lundi 15 septembre 2014

Mal choisir ses amis 2

Océane fut réveillée en sursaut par un bruit sourd. Elle mit quelques secondes à se souvenir d'où elle se trouvait, et surtout dans quelle situation, mais celle-ci me fut rapidement remise en mémoire pas la douleur lancinante dans ses bras, bloqués dans une position plus qu'inconfortable par du tape gris. Encore partiellement endormie, la jeune femme se débattit lentement, mais elle ne pouvait pas bouger une seule partie de son corps, ligotée de la sorte.
C'est alors que le grincement indiquant que la porte s'ouvrait retentit à ses oreilles. Toujours aveuglée par le bandana, elle ne pouvait pas voir ce qui se passait, mais elle tenta de faire le plus de bruit possible pour attirer un aide potentielle. À travers le tissu, Océane vit alors que la lumière avait été allumée, et que la personne qui était entrée ne pouvais que l'avoir vue.
- Mais bordel de merde, qu'est-ce que c'est que ça ?
La voix bourrue lui disait vraiment quelque chose, mais elle n'arrivait pas à mettre un nom dessus. La jeune femme en détresse essaya tant bien que mal de lui faire comprendre de la libérer, mais il ne semblait pas en avoir envie. Elle entendit les pas s'approcher et une main saisit la feuille que Delphine et Mégane avaient collé sur son ventre. Elle fut retirée sans douceur, arrachant à Océane une complainte étouffée par son bâillon.
- Mfffh ! Mffffffh ! Tenta-t-elle d'articuler pour lui faire comprendre de l'aider sans attendre, mais elle n'obtint aucune réaction et elle supposa qu'il était en train de lire cette mystérieuse feuille.
Puis, à sa grande surprise, Océane entendit alors un grand éclat de rire. La jeune femme ligotée ne comprenait pas ce qui pouvait possiblement être drôle dans cette situation, mais cela ne lui disait rien de bon, qu'est-ce que ces deux monstres avaient bien pu écrire sur cette feuille? Certainement rien de bon pour elle.
- Alors, il semblerait que quelques-unes de tes amies ont voulues de faire une petite blague, ricana-t-il.
Océane sentit qu'il s'approchait d'elle, et le bandeau qui recouvrait ses yeux disparut pour laisser place à une lumière qui bien qu'assez faible suffit à l'aveugler pendant plusieurs secondes. Quand elle put enfin voir correctement, Océane reconnut cette personne, et ce constat lui arracha une plainte d'horreur. Il s'agissait du concierge de l'établissement, connu et reconnu comme un pervers sale et répugnant par toutes les étudiantes de l'école.
- Oui, moi aussi je suis très content de te voir, c'est rare que j'aie de la compagnie aussi tôt le matin ! Je rentre tranquillement dans mon local de bon matin, et voilà ce que je trouve ! Un joli cadeau très bien emballé en plus !
Il lui mit alors le feuille sous les yeux, et Océane la lut en sentant la panique monter en elle. Il n'y avait écrit que quelques mots sur la feuille, mais leur sens était on ne peut plus clair.
Punissez-moi s'il-vous-plaît !
Il retourna ensuite la feuille, sur laquelle un texte plus long était écrit.
J'ai été une très vilaine fille, et je mérite d'être très sévèrement punie. J’accepterai toute les sanctions que vous jugerez bon de m'infliger sans dire un mot, et je suis entièrement à votre disposition.
Sa nudité totale se rappela aussitôt à son bon souvenir lorsque le vicieux commença à tripoter sa poitrine largement mise en avant pas les liens sans la moindre retenue. La jeune femme gigotait de son mieux, mais cela ne l'empêcha en rien de peloter chaque partie de son corps à la portée de ses grosses mains sales. Les larmes recommencèrent à couler le long de ses joues. Être touchée par des filles de mon âge était une chose, mais être tripotée de la sorte par un homme de cet âge atteignait un tout nouveau niveau de souffrance et de honte.
Ce dernier ricana, avant de s'emparer de ses seins et de violemment les tordre, lui arrachant un cri de douleur qui fut réduit par son bâillon à un vague gémissement. Les larmes aux yeux, elle le vit s'approcher et commencer lentement à les lécher, lui arrachant des petits gémissements pitoyables, pendant qu'elle essayait en vain d'échapper à son emprise.
- Allez, je suis sûr qu'au fond, tu aimes ça, n'est-ce pas petite salope ?
