoi mais ne me renvoyer pas ! Je travaillerai plus, promis !
Elle semblait vraiment paniquée. En effet même si elle n'appréciait absolument pas cette école, elle se rendait bien compte que sans diplôme, c'était toute sa vie future qui menaçait de s'écouler. Le directeur soupira, avant d'échanger un regard avec madame Chenant, qui conservait un air impassible depuis qu'elle était entrée dans cette pièce.
- Bon, peut-être que nous pourrions vous laisser une dernière, toute dernière chance.
Le regard de la jeune femme s'illumina alors que l'espoir revenait en elle.
- Vous avez beaucoup de chance que madame Chenant croie qu'on peut toujours remettre des gens comme vous sur le droit chemin. En ce qui me concerne, je vous aurais déjà botté les fesses hors de cet établissement, mais elle tient à vous remettre dans le chemin des études et du travail. J'espère que vous lui en êtes reconnaissante !
Elle se retourna vers l'enseignante et balbutia des excuses et des remerciements d'un air gêné.
- Je ne crois pas une seconde que vous êtes désolée, sa voix claquait comme un fouet.
- En effet, ce ne sont pas vos paroles qui nous intéressent. Votre punition sera la suivante : à partir de ce mercredi et tous les mercredis à suivre pour le restant de l'année, vous passerez vos après-midis en retenue avec madame Chenant pour que vous rattrapiez tous les travaux que vous n'avez pas fait durant l'année, et ne vous inquiétez pas si vous finissez avant la fin de l'année, car nous avons largement de quoi vous occuper. Et tous les midis après les repas vous resterez pour aider à ranger la salle et à faire la vaisselle durant votre temps de pause. Il n'est plus question de faire preuve de la moindre tolérance à votre égard. Ceci est votre toute dernière chance, et vous avez intérêt à en prendre soin. D'accord ?
La sanction lui fit un coup au cœur, mais elle estimait s'en être bien sortie malgré tout, compte tenu de ce qui lui était reproché.
- Je veux que les choses soient bien claires, vous devez cette chance uniquement à la bonté de madame Chenant, et durant ces retenues toute demande qu'elle vous fera aura valeur de parole divine pour vous. À la moindre désobéissance au moindre de ses ordres, c'est l'expulsion immédiate.
Mélodie hocha rapidement la tête, pressée de quitter ce bureau à l'atmosphère oppressante pour rentrer chez elle et aller devant l'ordinateur. Une fois qu'elle eut reçu l'autorisation de quitter les lieux, elle ne se fit pas prier pour battre en retraite.
Après cet incident, la vie reprit presque son cours normal, à ce détail près que Mélodie prêtait beaucoup plus attention en cours, en tout cas à ceux donnés par madame Chenant. Quand mercredi pointa le bout de son nez, elle eut quand même le cœur lourd à l'idée de passer tout son après-midi libre à l'école en retenue, et poussa un soupir déchirant en imaginant qu'elle vivrait cette situation toutes les semaines pendant le reste de l'année.
Les retenues commençaient habituellement à 13:45, mais madame Chenant lui avait demandée d'arriver plus tôt, à 12:30, pour une raison qu'elle n'avait pas voulu lui dire. Mais Mélodie avait bien évidemment quitté la maison trop tard, et arrive donc à a retenue sur les coups de 13:00.
Anxieuse, elle passa la porte et vit l'enseignante assise à son bureau, devant la salle de classe déserte. L'étudiante portait l'habit réglementaire de l'école, à savoir une jupe légère noire arrivant un peu au-dessus des genoux et un chemisier blanc. Elle avait complété le tout d'une paire de baskets et de chaussettes rouges.
- Vous devez le faire exprès... vous étiez déjà dans de gros problèmes, et vous décidez d'arriver à votre retenu avec 30 minutes de retard ?
Mélodie se lança dans une explication compliquée de ce qui pouvait expliquer son retard, mais elle fut arrêtée immédiatement par un signe de madame Chenant.
- Je me moque de ce que vous avez à dire, c'est vous qui allez m'écouter. Voyez-vous j'ai réfléchi au moyen de vous faire comprendre que vous n'êtes pas la petite princesse inatteignable que vous pensez être, et j'ai appelé votre père pour essayer d'en savoir plus. Il m'a rapidement avoué n'avoir jamais su comment vous punir quand vous faisais des bêtises, ce qui explique le résultat désastreux que vous êtes aujourd'hui ! Qu'en pensez-vous ?
- Je... je ne sais pas madame, répondit-elle prudemment, ne tenant absolument pas à la fâcher encore plus.
- Et donc quand je lui ai proposé de m'occuper de vos sanctions afin de vous apprendre la discipline, il m'a aussitôt donné son accord total à tout ce que je pourrais juger bon pour vous. Et vous étiez présente quand le directeur a dit de même. Ici même, jeune fille, vous allez apprendre le respect et la discipline !
Mélodie commençait sérieusement à paniquer. Elle sentait bien que l'enseignante avait quelque chose en réserve qui n'allait définitivement pas lui plaire, mais comme elle l'avait si bien soulignée, elle ne pouvais absolument rien faire, encore moins maintenant qu'elle savait que son père était totalement d'accord avec la sanction.
Madame Chenant se leva alors et, tirant sa chaise derrière elle, dépassa son bureau et se posa juste à côté. Assise sur sa chaise, elle regarda trop calmement la jeune femme pour que ce ne soit pas effrayant.
- Approchez, et couchez-vous en travers de mes genoux pour que votre punition puisse commencer !
Horrifiée à l'idée de ce qu'elle venait de comprendre, Mélodie recula de quelques pas.
- Jamais ! Vous êtes complètement folle !
- Tiens tiens, vous dites que vous êtes prête à tout pour ne pas être renvoyée, et dès le premier ordre vous redevenez irrespectueuse ! Vous préférez peut-être que la punition se fasse devant vos camarades de retenue ?
Paniquée, la jeune femme se rapprocha alors de la professeur, et espérant que ce serait bientôt fini, se coucha en travers de ses genoux, non sans ressentir un profonde honte. Elle sentit sa jupe remonter légèrement quand elle se pencha, et elle ferma les yeux en attendant la première claque, qui ne tarda pas à arriver.
- Il semblerait que la liste des choses pour lesquelles vous méritez d'être punie et assez longue, n'est-ce pas ?
Elle claquait à un rythme régulier, alternant entre chaque fesse et en y mettant une force impressionnante pour sa carrure. Essayant de conserver le peu de digité qu'il lui restait, Mélodie retint tout cri de douleur qui aurait pu s'échapper de ses lèvres. Elle tenta de compter le nombre de claques, et après une cinquantaine de ce régime, elle sentit à son grand désespoir sa jupe être relevée, action qui fut immédiatement suivie d'une exclamation d'indignation.
- Mais qu'est-ce que c'est que ça !
- Ma... ma culotte ?
- Une culotte en dentelle noire ! Contraire au règlement ! Et elles doivent couvrir toutes les fesses, toutes !
Tout en disant ces mots, elle promenait ses doigts sur la surface non recouverte par le sous-vêtement qui était très loin d'être négligeable. Ce n'était pas que Mélodie avait voulu jouer la provocatrice, c'était qu'elle n'avait aucun autre type de sous-vêtement que ceux-ci, et qu'elle n'aurait jamais pensé que sa retenue impliquerait ce genre de manœuvre !
- Vous n'avez vraiment aucun respect pour cette école, n'est-ce pas ? Clama madame Chenant tout en relevant encore plus la jupe. Ajoutons cela à la liste de vos torts !
Et la fessée reprit, encore plus fortement que la précédente. La protection apportée par la jupe avait disparue, et ce n'était pas sa petite culotte qui allait la protéger des chocs répétés de la main de l'enseignante sur ses fesses qui avaient déjà prise une teinte rosée. Il lui semblait aussi qu'elle distribuait les claques de manière bien plus forte qu'avant.
Sans s'en rendre compte, ses jambes commençaient à tressauter sous la douleur des claques et elle glissait le long des cuisses de l'enseignante, ce qui la forçait à l'attraper par les hanche pour la remettre en position. Mélodie tenta bien de compter les claques, mais il y en avait trop, et la douleur était de plus en plus présente, si bien qu'elle ne pouvait retenir un petit cri de douleur de temps en temps.
Au fur et à mesure que les claques s'enchaînaient, elle commençait à gigoter de plus en plus, ce qui forçait madame Chenant à la replacer de plus en plus souvent alors que les claques ne s'interrompaient que pour permettre à l'enseignante de faire des remarques à la punie sur son attitude déplorable au fil de l'année et sur la travail qu'elle devrait faire sur son comportement. Chaque mot était ponctué d'une claque plus forte que les autres qui lui arrachait un cri de douleur à chaque fois, et elle devait à la fin de chaque phrase signifier son assentiment à propos de ce que venait de dire la professeur.
Malgré sa culotte elle savait bien que ses gigotement de jambes en dévoilait certainement beaucoup, et elle remercia presque madame Chenant d'avoir procédé à la punition avant l'arrivée des autres élèves.
Finalement, une dernière claque sonna dans la salle, puis le silence se fit. Mélodie avait perdu le compte, mais une bonne centaine de claques avaient été données sur son fessier protégé uniquement par sa culotte noire.
- Levez-vous.
L'ordre claqua comme un fouet, et Mélodie obéit sans attendre, tout en frottant ses fesses douloureuses.
- Prenez l'instrument qui se trouve dans le premier tiroir de mon bureau et donnez-le moi.
Anxieuse à l'idée de ce qu'elle allait y trouver, Mélodie s'avança vers le tiroir et l'ouvrit d'une main tremblante. Ce qu'elle y trouva faillit lui faire tourner les talons et partir en courant, mais elle prit sur elle et s'empara de la strap qui y était déposée. L'instrument était composé d'un court manche et d'une lanière de cuir d'environ 30 centimètres. Une fois qu'elle ait tendu l'instrument à madame Chenant, Mélodie n'eut pas besoin de son commandement pour deviner qu'elle devrait se recoucher en travers de ses genoux.
Puis la fessée reprit juste après que l'enseignante ait relevée la jupe qui s'était rabaissée durant son déplacement. L'instrument claquait sur ses fesses avec bien plus de force que les mains de la professeur, et la douleur se fit clairement ressentir dès les premières claques, lui arrachant des petits cris pitoyables, même pour elle.
Madame Chenant tira alors la culotte vers le haut, pour dévoiler l'entièreté du fessier, ce qui lui permit de le rougir à son tour.
Sans doute fatiguée des petits cris de douleur de la punie, l'enseignante prit la parole.
- Je vous conseille fortement de rester silencieuse, et de cesser de remuer ridiculement vos jambes de la sorte.
Voulant éviter au mieux sa colère, Mélodie fit de son mieux mais elle ne pouvait pas retenir un petit soubresaut après chaque claque, mais elle tenta tant bien que mal de retenir tout ses cris afin de rester la plus silencieuse possible.
Mais après une quarantaine de claques de la sorte, elle n'y tenait plus et des gémissements de douleur difficilement retenus s'échappaient régulièrement alors que la douleur devenait de plus en plus forte.
L'enseignante s'arrêta alors et frotta quelques secondes les fesses de la punie comme pour soulager la douleur.
- Es-ce que vous avez mal ?
- O...Oui... madame.
Deux forts coupe de strap la prirent au dépourvu et lui arrachèrent un petit cri de douleur.
- Bien, parce que ça va bientôt être bien pire, vous m'avez entendu ? Ça va être bien pire ! Ce n'est que le commencement pour vous !
Et les coups de strap recommencèrent, toujours aussi douloureux. Elle continua de parler tout en entrecoupant chaque mot d'un coup.
- J'ai tout l'après-midi à vous consacrer pour vous faire comprendre ce que j'ai à vous dire. Nous verrons bien si vous allez le comprendre !
Elle conclut son travail de quelques derniers coups de strap plus forts que les autres, avant de s'arrêter.
- Levez-vous, lui dit-elle pour la seconde fois.
Une fois qu'elle eut obéi, madame Chenant se leva à son tour et la conduit vers le bureau du professeur.
- Penchez-vous sur le coin de la table.
Tentant d'ignorer la douleur sourde de ses fesses, elle s'approcha de la table et se pencha comme ordonné. Elle déposa sa tête sur la surface chaude du bois et attendit.
Suite à un rappel cinglant, elle serra les jambes et les redressa, avant de sentir le souffle chaud de l'enseignante se pencher derrière elle. Elle sentit la chose arriver, mais elle ne put rien faire quand madame Chenant s'empara de sa culotte de dentelle pour la faire descendre rapidement le long de ses cuisses. Elle ne s'arrêta pas aux chevilles et les lui fit lever une après l'autre pour la lui retirer complètement, avant de la déposer sur la chaise ayant précédemment servi à la fessée.
- Tenez, nous sommes en retard, il est déjà 13:50 ! peut-être que si vous aviez été à l'heure, votre fessée serait resté entre nous, mais au vu de votre retard, je dois faire entrer les élèves qui sont en retenue cet après-midi.
Mélodie tenta de se relever pour protester, mais un puissant coup de strap sur les fesses suffit à lui faire reprendre sa position originelle.
Sa tête était penchée en direction de la porte de la salle. Ne voulant pas voir les visages de ceux qui la détailleraient ainsi à moitié dénudée, elle voulut détourner le regard mais madame Chenant avait une autre idée sur la question. Elle s'approcha et lui retourna de nouveau le visage vers la porte.
- Vous n'en détournerez pas les yeux. Parmi ceux qui passeront sous peu cette porte, il y aura des gens de votre classe, des élèves plus jeunes et sans doute plusieurs que vous avez rejeté. Oui, j'ai entendu parler de votre manie d'humilier les garçons. Il semblerait que le karma fasse bien les choses finalement !
En effet, quand la porte s'ouvrit elle reconnut plusieurs des personnes qui attendaient devant. Il y en avait trois qu'elle avait violemment rejetés, ainsi que plusieurs élèves bien plus jeunes qu'elle. Ils furent au total une dizaine à passer le cadre de porte.
En entrant dans la salle, tous furent plus que surpris de voir une élève de terminale la jupe relevée et sans culotte penchée sur le bureau du professeur, et avec les fesses bien rougies.
Ceux de sa classe firent rapidement le rapprochement et se firent un plaisir de raconter les événements aux autres, et bientôt les commentaires railleurs fusèrent à son encontre. Elle avait beau serrer les jambes au maximum, elle ne pouvait pas tout dissimiler et elle le savait. La honte mêlée à la douleur de la précédente fessée lui firent monter les larmes aux yeux.
Madame Chenant laissa ainsi les élèves s'amuser quelques instants, puis frappa dans ses mains pour attirer l'attention de tous.
- Mademoiselle Martin ici présente est punie pour son comportement déplorable au sein de notre établissement. Installez-vous un par banc, comme d'habitude.
Mais contrairement aux habitudes, cette fois-ci tous les banc du premier rang furent occupés en quelques secondes à peine, et personne ne s'installa au fond de la classe pour discuter tranquillement. Beaucoup auraient certainement voulu que la fessée ait été donnée devant eux, et ils furent aux anges à la suite de la déclaration de l'enseignante.
- Ne nous inquiétez pas, vous aurez l'occasion de les voir rougir bien plus ces petites fesses ingrates ! Elle n'est pas prête de les cacher celles-là !
Elle se mit sur le côté afin que tous aient une pleine vue sur les fesses de la punie, et donna les premiers coups de strap avec force, tout en continuant de parler, m'arrachant des gémissements de douleur que je ne pus retenir.
- Vous qui êtes en retenue, je veux que vous vous rendiez bien compte de ce qui peut vous arriver si vous suivez son chemin, et je ne peux que vous enjoindre à ne pas suivre son exemple, à moins que vus ne vouliez finir dans la même position !
Puis la « vraie » fessée débuta sous les yeux ébahis des spectateurs. Chaque coup de la strap lui occasionnaient un petit sursaut de douleur, ce qui avait pour effet involontaire de dévoiler un peu plus son sexe aux yeux très attentifs de l'auditoire.
Finalement Madame Chenant intervint de nouveau.
- Gardez vos jambes tendues et droites. Acceptez votre punition proprement au moins.
Les coups étaient lents, mais donnés avec plus de force que tous ceux précédents, et à chaque fois elle dut retenir le cri de douleur qui voulait s'échapper de ses lèvres, parvenant difficilement à les transformer en petits gémissements.
Une trentaine de coups s’enchaînèrent ainsi dans la douleur. L'enseignante s'arrêta alors et reprit la parole.
- Et je suppose que vous avez compris que c'est ici, avec moi, que vous ferez toutes vos futures retenues pour le restant de l'année ?
- O...Oui.
- Et que nous pourrons avoir encore de nombreuses discussions dans ce genre.
Derrière elle, les regard que s'échangeaient l'assistance étaient sans appel, le retenue du mercredi après-midi serait sans aucun doute extrêmement populaire à l'avenir !
- les choses ne vont pas être faciles pour vous durant le reste de votre scolarité ! Si vous voulez rester ici, c'est comme ça que les choses vont se passer désormais ! Vous m'avez bien comprise ?
- Oui.
- Maintenant, redressez-vous.
Une fois qu'elle eut obéi, elle crut qu'elle rêvait quand elle entendit le prochain ordre.
- Maintenant ôtez vos vêtements.
Elle ne semblait pas être la seule à ne pas y croire, au vu des murmures qui s'étaient élevés derrière elle après cette annonce.
- M... mais... vous n'avez pas le droit !
- Ne vous avisez pas de tenter de me dire ce que j'ai ou ne j'ai pas le droit de faire ! En ce moment j'ai tous les droits sur vous, et si vous possédez ne serais-ce qu'une once d'intelligence, vous obéirez sans attendre et vous retirerez vos vêtements !
Peut importe les regard suppliants qu'elle lui offrit, l'enseignante était intraitable, et le son de la strap dans sa main la décida à obéir sans plus attendre, mais avant qu'elle ne puisse commencer, madame Chenant la saisit par les épaules et la retourna vers la classe.
- Faites donc profiter vos camarades de cette expérience enrichissante !
Tout en tentant de retenir ses larmes de honte, Mélodie déboutonna son chemisier avant de le laisser tomber par terre. L'enseignante la fit alors se baisser pou le ramasser, le plier soigneusement et de le déposer sur la chaise où sa culotte reposait déjà. Puis elle défit l'attache de son soutien-gorge et le fit glisser le long de ses bras avant de le retirer et de le déposer avec son chemisier.
La vision de ces seins à la fois imposants et bien fermes fit monter l'excitation générale de la pièce de plusieurs crans, si ce n'est de plusieurs degrés.
Finalement, elle fit glisser sa jupe le long de ses jambes, puis pour éviter d'en dévoiler plus que nécessaire décida de se pencher tout en cachant sa touffe d'une main pour la ramasser. Mais elle ne pouvait pas la plier d'une seule main, et elle fut donc forcée de dévoiler son intimité aux regards le temps de déposer la jupe avec le reste de ses habits. Sur un geste de l'enseignante, elle compris que ce n'étais pas fini, et elle retira donc également ses chaussures et chaussettes.
Tentant de ne pas penser au fait qu'elle était maintenant entièrement nue au milieu d'une dizaine de personnes qui ne rataient sans doute aucune partie de son anatomie dont elle était pourtant si fière, elle se protégea la poitrine d'une main et sa toison de l'autre, mais madame Chenant ne comptait pas la laisser s'en tirer à si bon compte et la força à laisser ses bras le long de son corps, permettant aux élèves de la détailler dans ses moindre contours.
Une fois que la professeur eut jugé qu'ils en avaient assez vu, elle reprit la parole.
- Revenez vers la table, et asseyez-vous dessus.
Totalement anéantie, Mélodie obéit sans réfléchir et se retrouva dans la position demandée. Puis l'enseignante la poussa contre la table, la mettant en position couchée, avant de relever ses jambes jusqu'à former un angle droit. Puis elle lui interdit de se tenir à l'aide de ses mains qui devraient rester collées à la table en toutes circonstances.
Si il y avait une petite partie de son anatomie qui n'avait pas encore été complètement dévoilée, c'était maintenant chose faite. Ses lèvres étaient parfaitement visibles et personne dans l'assemblée ne se gêna pour la détailler pendant que madame Chenant se plaçait pour continuer la fessée.
Mélodie réussit à tenir pendant une dizaine de coups de strap, avant que ses jambes ne commencent à être parcourues de soubresauts et que finalement l'enseignante soit obligée de venir les tenir elle-même afin qu'elles ne gênent pas son travail.
- Je suppose que vous savez que tout le monde dans cette salle a une parfaite vue sur tout ce que vous avez à montrer. Si ça peut vous rassurer, ceci est loin d'être la dernière fois que vous montrerez tout ça. À partir de la semaine prochaine, vous arriverez à 14 heures, entièrement nue et prête à recevoir votre punition, d'accord ?
Un coup plus fort que les autres ponctua cette question, ce qui fit que ma réponse fut noyée dans un cri de douleur.
Elle lui donna alors une dernière série de coups, mois forts mais beaucoup plus rapides qui la firent se tordre de douleur alors même qu'elle tentait de garder la position prescrite par l'enseignante.
- Vous pouvez redescendre vos jambes.
Tout en priant pour que ce soit enfin fini, Mélodie obéit tout en essuyant discrètement les larmes qui perlaient sous ses yeux.
- Retournez-vous et allongez-vous sur le ventre.
La demande était étrange, mais la jeune femme y obéit et en profita pour camoufler ses seins de ses bras. Les élèves ne la voyaient maintenant que de profil, et plusieurs en étaient déçus.
Madame Chenant reprit sa strap et l'abattit une première fois sur les fesses déjà bien rouges, tout en reprenant la parole.
- Qu'est-ce que je vais bien faire de vous, Melody ? Qu'est-ce que cela va demander ? Juste quelques coups de strap, un peu de discipline ?
Chaque mot était entrecoupé d'un coup de strap extrêmement douloureux.
- Non non non je ne pense pas, cela va demander beaucoup plus que ça n'est-pas ?
Les coups s'enchaînèrent alors à un rythme infernal, à un tel point que quand elle s'arrêta et reposa la strap à côté d'elle, Mélodie continuait d'être parcourue de soubresauts et de s'agiter inconsciemment.
- Maintenant que vos fesses sont bien chauffées, commença-t-elle en s'emparant cette fois d'une fine baguette de bois, nous pouvons passer à la meilleure partie.
Elle frappa quelques fois dans le vide, puis sans prévenir frappa les fesses de la punie deux fois de suite. La sensation de brûlure qu'elle ressentit était sans commune mesure avec celle de la strap, et inconsciemment elle avait redressée ses jambes.
Une pression de la baguette les fit redescendre, puis un nouveau coup s'abattit. Ses jambes se redressèrent, son ventre décolla de la table en offrant une magnifique vision de ses seins ballottant aux élèves et elle poussa un cri déchirant de douleur.
- Non, ça ne fonctionnera pas comme ça !
Elle sembla réfléchir quelques secondes qui s'approcha de la chaise sur laquelle ses vêtements étaient bien pliés. Elle s'empara de la culotte, et s'approcha du visage de l'étudiante.
- Une belle petite culotte sale pour vous faire taire ! De toute façon vous ne devriez pas les porter, n'est-ce pas ?
Puis lui ouvrant la bouche d'une main elle enfonça la culotte dedans de l'autre. Totalement soumise, elle se laissa faire sans réagir.
Puis les coups de baguette reprirent. La douleur était toujours aussi horrible, mais ses cris de douleur étaient en majeure partie absorbés par le sous-vêtement, les transformant en petits gémissements.
- Toutes les semaines vous allez vous retrouver ici avec moi ! Il faudra vous y habituer, et pourquoi pas commencer à aimer ça...
Mais à chaque coup son ventre décollait et ses jambes se soulevaient, si bien qu'elle finit par les immobiliser d'une main pendant que de l'autre elle continuait l'horrible punition.
- Tu seras ma propre assistante personnelle, lui murmura-t-elle à l'oreille de sorte que personne dans la salle ne l'entende. Tu m'appartiens maintenant, puisque je suis... quel est le terme déjà ? Ah oui, ta tutrice privée. Je sens qu'on va bien s'amuser toi et moi.
Le coups devinrent de plus en plus rapide, et Mélodie gigotait dans tous les sens en poussant de véritables cris de douleurs difficilement amoindris par son bâillon de fortune. Finalement l'enseignante fit une pause qui laissa la punie pantoise et essoufflée.
- Laisse-moi te regarder, commença-t-elle en repoussant ses long cheveux qui étaient tombés totalement en désordre devant son visage.
- Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu un visage aussi pitoyable devant moi. Est-ce que j'ai ton attention maintenant, où faut-il que je te donne quelques coups de canne de plus pour être être sûre ?
La jeune femme hochait frénétiquement la tête, tout pour que les horribles coups de baguette qui étaient comme une brûlure dans la peau.
- Ce n'est plus une blague et je ne suis pas en train de m'amuser !
Elle reprit sa canne et le prochain coup fut si fort que Mélodie se redressa comme un ressort, presque à quatre pattes sur le bureau, faisant bouger ses seins d'une manière des plus agréables aux yeux des spectateurs attentifs.
Puis ce fut une véritable avalanche de coups qui s'abattit, non plus sur les fesses, mais sur les cuisses de la pauvre victime. N'étant plus retenue par l'enseignante elle commença réellement à gigoter dans tous les sens, jusqu'à terminer sur le côté, en position fœtale, faisant face aux élèves en retenue tout en sanglotant ouvertement.
- Relevez-vous medemoiselle, que nous puissions juger de l'état de ces fesses !
Obéissant tant bien que mal aux ordres, Mélodie se redressa et se retrouva de nouveau debout devant la salle de classe. Elle fut de nouveau penchée sur la table, présentant ses fesses aux élèves et à l'enseignante. Déjà bien rougies avec la strap, les coups de canne avaient laissées des fines zébrures qui parsemaient ses fesses et ses cuisses.
Du pied, madame Chenant l'incita à écarter les jambes, ce que totalement matée elle fit sans hésiter, afin qu'elle puisse constater les résultats de son travail. après cela, elle tâta de nouveau ses fesses, face à la classe, n'hésitant pas à les écarter pour pleinement admirer le résultat. Satisfaite d'elle-même, elle conclut d'une forte claque sur chaque fesse, avant de lui permettre de se relever et de retirer la culotte mouillée de sa bouche.
- Puisque je suis généreuse, je ne vais pas vous forcer à vous asseoir, mais vous allez maintenant faire ce pourquoi vous êtes ici, travailler. vous allez faire la liste d'exercices que je vais vous donner au tableau, en silence, et quand vous aurez finie vous viendrez vous remettre en position, penchée sur le coin du bureau, toujours sans dire un mot. Puis je corrigerai l'exercice, et à chaque erreur que je repérerais, vous aurez droit à... disons trois coups de baguette en bois, et entre chaque coup vous me remercierez pour ce que fais pour vous, d'accord ?
C'est ainsi que Mélodie passa le pire après-midi de sa vie, et que les autres étudiants passèrent la meilleure retenue de leur vie, tout en se promettant de faire leur possible pour être de nouveau présent la semaine prochaine. En attendant, ils travaillaient fort peu, tout occupés à observer la jeune femme nue qui se promenait devant eux tout en traçant des figures au tableau, avant de sagement se mettre dans la position demandée et de, bien souvent, recevoir une humiliante fessée entrecoupée de ses pleurs et de ses remerciements pour sa tortionnaire.

Mélodie savait qu'elle était loin, très loin d'en avoir finie, surtout que juste avant qu'elle ne quitte la salle, ayant finalement récupérée ses vêtements, madame Chenant lui apprit qu'elle aurait également des cours particuliers avec elle pendant les vacances d'été, et qu'il y avait de bonnes chances pour que leurs leçons se poursuivent même après cette année. Elles allaient passer beaucoup de temps ensemble, ça c'était sûr et certain.

lundi 15 septembre 2014

Mal choisir ses amis 2

Océane fut réveillée en sursaut par un bruit sourd. Elle mit quelques secondes à se souvenir d'où elle se trouvait, et surtout dans quelle situation, mais celle-ci me fut rapidement remise en mémoire pas la douleur lancinante dans ses bras, bloqués dans une position plus qu'inconfortable par du tape gris. Encore partiellement endormie, la jeune femme se débattit lentement, mais elle ne pouvait pas bouger une seule partie de son corps, ligotée de la sorte.