- Mffffh ! Mfffh ! Sanglotait Océane alors qu'il commençait à mordre ses mamelons, lui arrachant de nouvelles plaintes sourdes.
Après de longues minutes de souffrance, il délaissa sa poitrine et il la retourna sur le ventre sans la moindre douceur. La jeune femme se sentait extrêmement exposée, et ce fut avec horreur qu'elle sentit ses mains se poser sur ses fesses pour commencer à les peloter sans la moindre gêne. Soudainement, il les écarta, dévoilant, sous ses gémissements, le peu d'intimité qu'il lui restait à son regard lubrique. Il continua de la peloter ainsi pendant un temps qui parut infini à Océane, mais finalement il ponctua le tout d'une grande claque sonnante sur ses fesses et se releva.
- Bon, c'est important de s'amuser, mais il y a un travail à faire ! Il faut que je fasse le tour de l'école pour faire le nettoyage avant que les élèves n'arrivent, et tu vas m'aider, un peu de compagnie ne me fera pas de mal.
- Mfffh ?
Il s'empara alors d'un couteau et se pencha de nouveau vers sa victime. Terrifiée, Océane reculait de son mieux, mais il l'attrapa par les cheveux et la rapprocha de lui tandis qu'il coupait le scotch passant au-dessous et au-dessus de ses seins. Il l'arracha ensuite, avant de la pencher en avant pour faire de même avec les liens qui retenaient ses mains prisonnières.
La surprise fut telle qu'elle sentit à peine le douleur du scotch arraché. Océane resta quelques secondes immobile, puis sans réfléchir elle utilisa la nouvelle liberté de ses bras pour gifler son tortionnaire de toutes ses forces. Cet action stupide entraîna une réaction immédiate quand le concierge la gifla à son tour avec une force bien plus grande que la mienne. La force du coup l'envoya la tête contre le sol, et, profitant de son étourdissement, il ramena ses mains devant elle et, s'emparant d'un nouveau rouleau de scotch, lui ligota de nouveau les mains.
Il prit ensuite la jeune femme par la taille et la redressa d'un seul mouvement, la mettant à genoux devant lui. Océane vit alors qu'il tenait un nouvel objet à la main, un objet qui en le reconnaissant lui arracha une plainte de terreur. Sans tenir compte de ses gémissements, il se pencha vers elle, et lui passa autour du cou le collier de chien qu'il tenait à la main. Océane eut beau se débattre, il le serra assez pour qu'il reste en place, avant de s'emparer d'une laisse et de la passer dans l'anneau prévu à cet effet.
- Voilà petite chienne, maintenant tu vas venir avec moi. Et tu as intérêt à avancer rapidement si tu ne veux pas une nouvelle punition. D'accord ?
Impuissante, Océane ne put que faiblement hocher la tête alors qu'il s'emparait de l'autre extrémité de la laisse en ricanant. Il se releva et s'approcha de la porte lentement, tout en tirant sa victime derrière lui. Océane comprit alors que la tâche serait loin d'être facile. En effet elle pouvait à peine remuer mes jambes, étant ligotée au niveau des chevilles et des genoux, et si elle pouvait s'appuyer sur ses mains, elles étaient solidement attachées ensemble. Elle était obligée d'avancer ses deux jambes en même temps, tout en s'aidant de ses mains pour ne pas tomber. Cette méthode était très lente, mais elle n'avais rien de mieux dans sa position.
La jeune femme avait peur qu'il ne la trouve trop lente, mais il semblait trouver hautement amusant de la voir se traîner de la sorte à sa suite, comme un petit chien bien dressé. Son attitude rendait Océane elle-même malade, mais depuis la veille les humiliations qui ne cessaient de s'enchaîner l'avaient complètement matée, ou presque. Elle ressentait encore la honte et l'humiliation, mais elle avait sans doute déjà versée toutes ses larmes pendant la nuit qu'elle avait passée, ligotée et bâillonnée, dans le local du concierge.
Il la traîna ainsi tout le long du couloir, précédant à son inspection matinale. Dans une main il tenait sa laisse, et dans l'autre un seau contenant son matériel de nettoyage. Il s'arrêtait fréquemment pour nettoyer ou enlever des déchets. Océane se contentait de la suivre dans sa position humiliante, et il n'hésitait pas à profiter de la situation à tout moment en tirant brusquement sur la laisse, ce qui avait pour effet immédiat de la faire tomber par terre sous ses rires bruyants. Il s'arrêtait aussi régulièrement pour lui attraper les fesses ou les seins et les peloter à sa guise sans qu'elle ne puisse rien faire d'autre que vainement gémir derrière son bâillon.