C'est alors que le grincement indiquant que la porte s'ouvrait retentit à ses oreilles. Toujours aveuglée par le bandana, elle ne pouvait pas voir ce qui se passait, mais elle tenta de faire le plus de bruit possible pour attirer un aide potentielle. À travers le tissu, Océane vit alors que la lumière avait été allumée, et que la personne qui était entrée ne pouvais que l'avoir vue.
- Mais bordel de merde, qu'est-ce que c'est que ça ?
La voix bourrue lui disait vraiment quelque chose, mais elle n'arrivait pas à mettre un nom dessus. La jeune femme en détresse essaya tant bien que mal de lui faire comprendre de la libérer, mais il ne semblait pas en avoir envie. Elle entendit les pas s'approcher et une main saisit la feuille que Delphine et Mégane avaient collé sur son ventre. Elle fut retirée sans douceur, arrachant à Océane une complainte étouffée par son bâillon.
- Mfffh ! Mffffffh ! Tenta-t-elle d'articuler pour lui faire comprendre de l'aider sans attendre, mais elle n'obtint aucune réaction et elle supposa qu'il était en train de lire cette mystérieuse feuille.
Puis, à sa grande surprise, Océane entendit alors un grand éclat de rire. La jeune femme ligotée ne comprenait pas ce qui pouvait possiblement être drôle dans cette situation, mais cela ne lui disait rien de bon, qu'est-ce que ces deux monstres avaient bien pu écrire sur cette feuille? Certainement rien de bon pour elle.
- Alors, il semblerait que quelques-unes de tes amies ont voulues de faire une petite blague, ricana-t-il.
Océane sentit qu'il s'approchait d'elle, et le bandeau qui recouvrait ses yeux disparut pour laisser place à une lumière qui bien qu'assez faible suffit à l'aveugler pendant plusieurs secondes. Quand elle put enfin voir correctement, Océane reconnut cette personne, et ce constat lui arracha une plainte d'horreur. Il s'agissait du concierge de l'établissement, connu et reconnu comme un pervers sale et répugnant par toutes les étudiantes de l'école.
- Oui, moi aussi je suis très content de te voir, c'est rare que j'aie de la compagnie aussi tôt le matin ! Je rentre tranquillement dans mon local de bon matin, et voilà ce que je trouve ! Un joli cadeau très bien emballé en plus !
Il lui mit alors le feuille sous les yeux, et Océane la lut en sentant la panique monter en elle. Il n'y avait écrit que quelques mots sur la feuille, mais leur sens était on ne peut plus clair.
Punissez-moi s'il-vous-plaît !
Il retourna ensuite la feuille, sur laquelle un texte plus long était écrit.
J'ai été une très vilaine fille, et je mérite d'être très sévèrement punie. J’accepterai toute les sanctions que vous jugerez bon de m'infliger sans dire un mot, et je suis entièrement à votre disposition.
Sa nudité totale se rappela aussitôt à son bon souvenir lorsque le vicieux commença à tripoter sa poitrine largement mise en avant pas les liens sans la moindre retenue. La jeune femme gigotait de son mieux, mais cela ne l'empêcha en rien de peloter chaque partie de son corps à la portée de ses grosses mains sales. Les larmes recommencèrent à couler le long de ses joues. Être touchée par des filles de mon âge était une chose, mais être tripotée de la sorte par un homme de cet âge atteignait un tout nouveau niveau de souffrance et de honte.
Ce dernier ricana, avant de s'emparer de ses seins et de violemment les tordre, lui arrachant un cri de douleur qui fut réduit par son bâillon à un vague gémissement. Les larmes aux yeux, elle le vit s'approcher et commencer lentement à les lécher, lui arrachant des petits gémissements pitoyables, pendant qu'elle essayait en vain d'échapper à son emprise.
- Allez, je suis sûr qu'au fond, tu aimes ça, n'est-ce pas petite salope ?
- Mffffh ! Mfffh ! Sanglotait Océane alors qu'il commençait à mordre ses mamelons, lui arrachant de nouvelles plaintes sourdes.
Après de longues minutes de souffrance, il délaissa sa poitrine et il la retourna sur le ventre sans la moindre douceur. La jeune femme se sentait extrêmement exposée, et ce fut avec horreur qu'elle sentit ses mains se poser sur ses fesses pour commencer à les peloter sans la moindre gêne. Soudainement, il les écarta, dévoilant, sous ses gémissements, le peu d'intimité qu'il lui restait à son regard lubrique. Il continua de la peloter ainsi pendant un temps qui parut infini à Océane, mais finalement il ponctua le tout d'une grande claque sonnante sur ses fesses et se releva.
- Bon, c'est important de s'amuser, mais il y a un travail à faire ! Il faut que je fasse le tour de l'école pour faire le nettoyage avant que les élèves n'arrivent, et tu vas m'aider, un peu de compagnie ne me fera pas de mal.
- Mfffh ?
Il s'empara alors d'un couteau et se pencha de nouveau vers sa victime. Terrifiée, Océane reculait de son mieux, mais il l'attrapa par les cheveux et la rapprocha de lui tandis qu'il coupait le scotch passant au-dessous et au-dessus de ses seins. Il l'arracha ensuite, avant de la pencher en avant pour faire de même avec les liens qui retenaient ses mains prisonnières.
La surprise fut telle qu'elle sentit à peine le douleur du scotch arraché. Océane resta quelques secondes immobile, puis sans réfléchir elle utilisa la nouvelle liberté de ses bras pour gifler son tortionnaire de toutes ses forces. Cet action stupide entraîna une réaction immédiate quand le concierge la gifla à son tour avec une force bien plus grande que la mienne. La force du coup l'envoya la tête contre le sol, et, profitant de son étourdissement, il ramena ses mains devant elle et, s'emparant d'un nouveau rouleau de scotch, lui ligota de nouveau les mains.
Il prit ensuite la jeune femme par la taille et la redressa d'un seul mouvement, la mettant à genoux devant lui. Océane vit alors qu'il tenait un nouvel objet à la main, un objet qui en le reconnaissant lui arracha une plainte de terreur. Sans tenir compte de ses gémissements, il se pencha vers elle, et lui passa autour du cou le collier de chien qu'il tenait à la main. Océane eut beau se débattre, il le serra assez pour qu'il reste en place, avant de s'emparer d'une laisse et de la passer dans l'anneau prévu à cet effet.
- Voilà petite chienne, maintenant tu vas venir avec moi. Et tu as intérêt à avancer rapidement si tu ne veux pas une nouvelle punition. D'accord ?
Impuissante, Océane ne put que faiblement hocher la tête alors qu'il s'emparait de l'autre extrémité de la laisse en ricanant. Il se releva et s'approcha de la porte lentement, tout en tirant sa victime derrière lui. Océane comprit alors que la tâche serait loin d'être facile. En effet elle pouvait à peine remuer mes jambes, étant ligotée au niveau des chevilles et des genoux, et si elle pouvait s'appuyer sur ses mains, elles étaient solidement attachées ensemble. Elle était obligée d'avancer ses deux jambes en même temps, tout en s'aidant de ses mains pour ne pas tomber. Cette méthode était très lente, mais elle n'avais rien de mieux dans sa position.
La jeune femme avait peur qu'il ne la trouve trop lente, mais il semblait trouver hautement amusant de la voir se traîner de la sorte à sa suite, comme un petit chien bien dressé. Son attitude rendait Océane elle-même malade, mais depuis la veille les humiliations qui ne cessaient de s'enchaîner l'avaient complètement matée, ou presque. Elle ressentait encore la honte et l'humiliation, mais elle avait sans doute déjà versée toutes ses larmes pendant la nuit qu'elle avait passée, ligotée et bâillonnée, dans le local du concierge.
Il la traîna ainsi tout le long du couloir, précédant à son inspection matinale. Dans une main il tenait sa laisse, et dans l'autre un seau contenant son matériel de nettoyage. Il s'arrêtait fréquemment pour nettoyer ou enlever des déchets. Océane se contentait de la suivre dans sa position humiliante, et il n'hésitait pas à profiter de la situation à tout moment en tirant brusquement sur la laisse, ce qui avait pour effet immédiat de la faire tomber par terre sous ses rires bruyants. Il s'arrêtait aussi régulièrement pour lui attraper les fesses ou les seins et les peloter à sa guise sans qu'elle ne puisse rien faire d'autre que vainement gémir derrière son bâillon.
Quand ils arrivèrent aux premiers escaliers, Océane crut qu'elle allait éclater en sanglots. Elle dut monter chaque marche en se soulevant à la force de ses bras qui, après être restés ligotés tant d'heures n'en avaient plus beaucoup. Bien évidemment, le concierge se contenta de la regarder faire, en tirant de temps en temps sur la laisse comme pour la rappeler sa situation, comme si elle en avait besoin !
Une fois finalement arrivée au deuxième étage, ses bras tremblaient et elle pouvait à peine avancer.
- Bon, soupira-t-il en se penchant vers sa victime, je vais faire preuve de pitié, et te laisser un moment de repos, surtout ne fais rien de stupide !
Il prit l’extrémité de la laisse et l'attacha à un des casiers qui bordait le couloir de l'étage. Il lui attrapa ensuite violemment le sein et le tordit violemment, arrachant une plainte de douleur à la jeune femme.
- Surtout, ne bouge pas ! Sourit-il en la laissant ainsi pour faire le tour de l'étage.
Océane attendit qu'il tourne au coin du couloir, puis quand elle fut sûre qu'il ne reviendrait pas avant un moment, elle tenta de s'enfuir. Ses liens étaient trop solides pour qu'elle fasse quoi que ce soit, donc son seul moyen d'évasion serait que le nœud de la laisse la retenant au casier ne soit pas très solide. C'était un espoir très très faible, mais elle n'avait rien de mieux sous la main.
Elle se redressa sur les genoux, et se servant du fait que ses mains étaient désormais attachées devant elle, et non pas dans son dos, Océane commença à tirer sur la laisse pour en tester la solidité. Elle était faite pour retenir un molosse, donc elle n'avait aucune chance de la faire céder, mais elle pouvait essayer de dénouer le nœud qui la rattachait au casier. Elle s'en approcha rapidement pour l'observer, et elle vit qu'il avait serré les nœuds avec un force démesurée, de plus ses mains attachées l'empêchaient d'utiliser toute sa dextérité, mais elle n'avait pas le choix, et le jeune femme se mit donc rapidement et silencieusement à la tâche.
Tout en regrettant de n'avoir pas les ongles plus long, Océane réussit petit à petit à défaire les nœuds, tout en sentant que son cœur battait de plus en plus fort, sous la peur de voir revenir son tortionnaire. Finalement, elle réussit à se détacher, et elle dut retenir un cri de joie, qui n'aurait de toute façon donné qu'un vague gémissement. Un regard circulaire lui assura que le concierge était toujours loin.
Toujours ligotée, la jeune femme se traîna, lentement mais sûrement, pour traverser le couloir et revenir aux escaliers. Pour éviter de faire du bruit, elle appréhenda chaque marche l'une après l'autre dans le plus grand silence quand elle entendit alors un bruit qui me glaça la sang, celui de pas. D'ici quelques secondes il découvrirait sa disparition et si elle restait dans ces escaliers il la trouverait en un rien de temps.
Sans plus me soucier de la discrétion, ni de la douleur, Océane se laissa rouler jusqu'en bas des marches, en tentant tant bien que mal de retenir ses gémissements de douleur qui auraient immédiatement révélé sa position. Une fois revenue au rez-de-chaussé, elle savait bien qu'elle ne pourrait pas quitter l'établissement à temps, elle fit donc de son mieux pour s'éloigner de la cage d'escaliers malgré les liens qui la ralentissaient considérablement.
Épuisée, Océane sut bientôt qu'elle ne pourrait pas aller beaucoup loin sans se reposer. Elle vit alors à quelques mètres d'elle la porte des toilettes. Difficilement, elle se redressa et, sautillant jusqu'à la porte, elle l'ouvrit et entra dans les toilettes des garçons, se disant qu'il n'y penserait peut-être pas. Quelques autres bonds l'amenèrent devant la porte d'un cabinet qu'elle ouvrit dans la foulée. Une fois à l'intérieur, Océane verrouilla la porte et s'assit sur la cuvette et relevant ses jambes pour qu'elles ne soient pas visibles de l'extérieur. Si elle restait ainsi assez longtemps, il serait obligé d'arrêter de la chercher avant que les étudiants n'arrivent. En attendant, il fallait qu'elle trouve le moyen de se libérer de ce scotch. À l'aide de ses mains, elle tenta de retirer les liens de ses jambes, mais elle n'avait plus la moindre force, et les nombreuses couches que Mégane et Delphine avaient mises l'empêchaient de faire quoi que ce soit sans des ciseaux ou un couteau.
Pendant qu'elle les maudissait intérieurement, Océane entendit alors des bruits de pas dans le couloir. Il était proche, et elle sentit la chair de poule la gagner.
- Alors, petite chienne, tu t'es échappé ? Si tu reviens gentiment vers ton maître, je promets de ne pas te faire de mal... pas trop en tout cas. Mais si je dois venir te chercher moi-même, ça va très mal se passer pour toi !
Sans s'en rendre compte, la jeune femme retenait mon souffle alors qu'elle entendait les pas se rapprocher dangereusement de sa cachette. Avec horreur elle entendit la porte des toilettes s'ouvrir et les pas s'approcher encore plus. Terrorisée, elle ferma les yeux, espérant qu'il ne fasse que passer et repartir.
- Salut, petite chienne.
Océane releva aussitôt la tête pour voir le visage du concierge l'observer par-dessus la porte du cabinet.
- Mfffffh ! Tenta-t-elle de crier, mais elle était définitivement piégée.
- Attends-moi quelques secondes, j'arrive.
Puis il disparut. Elle l'entendit s'affairer devant la porte quelques instants, puis elle s'ouvrit largement, la laissant sans protection face à lui.
Avant qu'elle ait pu faire quoi que ce soit, il fut sur elle et la traînait dehors en la tenant par les cheveux. Les cris de douleur de la jeune femme étaient étouffés par le bâillon, et il se semblait pas s'en occuper le moins du monde.
- Je t'avais prévenu, maintenant il faut assumer, petite chienne désobéissante.
Il traîna sa victime de cette très douloureuse manière tout le long du couloir jusqu'à revenir à son local. Il la jeta par terre dans le couloir et y entra, pour en ressortir immédiatement après avec un tabouret.
- Il reste plus d'une heure avant que les élèves ne commencent à arriver, et je te promets que cette heure sera très amusante, pour moi en tout cas !
Il s'assit sur le tabouret, et souleva Océane d'un coup pour la coucher en travers de ses genoux. Au moment où elle devinait ce qu'il avait en tête, les premières claques commencèrent à tomber. Il frappait lentement, mais avec une puissance tout autre que sa mère ou les filles de son équipe de volley-ball. Chaque coup lui faisait horriblement mal, et ligotée et bâillonnée comme elle l'était, elle ne pouvait absolument rien faire ou dire.
Peu de temps après le début de la punition, ses fesses étaient de nouveau en feu, et la douleur allait en augmentant.
- Tu sais, commença le concierge, tu as beau être magnifique ligotée comme ça, je ne peux m'empêcher de me sentir triste à l'idée de ne pas pouvoir voir ces magnifiques jambes gigoter dans tous les sens.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Son couteau surgit de sa poche et il découpa les trois bandes de scotch qui retenaient les jambes d'Océane solidement prisonnières depuis la veille. Elle ne put profiter bien longtemps de la liberté, car aussitôt après les claques recommencèrent à tomber sur ce rythme régulier et horriblement douloureux.
N'étant plus retenues ensemble par les liens, ses jambes commencèrent bientôt à s'agiter follement sous les claques. Elle se débattait tellement qu'elle faillit tomber de ces genoux.
- Bon, j'ai besoin d'une meilleure prise il semblerait !
En même temps qu'il disait ces mots, il s'empara d'une main ferme du sein droit de sa victime, le serrant fortement. Et pour être sûr, il bloqua une de ses jambes sous la sienne, et passa son autre jambe entre les miennes pour aller bloquer l'autre, les immobilisant ainsi largement écartées.
Totalement immobilisée, elle ne put que subir la suite de sa punition, que sa nouvelle position avait renouvelée. L'intérieur de mes cuisses en prirent également pour leur grade, et les claques viraient souvent au pelotage. Pendant tout ce temps, sa main gauche ne quitta pas sa prise sur son sein, qu'il serrait fortement pour la maintenir en place. Les claques étaient de plus en plus fortes, et aucune partie n'était épargnée. Il frappait autant les fesses que les cuisses que l'intérieur de celles-ci, et bien qu'elle ne puisse pas les voir, elles devaient être d'une uniforme couleur rouge.
Son bâillon, plus efficace que jamais, étouffait tous ses cris de douleur, mais ses gémissements devaient grandement exciter son tortionnaire au vu de la bosse déformant son jeans qu'elle sentait. Quand à ses mains, elles ne l'aidaient pas vraiment, ligotées comme elles l'étaient. Les larmes de douleur coulaient à présent sans retenue sur ses joues, et la souffrance lui avait fait oublier toute dignité. Océane se tortillait de toutes ses forces, mais il la retenait fermement et elle ne put pas bouger d'un pouce de la position humiliante qu'il lui avait infligé.
Les secondes passaient comme des minutes, et les minutes comme des heures. Après ce qui lui semblait être des heures et des heures de torture, Océane sentit les claques s'espacer de plus en plus, puis finalement s'arrêter.
- Et c'est tout le temps que bous avions, conclut le concierge en me pelotant une dernière fois sans la moindre vergogne. Rentre là-dedans, et débrouille-toi pour le reste.
Puis, sans la moindre délicatesse il la poussa de ses genoux pour qu'elle aille s'écraser par terre dans un gémissement de douleur, avant de la traîner dans son local, où il l'abandonna avant de tourner les talons et de partir en fermant la porte derrière lui, la laissant de nouveau dans le noir.
Fini... c'est fini...
Cette idée ne réconfortait que très peu la jeune femme humiliée et, roulée en boule dans ce local sombre, elle éclata en sanglots. elle ne sut pas combien de temps elle resta ainsi, prostrée, à pleurer toutes les larmes qui restaient dans son corps meurtri, mais elle finit par reprendre le contrôle de son corps et de son esprit, pour tenter de se libérer. Ses pieds étaient désormais libérés, et elle put donc rejoindre le bureau du concierge, pour y trouver un cutter posé dans un coin. Elle s'en empara, et après de nombreuses tentatives qui faillirent lui coûter de nombreuses coupures, la jeune femme réussit à couper le scotch.
Enfin libérée, elle s'attaqua alors à la tâche la plus longue, et la plus douloureuse, enlever son bâillon. Mégane et Delphine avaient en effet fait plusieurs tours de scotch autour de sa tête, et le retirer ne se ferait pas sans douleur. Elle s'y attela lentement et prudemment, et après de longues minutes d'effort et de douleur, elle enleva la dernière ligne de scotch qui recouvrait sa bouche. Je recracha aussitôt la culotte sale qui était dans sa bouche depuis bien trop longtemps.
Sa bouche était horriblement sèche et elle mourait de soif. Heureusement le local du concierge possédait son propre lavabo, auquel elle but pendant de longue minutes pour étancher sa soif. Après cela, elle jeta un regard à ses fesses, pour voir qu'en effet la douleur déchirante qu'elle ressentait était bien représentée par une couleur rouge sombre équitablement répartie sur toutes la longueur de ses cuisses, et en écartant ses fesses elle vit que même cette partie n'avait pas du tout été épargnée, ce qui expliquait en partie sa souffrance.
Océane vit alors dans le coin de la pièce une pile de tissus qui attira mon attention. Elle s'approcha pour voir que Mégane et Delphine lui avaient laissé des vêtements avant de partir. Tout d'abord surprise par cet acte de pitié, elle comprit rapidement leur pensée ne voyant que ces vêtements se constituaient d'une mini-jupe et d'un petit débardeur, et qu'il n'y avait pas la trace du moindre sous-vêtement. Elle savait qu'elle aurait l'air d'une prostitué habillée de la sorte, surtout que la jupe très courte ne couvrirait pas la rougeur de ses cuisses et peu celle de ses fesses, mais c'était toujours mieux que de rester nue.
Après avoir enfilé les habits, la jeune femme se demanda ce qu'elle ferait ensuite. Impossible pour elle d'aller en classe dans cette tenue, pas après ce qui s'y était passé. Elle attendit donc que le premier cours de la journée commence, et quand elle fut sûre que les couloirs seraient vides elle sortit du local et se dirigea vers la sortie de l'école. Une fois dehors, elle prit une longue respiration pour se calmer et décider de quoi faire ensuite. Elle ne pouvait pas rentrer chez elle, c'était une évidence, et se balader dans les rues serait très humiliant.
Mais elle n'avait pas le choix. Elle marcha pour le moment dans la rue, sans trop savoir où aller et en tentant d'éviter les regards surpris ou grivois des passants. Elle s'arrêta dans le premier café qu'elle vit, et s'installa dans le fond de la salle. Elle n'avait pas d'argent sur elle, et elle prétexta attendre un ami pour pouvoir rester sans consommer.
Plongée dans ses pensées moroses, la jeune femme resta de nombreuses heures à cette place, jusqu'à s'endormir. Elle fut réveillée par la serveuse qui lui indiqua que si elle voulait rester plus longtemps il fallait commander quelque chose. Elle vit alors l'heure, il était 15:20. Océane se leva alors en tentant de cacher sa tenue indécente au mieux, et pris le chemin de la maison en se disant qu'en partant à cette heure elle éviterait le flot d'étudiants qu'elle ne tenait absolument pas à croiser. Océane fut chez elle une vingtaine de minutes plus tard, mais elle patienta au coin de la rue, afin de faire croire qu'elle revenait de l'école. Sa mère ne devait pas la voir dans cette tenue, il fallait qu'elle rentre discrètement, qu'elle aille dans sa chambre et qu'elle se change.
C'est alors que quelque chose lui vint à l'esprit. Elle n'étais pas rentrée de la nuit, et n'avait absolument rien dit à sa mère, qui devait être folle d'inquiétude. Inquiétude qui ne tarderait pas à se transformer en rage quand elle la verrait.
Terrorisée, elle ouvrit lentement la porte de la maison, et se dirigea le plus silencieusement possible vers l'escalier. C'est en posant le premier pieds sur une marche qu'elle entendit le bruit qu'elle redoutait le plus en ce moment, le raclement de gorge de sa mère.
La jeune femme terrorisée se retourna lentement pour la voir, face à elle, lentement taper son pieds sur le sol.
- Où. Étais. Tu. Jeune. Fille !
- Je... je....
- Tu avais complètement disparue ! J'ai failli appeler la police, et je l'aurais fait très bientôt ! Donc, où étais-tu ?
- J... j'ai passé la nuit avec des amies. Ça été décidé à la dernière minute et j'ai oublié de te prévenir, désolé.
- Tu es peut-être majeure, mais tant que tu vis sous mon toit, il y aura des règles à respecter, et... mais qu'est-ce que c'est que cette tenue ?
Paniquée, Océane n'eut pas d'autre choix que de s'approcher. Stupéfaite, sa mère était bouche-bée devant la mini-jupe et le petit débardeur très vulgaire. Heureusement, les marques rouges avaient disparues au cours de la journée, mais elle ne put que remarquer l'absence de culotte. Quand elle le remarqua, elle poussa un petit cri et s'approcha de sa fille pour vérifier son top, et voir qu'elle ne portait pas de soutien non plus.
- Mais... qu'est... qu'est-ce que cela veut dire ?
- J... je.... eh bien...
Elle ne savait absolument pas quoi dire pour expliquer cela, et finit par se murer dans un silence qui poussa sa mère à s'imaginer mille scénarios.
- Ma fille... une traînée ! Je peux t'assurer que ta punition sera exemplaire !
Océane sentit la sueur couler dans son dos, elle ne pourrait pas supporter une des fessées de maman maintenant, pas après tout ce qui lui était arrivé !
- Mais pas ce soir, finit-elle fermement. Va dans ta chambre et mets des vêtements décents ! Puis tu y resteras toute la soirée, tu ne souperas pas ce soir !
À cette remarque Océane entendit son estomac gronder. En effet elle n'avait rien mangé depuis hier midi, et son ventre criait famine, mais préférant ne pas provoquer sa mère, elle choisit sagement de lui obéir et de monter dans sa chambre. Une fois couchée dans son lit, elle s'endormit aussitôt, plongeant dans des cauchemars d'humiliation et de douloureuses fessées.

xXx
Plusieurs jours avaient passé depuis ce jour horrible, qui avait définitivement marqué à vie la pauvre Océane. La première chose qu'elle avait faite fut de quitter l'équipe de volley-ball. Elle apprit ensuite avec satisfaction qu'elles n'avaient pas réussi à trouver de joueuse remplaçante et avaient été écrasées durant leur dernier match. Quant à Océane, elle était définitivement retournée dans l'ombre, évitant au maximum les filles et les garçons de l'équipe de volley-ball, et plus que tout l'horrible concierge qui l'avait tant tourmentée. Sa mère ne lui avait plus reparlée de sa punition, et elle en était presque venue à l'idée qu'elle l'avait oubliée.
La jeune femme était étendue sur son lit, occupée à lire un roman quand elle entendit sa mère toquer à la porte avant d'entrer.
- Viens Océane, j'ai organisé un barbecue, tout le voisinage est présent, il ne manque plus que toi.
- Non, ça m'intéresse pas, je préfère rester ici et lire.
- Sauf que je n'ai pas demandé ton avis, trancha-t-elle durement, je t'ai dit de venir donc tu viens.
La jeune femme soupira longuement en posant son livre sur son lit. Elle aurait du s'en douter, elle devra passer tout l'après-midi à sourire et à faire semblant de trouver les enfants insupportables des voisins charmants tout en mangeant des saucisses trop cuites. Super !
Elle la suivit jusqu'au jardin, où une quinzaine de personnes étaient déjà occupées à manger et rire. Elle passa ensuite les prochaines 10 minutes à faire la bise, à féliciter des couples heureux et à trouver trop mignons des enfants plus intéressés à l'idée de toucher sa poitrine qu'à la saluer.
Elle s'empara ensuite d'une saucisse brûlante et se mit à manger sans appétit. Océane s'approcha discrètement de Jacob, le beau voisin un peu plus vieux qu'elle qui lui faisait mine de rien beaucoup d'effet, il fallait bien l'avouer. Alors qu'elle allait engager la conversation avec lui, elle entendit alors un tintement de verre. La jeune femme se retourna pour voir que sa mère avait tapoté son verre de sa fourchette pour attirer l'attention de tous.
- Bonjour à tous, et merci d'être venu aussi nombreux, et d'avoir amené vos adorables enfants avec vous. La raison pour laquelle j'ai organisé cette rencontre, en plus de votre charmante compagnie évidemment, (la remarque fut saluée d'une salve d'applaudissements) est de procéder à une justice.
Tous froncèrent les sourcils, et Océane sentit la peur monter en elle au fur et à mesure qu'elle comprenait ce que sa mère voulait dire.
- Ma très charmant fille Océane ici-présente m'a fait une peur bleue il y a de cela plusieurs jours maintenant. Quelques jours après que je l'aie surprise en train de fumer dans ma maison, cette jeune femme n'est tout simplement par revenue de la nuit à la maison, et je n'ai pas eu la moindre nouvelle d'elle avant son retour de l'école le lendemain soir !
Des murmures parcouraient déjà l'assemblée, et les regards désapprobateurs se faisaient nombreux.
- Quand je l'ai confrontée, elle m'a bêtement répondue qu'elle avait passé la nuit avec des amis, et qu'elle avait « oubliée » de me prévenir. J'ai ensuite remarqué un détail plus que choquant... ma fille ne portait ni culotte si soutien-gorge sous des vêtements plus que vulgaires et révélateurs !
Cette fois, les murmures se firent assassins, et les remarques se firent nombreuses à son égard. Quant à Océane, la rougeur qui s'empara de ses joues n'aida pas à défendre son cas.
- Et en plus de tout cela (le silence retombe aussitôt) j'ai reçu le lendemain un appel de l'école me disant que ma fille ne s'était pas présentée en cours cette journée-là ! J'ai appris que malgré l'éducation que je lui ai octroyée, ma fille est une ingrate, menteuse, irresponsable et irrespectueuse traînée !