Quand ils arrivèrent aux premiers escaliers, Océane crut qu'elle allait éclater en sanglots. Elle dut monter chaque marche en se soulevant à la force de ses bras qui, après être restés ligotés tant d'heures n'en avaient plus beaucoup. Bien évidemment, le concierge se contenta de la regarder faire, en tirant de temps en temps sur la laisse comme pour la rappeler sa situation, comme si elle en avait besoin !
Une fois finalement arrivée au deuxième étage, ses bras tremblaient et elle pouvait à peine avancer.
- Bon, soupira-t-il en se penchant vers sa victime, je vais faire preuve de pitié, et te laisser un moment de repos, surtout ne fais rien de stupide !
Il prit l’extrémité de la laisse et l'attacha à un des casiers qui bordait le couloir de l'étage. Il lui attrapa ensuite violemment le sein et le tordit violemment, arrachant une plainte de douleur à la jeune femme.
- Surtout, ne bouge pas ! Sourit-il en la laissant ainsi pour faire le tour de l'étage.
Océane attendit qu'il tourne au coin du couloir, puis quand elle fut sûre qu'il ne reviendrait pas avant un moment, elle tenta de s'enfuir. Ses liens étaient trop solides pour qu'elle fasse quoi que ce soit, donc son seul moyen d'évasion serait que le nœud de la laisse la retenant au casier ne soit pas très solide. C'était un espoir très très faible, mais elle n'avait rien de mieux sous la main.
Elle se redressa sur les genoux, et se servant du fait que ses mains étaient désormais attachées devant elle, et non pas dans son dos, Océane commença à tirer sur la laisse pour en tester la solidité. Elle était faite pour retenir un molosse, donc elle n'avait aucune chance de la faire céder, mais elle pouvait essayer de dénouer le nœud qui la rattachait au casier. Elle s'en approcha rapidement pour l'observer, et elle vit qu'il avait serré les nœuds avec un force démesurée, de plus ses mains attachées l'empêchaient d'utiliser toute sa dextérité, mais elle n'avait pas le choix, et le jeune femme se mit donc rapidement et silencieusement à la tâche.
Tout en regrettant de n'avoir pas les ongles plus long, Océane réussit petit à petit à défaire les nœuds, tout en sentant que son cœur battait de plus en plus fort, sous la peur de voir revenir son tortionnaire. Finalement, elle réussit à se détacher, et elle dut retenir un cri de joie, qui n'aurait de toute façon donné qu'un vague gémissement. Un regard circulaire lui assura que le concierge était toujours loin.
Toujours ligotée, la jeune femme se traîna, lentement mais sûrement, pour traverser le couloir et revenir aux escaliers. Pour éviter de faire du bruit, elle appréhenda chaque marche l'une après l'autre dans le plus grand silence quand elle entendit alors un bruit qui me glaça la sang, celui de pas. D'ici quelques secondes il découvrirait sa disparition et si elle restait dans ces escaliers il la trouverait en un rien de temps.
Sans plus me soucier de la discrétion, ni de la douleur, Océane se laissa rouler jusqu'en bas des marches, en tentant tant bien que mal de retenir ses gémissements de douleur qui auraient immédiatement révélé sa position. Une fois revenue au rez-de-chaussé, elle savait bien qu'elle ne pourrait pas quitter l'établissement à temps, elle fit donc de son mieux pour s'éloigner de la cage d'escaliers malgré les liens qui la ralentissaient considérablement.
Épuisée, Océane sut bientôt qu'elle ne pourrait pas aller beaucoup loin sans se reposer. Elle vit alors à quelques mètres d'elle la porte des toilettes. Difficilement, elle se redressa et, sautillant jusqu'à la porte, elle l'ouvrit et entra dans les toilettes des garçons, se disant qu'il n'y penserait peut-être pas. Quelques autres bonds l'amenèrent devant la porte d'un cabinet qu'elle ouvrit dans la foulée. Une fois à l'intérieur, Océane verrouilla la porte et s'assit sur la cuvette et relevant ses jambes pour qu'elles ne soient pas visibles de l'extérieur. Si elle restait ainsi assez longtemps, il serait obligé d'arrêter de la chercher avant que les étudiants n'arrivent. En attendant, il fallait qu'elle trouve le moyen de se libérer de ce scotch. À l'aide de ses mains, elle tenta de retirer les liens de ses jambes, mais elle n'avait plus la moindre force, et les nombreuses couches que Mégane et Delphine avaient mises l'empêchaient de faire quoi que ce soit sans des ciseaux ou un couteau.