Le dernier mot finit de mettre le feu aux joues de la fille en question, alors que tous les regards se tournaient vers elle, et aucun n'était amical.
- As-tu quelque chose à dire pour ta défense ?
Océane savait qu'elle n'avait rien à dire, car la vérité serait encore pire que ce qu'ils imaginaient, et préféra donc garder le silence, qui fut compris par tous comme un silence coupable.
- Maintenant que l'accusée est jugée coupable, je propose que la sanction soit appliquée immédiatement !
Cette décision fut approuvée par tous, et la punie chercha sans succès un échappatoire.
- Puisque tu aimes tant t'exposer Océane, pourquoi ne retirerais-tu pas tes vêtements toi-même ? Je ne suis pas un monstre, tu peux garder tes sous-vêtements, mais tout le reste s'en va.
La jeune femme portait un short et un T-shirt, et refusait catégoriquement de les enlever devant tous ces gens, surtout les enfants bien plus jeunes qu'elle qui ne rataient rien du spectacle.
- Vous êtes tous complètement fous ! S'écria-t-elle, vous pouvez toujours rêver pour que j'exauce vos rêves lubriques !
Sur ces mots, elle tourna les talons et se dirigea d'un pas rapide vers la maison, mais elle ne put pas aller très loin. Quelques secondes à peine plus tard, une poigne ferme lui attrapait les bras et les lui ramenaient brusquement dans le dos. Elle vit avec une chavirement au cœur qu'il s'agissait du grand et beau Jacob qui la retenait ainsi fermement.
Océane était maintenant au milieu des invités, et elle sentait la tension monter de plus en plus alors qu'ils se rapprochaient d'elle en cercle. La jeune femme se débattait et criait, mais elle ne reçut aucun signe de pitié. Certains étaient réprobateurs envers son attitude, et d'autres, surtout les plus jeunes, semblaient très excités par la tournure des événements.
Sa mère s'avança vers Océane et la gifla violemment, ce qui eut pour effet immédiat de faire cesser toute résistance.
- Silence ! Si tu ne peux pas agir en adulte responsable, tu seras traitée comme une petite fille !
Sur ces mots, elle s'approcha encore plus, elle déboutonna le short de sa fille et le fit glisser lentement le long de ses jambes avant de lui faire lever un pied, puis l'autre pour le retirer. Océane savait sa situation désespérée, et une quelconque résistance ne ferait qu’aggraver son cas.
Comprenant le message silencieux de sa mère, Jacob lui fit lever les bras en l'air afin que sa mère puisse faire glisser le T-shirt et s'en emparer également. La jeune femme se retrouva donc en sous-vêtements au milieu d'une foule de ses voisins, donc certains bien plus jeunes qu'elle qui semblaient au bord de l'extase.
- C'est ainsi que tu aurais du recevoir ta punition, déclara sa mère sans la moindre pitié, mais puisque tu as été incapable d'accepter ta punition avec dignité, je ne vois pas pourquoi tu la recevrais avec dignité !
Avant que sa fille ait pu comprendre ce qu'elle voulait dire, sa mère profita du fait que Jacob tienne encore ses bras en l'air pour dégrafer d'un geste habile son soutien-gorge et le lui retirer du même geste. Océane recommença alors à se débattre, ce qui n'empêcha pas sa mère de s'emparer de sa culotte et de la faire glisser jusqu'au sol, avant de ne me l'enlever.
Paniquée, Elle se rendit compte qu'elle était nue comme un ver face à toutes ces personnes, et que ses bras retenus dans mon dos l'empêchaient non seulement de me couvrir, mais faisaient pointer ses seins en avant d'une manière très suggestive. Sa toison n'était pas plus camouflée aux regards.
- C'est bien comme ça que tu aimes de promener dans la rue, non ? Jacob, veux-tu bien la mettre en position ?
Sans perdre plus de temps, Jacob se retourna, entraînant sa prisonnière avec lui, et après que les autres voisins aient débarrassé la table de jardin, il la pencha dessus, bombant ses fesses par la même occasion, ses bras toujours maintenus dans son dos.
La tentative d'Océane pour garder ses jambes le plus serrées possibles fut bien vite réduite en cendres par sa mère qui l'enjoignit du genou à écarter les jambes. Désespérée, elle obéit tout en ayant une parfaite idée de ce qu'elle offrait ainsi, de nouveau. Tout recommençait ! Elle devait être plus que maudite pour se retrouver dans ces situation de manière aussi régulière !
Mais avant qu'elle ait pu s'étendre plus sur sa malchance presque surnaturelle, Océane sentit que sa mère était sérieuse quand elle s'empara immédiatement de sa brosse en bois fétiche.
- Tu m'as fait attendre 24 heures sans me donner de nouvelles, cela te fait donc 24 claques. Puis tu es revenue sans tes sous-vêtements sans pouvoir me donner d'explication, cela double ton nombre de claques à 48. Puis tu as séché l'école, cela double ton nombre de claques à 96. Puis finalement, le pire de tout, tu m'as menti en ne me le disant pas, ce qui double ton nombre de claques à 192.
À l'écoute de ce nombre ahurissant, Océane sentait déjà ses fesses lui faire mal, comme une préparation pour ce qui allait suivre.
- Nous sommes 12 personnes majeures en droit de donner en fessée à cette jeune femme. Je propose que nous lui donnions chacun 16 coups pour arriver au juste total.
Toutes les personnes concernées acceptèrent avec enthousiasme, et les mineurs protestèrent à grands bruits, sans résultats.
Sa mère prit le premier tour, et donna à Océane ses 16 coups de brosse avec sa minutie habituelle. La douleur fut très brève à venir, et ses premiers gémissements de douleur arrivèrent déjà. Quand elle eut fini sa besogne, sa mère fut immédiatement remplacée par un homme d'une cinquantaine d'années.
Celui-ci refusa poliment la brosse, et préféra s'emparer de sa large ceinture de cuir. Rien que sa vue arracha un petit cri à la punie, et le premier coup lui arracha une longue plainte de douleur. Sans montrer la moindre pitié, il continua sa besogne et au bout des 16 coups, ses fesse étaient déjà bien rouges.
- Elle crie trop fort, intervint une jeune mère, elle réveille mon bébé !
- Tu n'as pas honte, se moqua un des voisins en s'approchant d'Océane, attends j'ai un bonne idée. Il emprunta le foulard de sa femme, et s'approchant de la jeune femme le lui enfonça dans la bouche avant de le serrer fortement derrière sa tête, étouffant ainsi ses futurs cris de douleur.
- Bonne idée, le félicita la mère, tu veux prendre le prochain tour ?
Celui-ci accepta avec joie, et préféra donner ses 16 coups à la main. Les cris et gémissements d'Océane étaient désormais en grande partie absorbés par le bâillon qui, bien que plus confortable que le dernier qu'elle avait porté, augmentait considérablement son niveau d'humiliation.
Les personne s'enchaînaient derrière elle pour pouvoir donner leur dose de claques. Certains utilisaient leurs mains nues, d'autres la brosse de bois, un homme utilisa même sa chaussure. Mais le plus douloureux restait la ceinture, qui laissait de profondes marques dans la peau.
Les 192 coups finirent par être tous donnés, et à la fin, la jeune femme se reposait entièrement sur la table, car ses jambe défaillaient. Aucune partie de ses fesses ou de ses cuisses n'avait été épargnée, et plus les coups avançaient plus elle avait du écarter les jambes pour ne pas tomber, en dévoilant toujours plus à ces gens qui n'auraient jamais du en voir autant, tout cela sous les acclamations des enfants qui se régalaient du spectacle.
Sa mère la redressa alors, et son premier réflexe fut de protéger sa touffe d'une main et sa poitrine de l'autre, mais sa mère s'empara de ses mains et la força à les laisser le long de son corps. Océane voulut ensuite enlever ce bâillon ridicule, mais une nouvelle claque l'en découragea.
- Jeune fille, si tu crois que ta punition est terminée, tu es loin du compte ! Il est encore tôt et il reste beaucoup de viande à manger ! Ce barbecue est loin d'être terminé, et tu vas rester ici, à cet endroit précis jusqu'à ce que je dise autrement. Compris ?
Matée, sa fille hocha doucement la tête en retenant ses larmes.
- Non, intervint sa mère, par comme ça, ce n'est pas ainsi que se tient une fille punie.
Elle s'approcha de la punie et lui croisa les mains derrière la tête. Sur sa lancée, elle poussa ses coudes en arrière, ce qui eut pour effet immédiat de mettre ses seins considérablement en avant. Ne s'arrêtant pas en si bon chemin, elle lui fit écarter largement les jambes, et après qu'elle ait baissé la tête de honte, elle la lui redressa et la força à regarder les gens dans les yeux.
- Tu resteras ainsi, et si tu bouges ne serais-ce que d'un cheveu, tu es repartie pour une nouvelle fessée à nouveau doublée, c'est-à-dire 384 claques !
Terrorisée, Océane se jura que peu importe ce qui arriverait, elle resterait parfaitement immobile. Sa mère lui retira alors son bâillon humide.
- Et si tu n'émets ne serais-ce qu'un son, même chose, d'accord ?
Muette et immobile, Océane ne savait pas comment répondre à sa mère qui se contenta de son silence. Puis elle retourna vers les voisins en souriant.
- Voilà, cette petite fête peut continuer. Ne faites pas attention à elle, elle n'est qu'une statue décorative !
Totalement humiliée et exposée, Océane vit du coin de l’œil des ombres s'approcher de moi. Sans oser se retourner, elle vit alors les 4 enfants s'approcher d'elle, menés, bien évidemment, par sa peste de sœur Camille, accompagnée de trois garçons de son âge.
- Tu es sûre ? Demanda un d'eux.
- Bien sûr, elle n'osera rien dire, et comme maman l'a dit, elle est juste une statue décorative, qu'est-ce que tu risques ? Le but c'est de la faire réagir. Si elle ne bouge que d'un poil, on a gagné !
À la fois enragée et horrifiée, la jeune femme vit les petits monstres s'approcher lentement d'elle. Tout d'abord timides, ils gagnèrent rapidement en confiance en la chatouillant absolument partout où leurs mains pouvaient se rendre. Camille leur apprit que les seins étaient une partie particulièrement sensible, et ils se concentrèrent dessus.
Heureusement elle n'était pas vraiment chatouilleuse, mais le fait d'être tripotée ainsi par des jeunes la mettait extrêmement mal à l'aise, et cette peste de Camille ne perdait rien pour attendre ! Quand ils se rendirent compte que les chatouilles ne servaient à rien, ils commencèrent à lui donner de petites fessées. Ils étaient tous les quatre regroupés derrière elle à la fesser sans pour autant lui causer de grande douleur, quand Camille prit la parole.
- Attendez, je vais vous montrer quelque chose.
Puis, comble de l'horreur, elle s'empara d'une de ses fesse dans chacune de ses mains et les écarta.
- Là elle devrait réagir, commenta-t-elle alors que je sentais les regards des garçons bloqués sur mon intimité que je ne pouvais en rien dissimuler.
Au même moment, les parents des enfants les appelèrent pour rentrer à la maison. Extrêmement déçus, il donnèrent chacun à Océane une dernière fessée avant de partir rejoindre leurs parents. Quant à la punie, elle n'avait ni bougé ni parlé, et elle vis à son regard que Camille en était extrêmement mécontente, ce qui représentait son seul élément de joie de la journée.
Enfin tranquille, elle resta ainsi au total de nombreuses heures, le temps que tous finissent de discuter et se décident de rentrer. En passant à côté d'elle, Océane eut droit à des commentaires réprobateurs, moralisateurs, grivois et même à quelques caresses ou claques.
Quand tous furent partis, elle n'osa quand même pas bouger avant que sa mère n'arrive finalement et lui adresse la parole.
- C'est bon, tu peux bouger. Maintenant tu vas tout ranger, et quand tu auras finie tu iras directement dans ta chambre, je ne veux pas te voir de la soirée.
Quittant enfin cette position humiliante, Océane dut faire de nombreux aller-retour entre le jardin et la maison pour ramener toutes les assiettes. Quand tout fut propre, elle ne se fit pas prier pour courir dans sa chambre en sanglotant de cette nouvelle journée d'horreur.

Océane ne savait pas ce qu'elle avait bien pu faire pour hériter d'autant d'humiliations, mais elle ne pouvait qu'espérer que celle-ci était bel et bien la dernière, et qu'elle n'aurait plus jamais à se montrer nue de cette manière.

samedi 30 août 2014

Mal choisir ses amis 1

Océane tira une longue bouffée de cigarette, avant de lentement exhaler un filet de fumée à travers la fenêtre ouverte.
- Et ce bouffon a cru qu'on allait sortir ensemble ! Tu le crois ça ?
- Non, c'est pas vrai !
- Avec sa tête de thon décongelé, il devrait savoir qu'il a pas la moindre chance avec une reine comme moi !
Le jeune femme rejoignit le rire de mes deux copines, ne tenant surtout pas à être tenue à l'écart. Au cours de sa vie, elle n'avait jamais été particulièrement populaire, et n'avait eue que très peu d'amies. Mais depuis le début de cette année scolaire, les choses étaient bien parties pour changer. En effet, elle avait rejoint l'équipe de volley-ball de son école, dont faisaient partie Mégane et Delphine. Elle avait ensuite peu à peu, malgré sa timidité maladive, tenté de s'approcher d'elle. En effet, Mégane et surtout Delphine étaient de vraies reines à l'école, et si elle parvenait à gagner leur sympathie, voir même leur amitié, elle pourrait enfin être reconnue par les autres, et exister.
Donc quand l'occasion de les inviter chez elle s'était présentée, elle avait sauté sur l'occasion et elle se retrouvait à présent à fumer avec ces deux filles qui, quelques semaines plus tôt, n'auraient même pas fait attention à son existence. Océane devait jouer ses cartes très prudemment, pour absolument être le plus cool possible aux yeux des deux filles.
Elle repoussa ses longs cheveux bruns d'un geste de la main en riant à la nouvelle blague de Delphine. Pendant ce temps, elle cherchait de toutes ses forces quelque chose de drôle à dire, mais rien de me venais à l'esprit. Vite, il ne fallait absolument pas qu'elle passe pour une pauvre fille qui ne faisait que rire bêtement aux blagues des autres. C'est alors qu'elle pensa à cette anecdote qui lui était arrivée la semaine dernière.
- Eh, je viens de penser à quelque chose d'énorme, jeudi dernier...
- En tout cas Océane, l'interrompit sans la moindre délicatesse Mégane, c'est cool de pouvoir fumer dans ta chambre comme ça, ma mère voudrait jamais !
- Ouais, confirma Delphine, c'est cool.
Ce simple commentaire suffit à la rendre heureuse, bien qu'elle ne puisse pas oublier que sa mère non plus ne serait absolument pas d'accord avec le fait qu'elle fume, non seulement dans la maison, mais en général. Heureusement elle n'était pas stupide, et s'était assurée que sa mère serait absente cette journée-là. Il n'y avait que sa petite sœur Camille à la maison, mais elle était dans sa chambre, à une bonne distance de la sienne. Il n'y avait aucune raison pour que les choses tournent mal pour elle.
C'est alors qu'un sourire pointait sur son visage, que la porte s'ouvrit violemment derrière elles. La jeune femme se retourna vivement pour voir, au comble de l'horreur, que sa mère était dans le cadre de la porte, le visage glacial.
Au comble de l’incompréhension, ellee eut vite ses réponses en voyant sa petite peste de sœur lui adresser un grand sourire quelques pas derrière leur mère. En quelques secondes, les cigarettes avaient été jetées par la fenêtre ouverte, mais elles avaient été prises sur le coup.
- Océane, qu'étais-tu en train de faire à l'instant ?
- Rien maman, mentit-elle sans conviction alors que Mégane et Delphine la regardaient, comme si elles attendaient qu'elle jette sa propre mère dehors, ce qu'elle aurait bien voulu faire d'ailleurs.
- Rien ? Tu oses me dire, devant moi, que tu ne faisais rien ?
En voyant qu'Océane n'avait rien à dire, ses deux copines décidèrent qu'elles avaient assez traîné dans les parages, mais alors qu'elles s'approchaient de la porte, la mère d'Océane ne bougea pas d'un poil.
- Vous deux, vous n'êtes peut-être pas mes filles, mais vous avez fumé sous mon toit, et je ne suis pas prête à laisser passer cela.
- Vous ne pouvez rien faire, d'acco...
Delphine ne put finir sa phrase, surprise par la gifle qu'elle reçut de son interlocutrice.
- Tu parleras quand je t'en donnerai la permission. Maintenant, toutes les trois contre le mur.
Choquées, les deux filles rejoignirent Océane qui, habituée, s'était déjà mise à l'endroit indiqué.
- Océane connaît très bien la suite des événements, pourquoi ne le dirais-tu pas toi-même à tes amies ?
La jeune femme sentit alors le rouge lui monter aux joues, elle connaissait en effet parfaitement bien la suite des événements, mais elle ne pouvait pas le dire à voix haute, pas devant ses deux filles qu'elle avait désespérément tenté d'impressionner durant de longs mois.
Murée dans son silence, elle entendit sa mère tapoter son pieds par terre, ce qui était toujours signe d'impatience chez elle. Paniquée, elle rassembla donc son courage à deux mains et balbutia la réponse.
- U..une fe... une fessée.
Elle sentait bien les regards interloqués des deux autres, mais elle n'osait plus les regarder désormais, elle avait bien trop honte que les punitions qu'elle recevait encore à son âge soient révélées au grand jour, surtout à ces personnes en particulier.
- en effet, une bonne fessée pour vous trois !
- Non, pour qui vous vous prenez !
- Vous n'oserez pas !
Malgré les vives protestations des deux filles, la maman en colère s'avança vers elles et les retourna contre le mur, une après l'autre. Mégane lui résista, mais une nouvelle gifle la calma immédiatement et elle obéit aux ordres.
- Je suppose que vous n'avez jamais été fessées ? Demanda-t-elle aux deux filles.
Sans parler, elles répondirent négativement. Pour la première fois de leur vie, elles semblaient ne plus savoir quoi dire. Elles ne semblaient pas croire ce qui leur arriverait dans quelques instants. Seule Océane savait à quel point ma mère était sérieuse.
- Non seulement vous fumez, ce qui est aussi irresponsable que stupide, mais en plus vous le faites dans ma maison, sous mon toit, en imaginant que je ne remarquerais rien. Je ne sais pas comment vos parents vous ont éduquées, jeunes filles, mais j'espérais bien mieux de toi Océane. Tu me déçois énormément.
Une fois ces paroles dites, elle s'avança d'abord vers sa fille et entreprit de déboutonner son jeans. Cette dernière retint difficilement un petit cri quand ce dernier fut descendu autour de ses chevilles. Mégane n'en fit pas autant, et une claque sur ses fesses fut nécessaire pour la calmer le temps que son pantalon finisse dans la même position que celui de sa comparse.
Delphine quant à elle préféra la parole, et elle menaça la maman de toutes sortes de choses, ce qui n'empêcha pas son petit string d'être révélé au grand jour sous son short. Elle poussa alors un petit cri et le rattrapa dans le but évident de le relever, mais la mère s'empara violemment de ses mains avant de les recoller au mur.
- Maintenant, entama-t-elle, vous allez rester immobile et garder vos mains contre le mur. Si vous désobéissez, vous ne ferez que rendre votre cas encore pire, compris ?
Une fois qu'elle eut obtenu leur assentiment, forcé, à toutes, elle se plaça, se frotta les mains et donna la première claque. Celle-ci fut réservée à Mégane, qui ne put s'empêcher de sursauter. Elle passa ainsi d'une à l'autre, donnant les claques sans ordre particulier. Océane avait l'habitude de ces punitions, et la douleur dans cette partie du corps ne lui était pas étrangère, mais Mégane et Delphine commencèrent rapidement à sautiller d'un pieds à l'autre en poussant de petits gémissements, les menaces ayant stoppé il y a un bon moment maintenant.
La punition continua ainsi, chacune fessée de manière plus ou moins égale, à intervalle complètement aléatoire. Océane pouvait supporter la douleur, sa mère lui avait fait subir pire, mais ce n'était pas le cas de ses deux compagnes de fortune, qui semblaient se tordre de douleur. Il fallait dire que sa culotte était bien plus couvrante que les leurs, et que le petit string de Delphine ne lui était d'aucune aide, que ce soit pour la douleur ou pour dissimuler ses fesses.
Finalement, la mère en colère décida que nous en avions subi assez, et arrêta de distribuer les claques. Les deux novices, croyant que c'était terminé, tentèrent de remonter leur pantalon, mais elles n'eurent pas le temps de le faire avant que plusieurs nouvelles fessées ne leur fassent reprendre leur position.
- Après une fessée, leur expliqua-t-elle, les vilaines filles vont au coin. Mettez vos mains sur la tête, et ne bougez pas d'un muscle tant que je ne vous en aurai pas donné la permission. Compris ?
Une fois sûre que ses ordres seraient respectés à la lettre, elle quitta la pièce. Une fois seules, Océane entendit alors Delphine murmurer.
- Je te jure que tu n'as pas fini d'entendre parler de nous espèce de salope. Tu vas voir que personne ne nous humilie de la sorte.
- Mais... je n'ai rien...
- Ta gueule, me coupa Mégane, tu vas nous le payer.
La jeune femme sentit une sueur glaciale lui couler sur la nuque. Non seulement elle n'avait plus le moindre espoir de devenir leur amie, mais il semblerait qu'elle soit à présent leur ennemie. Et être ennemie avec ces deux-là revenait à un suicide social. Elle était finie.
Elles entendirent alors les pas se rapprocher et le silence revint comme par magie. Elle ouvrit la porte et s'approche lentement des punies.
- Je suppose que vous savez que fumer nuit gravement à vos voies respiratoires et à vos poumons ? Je vais vous apprendre à ne pas mettre n'importe quoi dans vos bouches !
Océane sentit des doigts ouvrir sa bouche, et y fourrer un objet assez imposant. Elle vit alors avec dégoût qu'il s'agissait d'une brique de savon. Le goût infect se propagea rapidement dans sa bouche, et elle eut l'immédiate envie de le recracher.
- Mords, ordonna néanmoins sa mère d'une voix dure qui la fit obéir.
Malgré leurs exclamations de dégoût, quelques nouvelles claques sur leurs fesses déjà bien rouges firent obéir les deux dissidentes qui mordirent tant bien que mal dans le savon.
- Voilà, les mains restent sur la tête, le savon dans la bouche et vous ne bougez pas tant que je n'ai pas dit le contraire, et je ne veux pas entendre le moindre son !
Sur ces derniers avertissements, elle quitta la pièce, et malgré son absence, on n'entendit aucun bruit pendant la prochain demi-heure. Le goût devenait de plus en plus immonde, et l'envie de vomir commençait à se faire bien présente, mais Océane n'osait pas ne serais-ce que relâcher ses dents.
Finalement, après trois-quart d'heure d'une attente longue et difficile, sa maman revint dans la pièce et les autorisa d'un ton sec à se retourner, ce qu'elles firent en tentant de ne pas se prendre les pieds dans leur pantalon. Elle s'avança d'abord vers Delphine, et lui retira lentement le savon de la bouche. Celle-ci sembla vouloir lâcher une réplique cinglante, mais elle préféra finalement garder un silence qu'elle espérait digne. Mégane semblait sur le point de tomber dans les pommes, et ne réagit pas quand ma mère lui retira l'objet de la bouche. Quant à Océane, elle évitait tous les regards, morte de honte.
- Vous deux, si dans une minute vous n'êtes pas hors de chez moi, je vous jure que ce que vous avez subi aujourd'hui ne sera même pas un commencement de ce que je vais vous faire.
Surprises, elles ne surent pas quoi faire, jusqu'à ce que ma mère reprenne la parole.
- soixante, cinquante-neuf, cinquante-huit...
Paniquées, elles remontèrent le plus vite possible leur pantalon, et sans prendre la peine de complètement couvrir leurs fesses elles coururent hors de la chambre. Océane les entendit prendre leurs chaussures et partir sans même les mettre.
Elle jeta un coup d’œil furtif à sa mère qui semblait toujours aussi furieuse.
- Au salon, maintenant.
Le jeune femme la suivit sans discuter, remontant son pantalon par la même occasion. Dans le salon, Camille jouait aux jeux vidéo, et elle vit arriver sa sœur avec un grand sourire. Elle fit immédiatement pause à son jeu, trouvant bien plus passionnant de la voir se faire disputer.
Maman s'assit sur le canapé, et Océane resta devant elle, fascinée par un point imaginaire située sur son épaule droite.
- Ma fille, commença-t-elle, je ne t'ai pas élevée toutes ces années pour que tu passes ton temps libre à fumer avec des filles de ce genre. Pour cette fois je ne vais pas te donner de grande punition, mais sache que la petite fessée que tu as reçu là-haut n'était là que pour tes amies. Maintenant tu vas en recevoir une vraie. Ensuite tu iras au coin jusqu'au souper, et tu réfléchiras à tes actes. Compris ?
Elle n'était pas vraiment surprise. Elle hocha doucement la tête, et resta parfaitement immobile pendant qu'elle faisait glisser de nouveau son pantalon jusqu'à ses chevilles. Cette fois-ci elle ne s'arrêta pas là et lui fit lever une jambe, puis l'autre pour le lui retirer complètement. Elle prit son temps pour le plier et le poser à côté d'elle, puis elle saisit l'élastique de sa culotte avant de la faire glisser également le long de ses cuisses, puis de le lui retirer pareillement. Silencieusement, elle se couch en travers de ses genoux comme elle en avait l'habitude, jusqu'à ce que ses mains atteignent le sol. Devant elle, elle voyait l'accoudoir du canapé, sur lequel était posé l'instrument de la punition, une large paddle en bois. Sa mère s'en saisit, et Océane ferma les yeux, se préparant au premier coup, qui ne tarda pas à tomber.
Tout de suite, la petite fessée à la main qu'elle avait reçue plus tôt sortit de ses pensées, remplacée par la douleur intense des coups de brosse. Elle resta le plus longtemps immobile, mais bientôt elle se mit à gigoter en poussant des petits cris de douleur. Sa mère savait y faire, et elle l'immobilisa d'un geste expert pendant qu'elle continuait implacablement de recouvrir le fessier de de sa fille avec des marques rouges.
Finalement, les coups commencèrent à s'espacer de plus en plus, et sa mère prit la parole, haussant la voix pour couvrir les cris de douleur.
- J'espère que tu as compris la leçon jeune fille, maintenant au coin, les mains sur la tête jusqu'au souper !
Océane hocha la tête en sanglotant, et la fessée s'arrêta enfin. Elle descendit des genoux maternels, et se traîna difficilement jusqu'au coin des punitions, à l'autre extrémité du salon. Il avait été choisi ainsi parce que depuis cet endroit, la punie était visible depuis le jardin, la porte d'entrée et l'escalier menant à l'étage.
La jeune femme s'y rendit et posa ses mains sur la tête pour une nouvelle séance de réflexion, durant laquelle elle se morfondit sur son sort et ce qui l'attendait le lendemain à l'école. Qu'est-ce que qu'elles lui réserveraient ? Elle tentait tant bien que mal de se rassurer en se disant qu'elle avait elle aussi un moyen de pression sur les deux filles, après tout elles avaient été fessées chez elle, et avaient passé plus de trente minutes au coin avec un savon dans la bouche, elles avaient tout aussi honte qu'elle.
Ses pensées étaient régulièrement arrêtées par la douleur de ses fesses qui étaient désormais d'un rouge profond. Elle ne voulait qu'une chose, les caresser pour faire baisser la douleur, mais elle savait bien que sa mère l'interdisait, et que sa sœur se ferait un plaisir de la dénoncer pour qu'elle soit encore plus punie. Elle resta donc parfaitement immobile pendant une nouvelle demi-heure, jusqu'à ce que sa mère la prévienne que le souper était prêt. Elle remit alors ses habits, et passa à la cuisine en tentant d'oublier les événements de la journée, même si les regards narquois de Camille ne l'aidaient vraiment pas dans cette tâche.
Elle finit de manger le plus rapidement possible, et dès qu'elle eut la permission, retourna dans sa chambre pour pleurer sur son futur qui s'annonçait particulièrement sombre.

xXx

Trois jours avaient passés depuis ce fameux après-midi, et Océane faisait son possible pour éviter tout problème. Personne ne faisait vraiment attention à elle, et elle en déduisit donc qu'elles n'avaient rien dit à personne. Elle garda donc elle aussi le silence à ce propos, et pensa qu'elles avaient ainsi un espèce d'accord tacite.