Pendant qu'elle les maudissait intérieurement, Océane entendit alors des bruits de pas dans le couloir. Il était proche, et elle sentit la chair de poule la gagner.
- Alors, petite chienne, tu t'es échappé ? Si tu reviens gentiment vers ton maître, je promets de ne pas te faire de mal... pas trop en tout cas. Mais si je dois venir te chercher moi-même, ça va très mal se passer pour toi !
Sans s'en rendre compte, la jeune femme retenait mon souffle alors qu'elle entendait les pas se rapprocher dangereusement de sa cachette. Avec horreur elle entendit la porte des toilettes s'ouvrir et les pas s'approcher encore plus. Terrorisée, elle ferma les yeux, espérant qu'il ne fasse que passer et repartir.
- Salut, petite chienne.
Océane releva aussitôt la tête pour voir le visage du concierge l'observer par-dessus la porte du cabinet.
- Mfffffh ! Tenta-t-elle de crier, mais elle était définitivement piégée.
- Attends-moi quelques secondes, j'arrive.
Puis il disparut. Elle l'entendit s'affairer devant la porte quelques instants, puis elle s'ouvrit largement, la laissant sans protection face à lui.
Avant qu'elle ait pu faire quoi que ce soit, il fut sur elle et la traînait dehors en la tenant par les cheveux. Les cris de douleur de la jeune femme étaient étouffés par le bâillon, et il se semblait pas s'en occuper le moins du monde.
- Je t'avais prévenu, maintenant il faut assumer, petite chienne désobéissante.
Il traîna sa victime de cette très douloureuse manière tout le long du couloir jusqu'à revenir à son local. Il la jeta par terre dans le couloir et y entra, pour en ressortir immédiatement après avec un tabouret.
- Il reste plus d'une heure avant que les élèves ne commencent à arriver, et je te promets que cette heure sera très amusante, pour moi en tout cas !
Il s'assit sur le tabouret, et souleva Océane d'un coup pour la coucher en travers de ses genoux. Au moment où elle devinait ce qu'il avait en tête, les premières claques commencèrent à tomber. Il frappait lentement, mais avec une puissance tout autre que sa mère ou les filles de son équipe de volley-ball. Chaque coup lui faisait horriblement mal, et ligotée et bâillonnée comme elle l'était, elle ne pouvait absolument rien faire ou dire.
Peu de temps après le début de la punition, ses fesses étaient de nouveau en feu, et la douleur allait en augmentant.
- Tu sais, commença le concierge, tu as beau être magnifique ligotée comme ça, je ne peux m'empêcher de me sentir triste à l'idée de ne pas pouvoir voir ces magnifiques jambes gigoter dans tous les sens.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Son couteau surgit de sa poche et il découpa les trois bandes de scotch qui retenaient les jambes d'Océane solidement prisonnières depuis la veille. Elle ne put profiter bien longtemps de la liberté, car aussitôt après les claques recommencèrent à tomber sur ce rythme régulier et horriblement douloureux.
N'étant plus retenues ensemble par les liens, ses jambes commencèrent bientôt à s'agiter follement sous les claques. Elle se débattait tellement qu'elle faillit tomber de ces genoux.
- Bon, j'ai besoin d'une meilleure prise il semblerait !
En même temps qu'il disait ces mots, il s'empara d'une main ferme du sein droit de sa victime, le serrant fortement. Et pour être sûr, il bloqua une de ses jambes sous la sienne, et passa son autre jambe entre les miennes pour aller bloquer l'autre, les immobilisant ainsi largement écartées.
Totalement immobilisée, elle ne put que subir la suite de sa punition, que sa nouvelle position avait renouvelée. L'intérieur de mes cuisses en prirent également pour leur grade, et les claques viraient souvent au pelotage. Pendant tout ce temps, sa main gauche ne quitta pas sa prise sur son sein, qu'il serrait fortement pour la maintenir en place. Les claques étaient de plus en plus fortes, et aucune partie n'était épargnée. Il frappait autant les fesses que les cuisses que l'intérieur de celles-ci, et bien qu'elle ne puisse pas les voir, elles devaient être d'une uniforme couleur rouge.