Par contre, toute idée de popularité l'avait définitivement quittée, et elle était retournée à sa vie d'inconnue ignorée de tous, ce qui n'était finalement pas pour la déranger. Elle avait tentée de sortir de l'ombre, et cela s'était plutôt mal fini pour ses fesses, dans tous les sens du terme, et elle pouvait s'estimer heureuse que les choses n'aient pas tournées encore plus mal.
Elle regarda sa montre pour ce qui lui semblait être la millième fois, en attendant que la cloche sonne. D'un côté, elle avait vraiment hâte que les cours finissent, mais après les cours, elle avait entraînement de volley-ball. Et sur ce point encore elle était partagée. En effet elle adorait vraiment ce sport, et elle avait toujours hâte et envie d'en faire, mais Delphine et Mégane étaient membres de l'équipe, et ce serait la première fois depuis... l'accident, qu'elle devrait se confronter face à face avec elle, et cela l’effrayait. La jeune femme avait bien en tête leurs menaces, et elle aurait été stupide de ne pas les prendre au sérieux. Le mieux à faire était encore de se faire le plus discrète possible, de leur parler le moins possible et de se concentrer sur le jeu.
Une fois que la sonnerie libératrice ait sonné, Océane s'empara de son sac de sport, et c'est avec une boule au ventre qu'elle se dirigea vers la salle de volley-ball. Dans les vestiaires, Océane vit avec joie qu'elle était la première arrivée. Elle enfila rapidement ses affaires de sport, et passa ensuite le temps avant l'arrivée des autres en faisant ses échauffements.
Quelques minutes plus tard, elle entendit des bruits dans les vestiaires, et le reste de l'équipe ne tarda pas à arriver. Leur équipe comportait six membres. La capitaine était Delphine, secondée par son éternelle acolyte Mégane. Les autres étaient Caroline, Charline et Judite, qui étaient prêtes à tout pour s'attirer leurs faveurs. Océane ne pouvait décemment par leur en vouloir, étant donné qu'elle était exactement comme elles il y a quelques jours à peine, et que la seule raison pour laquelle elle avait abandonné cette idée était qu'elles avaient été fessées chez elle par sa mère.
Aucune d'entre elle ne lui accorda un regard, et durant tout l'entraînement Océane subit leur froide indifférence. Elle ne recevait pas la moindre passe, et les quelques actions qu'elle réussit tout de même à faire ne soulevèrent pas le moindre sourire ou mot de félicitation. Même ses échecs ne lui valaient pas des moqueries perçantes comme elle s'y attendais, mais un silence pesant. La jeune femme avait beau être habituée à l'indifférence, cela n'avait jamais été à un tel niveau, ni avec un tel... mépris.
Pour la première fois, Océane salua avec bonheur la fin de l'entraînement, et fila aux vestiaires sans un mot. Elle se doucha rapidement avant d'enfiler un short et un débardeur. En effet elle avait vraiment chaud après l'entraînement. Elle finissait de se changer au moment où les filles de l'équipe entraient dans le vestiaire. Sans leur jeter un regard, Océane se dirigea vers la sortie, mais elle buta contre l'une d'entre elle, Caroline, qui me bloquait le passage.
- Pardon, j'aimerais passer.
- Ah bon ? Tu voudrais passer ?
La voix de Delphine retentit dans son dos.
- Et pourquoi est-ce qu'une petite fille pourrait nous dire ce qu'elle veut ?
- De quoi tu...
- Ne me dis pas tu as oublié, susurra-t-elle, que quand on était chez toi, ta mère t'a donnée une bonne et belle fessée.
Le mot lui fit immédiatement monter le rouge aux joues, sous les rires de ses cinq coéquipières qui l'avaient maintenant encerclée. elle ne put que répliquer :
- Et ta fessée, comment tu l'as prise ?
Sa remarque fit froncer les sourcils des autres filles, et Océane attendit de voir la réaction de la principale intéressée, qui conservait son sourire moqueur.
- Oh, c'est tout ce que tu as trouvé ? Un pitoyable mensonge ?
Océane comprit soudainement qu'elle avait vraiment été stupide de croire que qui que ce soit la croirait par rapport à elle. Les filles se rapprochaient de plus en plus d'elle, chacun arborant un sourire peu engageant. Tentant le tout pour le tout, la jeune sportive lança son sac de sport sur Caroline et força le passage, mais elle ne put pas aller vraiment loin. En effet quelques pas plus tard elle sentit un poids sur son dos et trébucha. Ses jambes se dérobèrent alors et elle se retrouva sur le sol sans savoir comment elle était tombée.
Océane se débattit de toutes ses forces en tentant tant bien que mal de se relever, mais elles étaient maintenant cinq à la maintenir au sol et elle ne pouvait pas faire le moindre geste. La jeune femme criait à l'aide, mais elle savait bien qu'à cette heure il n'y avait plus personne dans le bâtiment. Finalement, elle se sentit décoller du sol sans pouvoir faire quoi que ce soit.
Elles s'assirent sur un des longs bancs qui bordaient les murs de la salle, et Océane était couchée de force sur leurs genoux. Ses mains étaient maintenues au-dessus de sa tête par Charline, et en se débattant elle vit que ses jambes étaient immobilisées par Caroline et Judite. Delphine et Mégane étaient assises entre elles, riant tout en savourant le début de leur revanche.
- Tiens bien ses mains Charline, ordonna Mégane dans un sourire.
Puis sans qu'elle puisse faire quoi que ce soit, elle tira son débardeur et le lui retira. Son soutien-gorge suivit le même chemin immédiatement après, et ses cris de colère et de honte ne changèrent rien à sa semi-nudité, elle était trop fermement retenue.
- Attends, laisse-nous de mettre à l'aise pour la suite des événements, ricana à son tour Delphine.
Océane sentit alors à son grand désespoir son short se faire déboutonner, puis lentement glisser le long de ses jambes, jusqu'à arriver à Caroline qui malgré ses battements de jambe parvint à le lui retirer sans grande difficulté. Et bien que la jeune femme se doutait de la suite des événements, elle fut quand même désespérée de sentir sa culotte glisser, puis lui être retirée de la même manière.
Océane avait beau se débattre de toutes mes forces, ses soubresauts ne faisaient qu'attirer les moqueries des filles.
- Et maintenant, si on prenait exemple sur ta mère, et qu'on te punissait pour ta mauvaise attitude ?
Puis, sans prendre la peine de lui expliquer quelle mauvaise attitude elle aurait pu possiblement avoir, Delphine se frotta énergiquement les mains avant de commencer ce qu'Océane craignait, une fessée. Delphine et Mégane frappaient en même temps ou a tour de rôle, et les autres donnaient des claques occasionnelles, bien que leur travail consistait plutôt à retenir ses tentatives furieuses de libération. Cette fessée n'était pas méthodique comme celle de sa mère, mais chacune frappait à qui mieux mieux de toutes leurs forces, et bientôt la colère fit place à la douleur dans son esprit, et ses cris de colère se transformèrent en cri de douleur. Les claques se suivaient sans interruption, et le fait d'avoir cinq fesseuses faisaient que si une fatiguait plusieurs autres prenaient sa place.
Cette punition ne semblait pas avoir de fin, et les larmes de douleur commençaient à lui venir aux yeux, quand elle sentit les coups stopper.
- Alors, quelque chose à dire ?
- Espèce de salope, fit tout ce qu'elle put dire, réunissant toute sa haine dans ces mots.
- Oh, s'exclama Delphine, tout en prétendant un air peiné, quel langage ma chère. Je pense que tu devrais faire plus attention aux mots qui sortent de ta bouche. Attends, je vais t'aider.
Puis au grand désespoir d'Océane, elle la vit sortir une brique de savon identique à celle qu'elle avait elle-même tenu entre ses dents quelques jours plus tôt.
- Ouvre grand ! Entama-t-elle en l'approchant de la bouche de sa victime, que cette dernière gardait fermement close.
Malheureusement, ses tortionnaires ne l'entendaient pas de cette oreille et une pression suffisante sur sa mâchoire la fit finalement ouvrir grand, et elle put y glisser l'immonde savon. Océane le cracha immédiatement, mais elle sentit alors une main la saisir par le menton et retourner son visage sans la moindre douceur vers elle.
- Si tu ne gardes pas ce savon bien serré entre tes dents, petite traînée, murmura Delphine d'un air menaçant, je te jure que je te le fais manger, puis je t'en enfoncerai un dans chacun de tes orifices, compris ?
Effrayée, Océane hocha doucement la tête et quand elle approcha le savon de son visage elle ouvrit le bouche sans pouvoir résister à son regard dur. Elle l’enfonça à moitié, et la punie serra alors les dents pour le tenir fermement. Le goût était tout aussi immonde que celui de la maison.
Mégane se dégagea alors et, se glissant sous le ventre d'Océane, put se relever et admirer leur œuvre. Tout en souriant, elle se saisit de son téléphone.
- Je pense qu'une si belle expérience mérite quelques belles photos souvenirs !
Le savon coincé dans ma bouche l'empêchait de crier proprement, mais le cri de détresse d'Océane fut clairement audible.
- Je pense, déduisit Delphine avec un grand sourire, qu'elle veut de la compagnie, que dirais-tu d'inviter les garçons ?
Et avant qu'elle ait pu comprendre l'horreur de ce que Delphine venait de dire, les claques reprirent de plus belle, la renvoyant à sa douleur. Elle entendit tout juste Mégane parler au téléphone pendant que la douleur devenait de plus en plus insupportable. Quelques minutes plus tard, ses fesses étaient en feu, mais elle entendit des bruits de pas dans le couloir. Le pire était en train d'arriver. La porte du vestiaire s'ouvrit et les six garçons de l'équipe masculine de volley-ball entrèrent dans la pièce. La fessée s'arrêta alors.
Océane tourna la tête vers eux, et la honte fut si forte que les larmes commencèrent à couler sur ses joues. Les garçons avaient l'air très surpris, et ne semblaient pas trop savoir comment réagir à la vue de quatre filles qui tenaient couchée sur leurs genoux une cinquième fille entièrement nue, un savon enfoncé à moitié dans la bouche et ses fesses entièrement couvertes de rouge.
- Disons qu'il s'agit d'un petit règlement d'affaires entre filles, expliqua Mégane à leur question muette, et vous avez le droit d'assister.
Elle s'approcha alors d'Océane et d'une claque signala que la fessée avait recommencée. Elle se débattait de plus en plus fort, mais elle n'osait pas cracher le savon, de peur que Delphine ne mette sa menace à exécution. Elle se doutait bien de la vue qu'elle offrait aux garçons, mais elle ne pouvait pas rester immobile avec une telle douleur. Elles étaient loin de ne frapper que les fesses, et ses cuisses en avaient également prises pour leur compte.
- En tout cas, commenta Mégane tout en continuant de filmer la scène, on en peut pas dire que tu sois très pudique avec ces mouvements de jambe. Je peux t'assurer que les garçons ne ratent rien !
Ceux-ci s'étaient très rapidement mis à l'aise, et, assis sur le banc d'en face, ils y allaient tous de leur commentaire grivois. Plusieurs semblaient passablement excités par le savon qui l'empêchait d'articuler correctement.
- J'ai une idée, continua-t-elle, si tu veux tant que ça te montrer, on peut t'aider tu sais. C'est là pour ça les amies !
Océane sentit alors ses jambes, qui étaient jusque là plutôt solidement tenues ensemble, être largement écartées. L'une fut bloquée entre des jambes, alors que l'autre fut remontée assez haut pour exposer très largement ses lèvres et sa vulve. Elles furent bloquées dans cette position par les bons soins de Caroline et Judite, et la jeune femme ne put rien faire pour se libérer de cette position humiliante.
Les garçons étaient aux anges, et le faisaient bruyamment savoir à grands renforts de sifflements et d'applaudissements. Ils avaient beau savoir qu'ils étaient utilisés comme simples instruments de vengeance, ils ne semblaient pas s'en soucier et étaient bien assez heureux comme ça.
Cette nouvelle position offrait de nombreuses possibilités aux jeune femmes, qui ne se firent pas priver pour couvrir de claques l'intérieur de ses cuisses, jusqu'à ce qu'elles soient aussi rouges que ses fesses et ses cuisses. Le goût du savon lui donnait de plus en plus envie de vomir, et la douleur lui déchirait le fessier si bien que les larmes coulaient à présent sans la moindre retenue sur les joues de la punie. L'humiliation d'être vue ainsi et nue par les garçons et de savoir que tout cela était filmé n'arrangeant absolument rien à son état.
Finalement, elle sentit les coups s'espacer, puis finalement s'arrêter. À travers ses yeux embués de larmes, Océane vit Mégane se pencher vers elle avec un large sourire. Elle lui retira sans un mot le savon de la bouche dégoulinant de salive et le jeta derrière elle.
- Alors, qu'est-ce que tu as à nous dire, à Delphine et à moi ?
- D...désolé.
- Désolé qui ?
- Désolé... madame ?
Océane sentit alors quelqu'un attraper une de ses fesses à pleine main, et la tordre violemment.
- Nous sommes deux, espèce d'idiote, me sermonna Mégane pour couvrir mon cri de douleur.
- Désolé mesdames !
Elle sentait que la douleur continuait en augmentant de plus en plus, et elle commença à lancer en pagaille.
- Désolé mesdames ! Mesdemoiselles ! Maîtresses !
Elle sentit alors la pression disparaître, même si la douleur était persistante.
- Oui, réfléchit Mégane à voix haute, c'est bien maîtresse, t'en dis quoi Delphine ?
- J'aime bien, répète !
- Dé...désolé maîtresses, répéta-t-elle alors, couverte de honte et sanglotante.
- C'est bien, répondit Mégane en lui tapotant la tête comme à un petit chiot.
Totalement humiliée en public, Océane sanglotais en silence, attendant de savoir ce qu'elles allaient faire d'elle. Ses jambes étaient toujours maintenues largement écartées, et elle sentait tous les regards masculins se concentrer sur ce qu'elles dévoilaient.
- Bon, entama un des garçons qu'elle ne connaissait que de vue, on fait quoi maintenant ? On rentre chez nous ?
- Déjà ? minauda Delphine avec son petit sourire charmeur, que diriez-vous de faire quelques parties de cartes?