Son bâillon, plus efficace que jamais, étouffait tous ses cris de douleur, mais ses gémissements devaient grandement exciter son tortionnaire au vu de la bosse déformant son jeans qu'elle sentait. Quand à ses mains, elles ne l'aidaient pas vraiment, ligotées comme elles l'étaient. Les larmes de douleur coulaient à présent sans retenue sur ses joues, et la souffrance lui avait fait oublier toute dignité. Océane se tortillait de toutes ses forces, mais il la retenait fermement et elle ne put pas bouger d'un pouce de la position humiliante qu'il lui avait infligé.
Les secondes passaient comme des minutes, et les minutes comme des heures. Après ce qui lui semblait être des heures et des heures de torture, Océane sentit les claques s'espacer de plus en plus, puis finalement s'arrêter.
- Et c'est tout le temps que bous avions, conclut le concierge en me pelotant une dernière fois sans la moindre vergogne. Rentre là-dedans, et débrouille-toi pour le reste.
Puis, sans la moindre délicatesse il la poussa de ses genoux pour qu'elle aille s'écraser par terre dans un gémissement de douleur, avant de la traîner dans son local, où il l'abandonna avant de tourner les talons et de partir en fermant la porte derrière lui, la laissant de nouveau dans le noir.
Fini... c'est fini...
Cette idée ne réconfortait que très peu la jeune femme humiliée et, roulée en boule dans ce local sombre, elle éclata en sanglots. elle ne sut pas combien de temps elle resta ainsi, prostrée, à pleurer toutes les larmes qui restaient dans son corps meurtri, mais elle finit par reprendre le contrôle de son corps et de son esprit, pour tenter de se libérer. Ses pieds étaient désormais libérés, et elle put donc rejoindre le bureau du concierge, pour y trouver un cutter posé dans un coin. Elle s'en empara, et après de nombreuses tentatives qui faillirent lui coûter de nombreuses coupures, la jeune femme réussit à couper le scotch.
Enfin libérée, elle s'attaqua alors à la tâche la plus longue, et la plus douloureuse, enlever son bâillon. Mégane et Delphine avaient en effet fait plusieurs tours de scotch autour de sa tête, et le retirer ne se ferait pas sans douleur. Elle s'y attela lentement et prudemment, et après de longues minutes d'effort et de douleur, elle enleva la dernière ligne de scotch qui recouvrait sa bouche. Je recracha aussitôt la culotte sale qui était dans sa bouche depuis bien trop longtemps.
Sa bouche était horriblement sèche et elle mourait de soif. Heureusement le local du concierge possédait son propre lavabo, auquel elle but pendant de longue minutes pour étancher sa soif. Après cela, elle jeta un regard à ses fesses, pour voir qu'en effet la douleur déchirante qu'elle ressentait était bien représentée par une couleur rouge sombre équitablement répartie sur toutes la longueur de ses cuisses, et en écartant ses fesses elle vit que même cette partie n'avait pas du tout été épargnée, ce qui expliquait en partie sa souffrance.
Océane vit alors dans le coin de la pièce une pile de tissus qui attira mon attention. Elle s'approcha pour voir que Mégane et Delphine lui avaient laissé des vêtements avant de partir. Tout d'abord surprise par cet acte de pitié, elle comprit rapidement leur pensée ne voyant que ces vêtements se constituaient d'une mini-jupe et d'un petit débardeur, et qu'il n'y avait pas la trace du moindre sous-vêtement. Elle savait qu'elle aurait l'air d'une prostitué habillée de la sorte, surtout que la jupe très courte ne couvrirait pas la rougeur de ses cuisses et peu celle de ses fesses, mais c'était toujours mieux que de rester nue.
Après avoir enfilé les habits, la jeune femme se demanda ce qu'elle ferait ensuite. Impossible pour elle d'aller en classe dans cette tenue, pas après ce qui s'y était passé. Elle attendit donc que le premier cours de la journée commence, et quand elle fut sûre que les couloirs seraient vides elle sortit du local et se dirigea vers la sortie de l'école. Une fois dehors, elle prit une longue respiration pour se calmer et décider de quoi faire ensuite. Elle ne pouvait pas rentrer chez elle, c'était une évidence, et se balader dans les rues serait très humiliant.