Tous semblaient emballés par l'idée, mais un problème se posa rapidement.
- Quelqu'un a des cartes ?
- Monsieur Bressaud a toujours une mallette avec tout ce qu'il faut pour jouer au poker dans son bureau, mais à cette heure les salles de classes sont fermés.
- À moins que... commença Mégane en sortant de son sac de sport une clé d'apparence banale, quelqu'un ici possède un exemplaire du passe-partout de l'école.
- Comment t'en as eu un ? Demanda une voix admirative dans mon dos.
- Petite magouille, rien de très impressionnant, se vanta pourtant l'intéressée en se pavanant. Bon, les garçons, vous pouvez y aller directement pendant que nous nous changeons.
- Vous pouvez prendre cette petite chienne avec vous, continua Delphine en tapotant les fesses d'Océane, mais pas de débordements, d'accord ?
Tous approuvèrent avec enthousiasme, et la jeune femme fut soudainement retournée sur le dos, pour faire face à celle qui m'avait tant fait souffrir.
- Si tu cries ou poses le moindre problème, murmura-t-elle en lui pinçant fortement les seins, je t'assure que tu comprendras ta douleur.
- D...d'accord... maîtresse...
Puis elle fut poussée par terre, retrouvant enfin une certaine liberté de mouvements. Elle tenta de se relever, mais une fois à genoux elle fut bien aidée par les garçons qui s’empressèrent de la soulever, avant de quitter la pièce pour laisser les filles se changer.
Une fois dehors, Océane sentit les premières mains commencer à se perdre. Au début, elle se contenta de les repousser sans dire un mot, mais ils se faisaient de plus en plus insistants, et la promesse de Delphine retentissait dans sa tête, et elle arrêta donc de lutter. Ils prirent ça comme un signal et les mains baladeuses se firent légion. Ils faisaient en sorte de la porter deux par deux pendant que les quatre autres pouvaient s'en donner à cœur joie.
Océane serra les dents et ferma les yeux en espérant que les choses passent vite, tout en résistant à l'idée de protester ou de crier pour de l'aide. Finalement leur train d'enfer s'arrêta devant une porte de classe. Un des membres de l'équipe fit tourner la clé dans la serrure, et ouvrit la porte dans le même geste. Ils la portèrent jusqu'au bureau du professeur et la posèrent dessus.
- On fait quoi ? Demanda le plus grand, le regard avide.
- On ne fait rien, tempéra celui qui était sans aucun doute le plus musclé. On va la laisser se reposer et se remettre de ce que les autres filles lui ont fait. Elles peuvent être de vraies monstres quand elles s'y mettent.
Quelques-uns tentèrent de protester, mais un simple regard de sa part suffit à les calmer, et Océane put donc se reposer pour la première fois depuis des heures. Elle était roulée en boule sur le bureau, tentant de cacher me nudité et de calmer la douleur cuisante émanant de ses fesses et ses cuisses. Elle eut droit ainsi à plusieurs minutes de répit avant que la porte de la classe ne s'ouvre à nouveau.
- Oh, s'exclama Delphine en me voyant, je vois que vous l'avez installée sur le bureau. Bonne idée, mais ce n'est pas vraiment la bonne position pour une salope dans son genre qui ne demande qu'à s'exposer.
Océane sentit alors plusieurs mains se saisir d'elle et la forcer à s'asseoir sur le bureau. Cette position lui arracha des larmes de douleur, mais elle n'eut pas à la garder très longtemps. Elles la couchèrent sur le dos, et relevèrent ses jambes, avant de largement les écarter.
- Maintenant, la prévint-t-elle en me regardant dans les yeux, tu resteras dans cette position jusqu'à ce que j'en dise autrement. Mais je ne suis pas un monstre, tu as le droit de te tenir avec tes mains de temps en temps pour te reposer un peu.
Cette nouvelle humiliation lui fit un nouveau choc. Bien qu'elle savait que tous ici avaient déjà eu une bonne vue de son intimité un peu plus tôt, maintenant c'était elle qui s'exposait moi-même aux regards. Malgré la honte, elle garda la position indiquée, trop effrayée à l'idée d'une nouvelle fessée, ou pire.
De sa position Océane ne pouvais pas voir ce qui se passait, mais elle les entendais distribuer les cartes en riant. Vu sa situation actuelle, elle ne pouvait qu'espérer qu'ils jouent tranquillement leur partie, sans faire attention à elle, et qu'elle puisse rester tranquillement dans mon coin. Cet espoir bien maigre fut brisé à peine quelques secondes plus tard par la voix de Delphine.
- Voilà comment ça va fonctionner. Celui ou celle qui gagne un tour aura le droit de donner... allez, cinq claques sur les fesses d'Océane, et le vainqueur de la partie aura droit à une minute de fessée. Ça vous va ?
Soudainement tous semblaient extrêmement motivés et il n'y eut pas un seul refus de ces règles parmi les joueurs. Quant à Océane, elle sentit de nouvelles larmes lui monter aux yeux. La douleur était toujours sourde, et elle savait qu'elle ne serait pas longue à revenir au galop une fois les premières claques administrées.
La partie commença, et c'est avec anxiété qu'elle entendait les jetons être déplacés au fil du jeu. Finalement elle entendit une voix masculine pousser un cri de triomphe, avant de se lever et de se rapprocher d'elle. En prévention, la punie saisit ses jambes pour éviter qu'elles ne retombent sous la douleur, et elle vit qu'elle avait bien fait quand elle sentit la douleur se raviver sous les cinq claques fortes que le joueur de volley-ball lui infligea. De sa position, il ne ratait pas une miette de tout ce que la jeune femme avais à montrer, et il la caressait entre chacune de ses claques, sachant pertinemment qu'elle ne pourrait rien dire.
Une fois cette première fessée donnée, il alla se rasseoir à regret, et la partie continua. Les tours se succédèrent, Océane fut fessée par presque toutes les personnes assises autour de la table, et la douleur était de nouveau cuisante. Le grand vainqueur de la partie fut une fille, et comme par hasard, il s'agit de Delphine, qui se rapprocha d'elle lentement.
- Nous avons donc une pleine minute à nous deux, petite chienne, lui murmura-t-elle à l'oreille.
Elle se rapprocha du visage de sa victime, sa main glissant lentement le long de mon ventre, jusqu'à atteindre sa poitrine qu'elle commença à lentement malaxer. Elle lui pinçait et tordait les seins, et la douleur, qui était encore plus forte que les fessées précédentes, lui faisait pousser de petits gémissements que même elle trouvait misérables. La minute semblait sans fin, mais finalement elle s'éloigna pour rejoindre les autres.
Océane espéra vaguement que c'était fini, mais ils commencèrent une nouvelle partie, cette fois-ci remportée par Caroline qui elle profita de sa minute pour lui donner le plus de claques possible. La douleur était à présent insupportable, ses jambes n'avaient plus de forces et elle tombait de fatigue. Océane somnolait tellement que sans s'en rendre compte elle avait relâchée ses jambes qui s'étaient reposées sur le bureau. Paniquée, elle s'empressa de les relever, mais elle n'avait plus la moindre force et elles retombèrent immédiatement.
- Donc, tu m'as désobéi, claqua la voix de Delphine.
- ma... mais je....
- Laisse tomber Delphine, m'interrompit une voix masculine, il est passé minuit. On devrait rentrer. Je sais pas ce que tu voulais faire avec elle, mais je pense qu'elle a compris.
Océane vit un éclat de rage passer sur le visage de l'intéressée, mais une seconde plus tard elle retrouvait son sourire charmeur.
- C'est vrai Jack, je tombe d'épuisement, je pense qu'on devrait rentrer chez nous.
Puis pendant que la punie remerciait mentalement son sauveur, elle voyait ceux qui l'avaient torturée toute la soirée ranger tranquillement les cartes et les jetons et quitter la salle les uns après les autres. Océane avait prévue d'attendre que tous partent avant d'aller reprendre ses habits, de rentrer chez elle et de tout faire pour oublier cette soirée horrible.
Une fois le silence revenu dans la pièce, elle se laissa lentement glisser du bureau et s'approchait de la porte, quand elle vit qu'il restait deux autres personnes dans la pièce, et son cœur manqua un battement quand elle vit qui étaient ces deux personnes : Delphine et Mégane bien évidemment. Qu'est-ce qu'elles lui voulaient encore ? Elles ne l'avaient pas encore assez fait souffrir à leur goût ? Elle n'avait pas été encore assez humiliée ?
- Tu vois, quand on veut se venger, on ne fait pas dans la demi-mesure, commença Mégane, et nous n'avons jamais été autant humiliées que ce jour chez toi.
- Il faut aussi dire que c'était une soirée particulièrement plaisante, continua sa comparse, et je suis très triste qu'elle se finisse. J'espère que tu penses la même chose.
- Mais heureusement, la nuit n'est pas terminée pour toi ! Nous avons une dernière surprise qui, je n'en doute pas, te fera chaud au cœur.
Paniquée, Océane cherchait désespérément une issue, elle ne pouvait pas encore tomber entre leurs griffes ! Elle courut tant bien que mal vers la sortie mais elle fut immédiatement attrapée et immobilisée par les deux mégères.
- Inutile de courir, tu ne nous échapperas pas. C'est très impoli de refuser un cadeau, surtout quand tu es le cadeau.
Océane fut si surprise par cette déclaration qu'elle s'arrêta de se débattre, juste assez longtemps pour qu'elles puissent la renverser sur le sol. Elle s'étala dans un grand cri, et Mégane se précipita aussitôt sur sa victime pour l'écraser de tout son poids. Océane ne comprenait pas ce qu'elles voulaient, mais elle se débattit de toutes ses forces en appelant à l'aide, sans le moindre succès.
C'est alors qu'elle entendit un bruit très particulier et reconnaissable entre tous, celui d'un rouleau de tape qui était déroulé. Océane comprit immédiatement leurs intentions et se démena de plus belle, sans le moindre résultat. elle sentit le contact collant du tape sur ses chevilles, qui furent immobilisées quelques secondes plus tard par plusieurs tours d'adhésif. Elle ne s'arrêta pas en si bon chemin et fit de même au-dessus et au-dessous de ses genoux, afin de minimiser ses chances de s'évader, qui, il faut bien l'admettre, n'étaient déjà pas bien grandes à la base.
Ensuite ses mains furent brutalement ramenées dans son dos et ligotées à leur tour. Puis elles la redressèrent en position assise, et elle passa le tape juste en-dessous de ses seins, passa dans son dos, fit un nouveau tour celui-ci au-dessus de la poitrine, puis en-dessous, puis au-dessus jusqu'à ce que ses bras soient aussi immobilisés que ses jambes.
- À L'AIDE !!!!! tenta-t-elle en dernier recours, mais il n'y avait personne pour écouter ses appels.
- Tu sais quoi, je pense qu'il faudrait fermer cette grande gueule qui n'arrête pas de crier depuis des heures.
- Tu as raison, ça nous fera des vacances.
Océane vit alors avec horreur Delphine remonter sa jupe, s'emparer de sa propre culotte et la retirer doucement avant de s'approcher de moi.
- Allez, ouvre grand, prévint-t-elle.
Comme la victime refusait d'obtempérer, son nez fut bouché, jusqu'à ce qu'elle soit forcée d'ouvrir la bouche pour respirer. Profitant de l'occasion, Delphine lui enfonça le sous-vêtement usagé dans la bouche, remplaçant le goût du savon par un autre tout aussi peu ragoûtant. Elle n'eut pas le temps de le recracher que Mégane lui avait déjà collé une bande de tape sur la bouche, puis sans se soucier de ses cheveux elle en fit plusieurs fois le tour de sa tête, l'empêchant d'articuler la moindre parole.
- Mffffh ! Mffffh ! Fut tout ce qu'Océane put dire.
- Bah voilà, c'est beaucoup mieux.
- Mffffffh !
- Pardon ? Désolé, on comprend pas !
Qu'est-ce qu'elles allaient bien lui faire ? Pourquoi la ligoter de la sorte ? Elles avaient parlé de cadeau, qu'est-ce que ça voulait dire ? Océane n'avait pas la moindre réponse à ces questions, et cela l'effrayait plus que tout. Leur cruauté ne semblait avoir aucune limite, et elle avait déjà peur de ce qu'elles avaient prévu pour elle.
- Bon, moi je suis fatigué, j'ai hâte de retrouver mon lit. On fait le transport du cadeau, et on y va !
Tout en riant, les deux filles la soulevèrent et entreprirent de la porter hors de la salle. Elles abandonnèrent vite ce système trop fatiguant pour elle, et finirent par la traîner par les pieds, le frottement avec le sol lui faisant rapidement mal au dos.
Après plusieurs minutes de voyage, elles ouvrirent une porte et traînèrent leur paquet dans une pièce sombre. Elles la laissèrent là et Océane les vit s'affairer quelques minutes avant de se retourner vers elle, un large sourire au lèvre, et une feuille de papier en main. La pénombre l'empêcha de lire ce qui y était écrit, mais leur sourire n'avait rien d'engageant pour la jeune femme ligotée.
Elles posèrent la feuille sur son ventre, et y ajoutèrent des morceaux de tape sur les quatre côtés afin de s'assurer qu'elle ne bouge pas. Une fois ceci fait, elle les vis se pencher vers elle.
- Bon, maintenant il est temps de nous quitter ! C'était une très belle soirée, et on s'est bien amusée avec toi.
- Juste un dernier détail, ajouta Delphine. Pour qu'une surprise reste une surprise, il ne faut pas la voir. Donc...
Elle lui montra un bandana rouge dont elle se servit pour lui couvrir les yeux. Océane la sentit le serrer fortement, et finir le tout d'un solide nœud. Elle était à présent complètement aveugle, ce qui augmenta significativement son niveau de panique.
- Voilà, à demain petite esclave ! Bonne nuit !
- Mffffffh ! Mfffffffffffh !
Océane entendit leurs pas s'éloigner, puis la porte se refermer derrière elles. La jeune femme était complètement nue, ligotée, bâillonnée, les yeux bandés et enfermée dans une pièce inconnue. Elles avaient dit qu'elle était un cadeau... mais un cadeau pour qui ?

Malgré ses questions angoissantes et sa position très inconfortable, Océane était tellement épuisée qu'elle ne tarda pas à sombrer dans le sommeil.