Mais elle n'avait pas le choix. Elle marcha pour le moment dans la rue, sans trop savoir où aller et en tentant d'éviter les regards surpris ou grivois des passants. Elle s'arrêta dans le premier café qu'elle vit, et s'installa dans le fond de la salle. Elle n'avait pas d'argent sur elle, et elle prétexta attendre un ami pour pouvoir rester sans consommer.
Plongée dans ses pensées moroses, la jeune femme resta de nombreuses heures à cette place, jusqu'à s'endormir. Elle fut réveillée par la serveuse qui lui indiqua que si elle voulait rester plus longtemps il fallait commander quelque chose. Elle vit alors l'heure, il était 15:20. Océane se leva alors en tentant de cacher sa tenue indécente au mieux, et pris le chemin de la maison en se disant qu'en partant à cette heure elle éviterait le flot d'étudiants qu'elle ne tenait absolument pas à croiser. Océane fut chez elle une vingtaine de minutes plus tard, mais elle patienta au coin de la rue, afin de faire croire qu'elle revenait de l'école. Sa mère ne devait pas la voir dans cette tenue, il fallait qu'elle rentre discrètement, qu'elle aille dans sa chambre et qu'elle se change.
C'est alors que quelque chose lui vint à l'esprit. Elle n'étais pas rentrée de la nuit, et n'avait absolument rien dit à sa mère, qui devait être folle d'inquiétude. Inquiétude qui ne tarderait pas à se transformer en rage quand elle la verrait.
Terrorisée, elle ouvrit lentement la porte de la maison, et se dirigea le plus silencieusement possible vers l'escalier. C'est en posant le premier pieds sur une marche qu'elle entendit le bruit qu'elle redoutait le plus en ce moment, le raclement de gorge de sa mère.
La jeune femme terrorisée se retourna lentement pour la voir, face à elle, lentement taper son pieds sur le sol.
- Où. Étais. Tu. Jeune. Fille !
- Je... je....
- Tu avais complètement disparue ! J'ai failli appeler la police, et je l'aurais fait très bientôt ! Donc, où étais-tu ?
- J... j'ai passé la nuit avec des amies. Ça été décidé à la dernière minute et j'ai oublié de te prévenir, désolé.
- Tu es peut-être majeure, mais tant que tu vis sous mon toit, il y aura des règles à respecter, et... mais qu'est-ce que c'est que cette tenue ?
Paniquée, Océane n'eut pas d'autre choix que de s'approcher. Stupéfaite, sa mère était bouche-bée devant la mini-jupe et le petit débardeur très vulgaire. Heureusement, les marques rouges avaient disparues au cours de la journée, mais elle ne put que remarquer l'absence de culotte. Quand elle le remarqua, elle poussa un petit cri et s'approcha de sa fille pour vérifier son top, et voir qu'elle ne portait pas de soutien non plus.
- Mais... qu'est... qu'est-ce que cela veut dire ?
- J... je.... eh bien...
Elle ne savait absolument pas quoi dire pour expliquer cela, et finit par se murer dans un silence qui poussa sa mère à s'imaginer mille scénarios.
- Ma fille... une traînée ! Je peux t'assurer que ta punition sera exemplaire !
Océane sentit la sueur couler dans son dos, elle ne pourrait pas supporter une des fessées de maman maintenant, pas après tout ce qui lui était arrivé !
- Mais pas ce soir, finit-elle fermement. Va dans ta chambre et mets des vêtements décents ! Puis tu y resteras toute la soirée, tu ne souperas pas ce soir !
À cette remarque Océane entendit son estomac gronder. En effet elle n'avait rien mangé depuis hier midi, et son ventre criait famine, mais préférant ne pas provoquer sa mère, elle choisit sagement de lui obéir et de monter dans sa chambre. Une fois couchée dans son lit, elle s'endormit aussitôt, plongeant dans des cauchemars d'humiliation et de douloureuses fessées.

xXx
Plusieurs jours avaient passé depuis ce jour horrible, qui avait définitivement marqué à vie la pauvre Océane. La première chose qu'elle avait faite fut de quitter l'équipe de volley-ball. Elle apprit ensuite avec satisfaction qu'elles n'avaient pas réussi à trouver de joueuse remplaçante et avaient été écrasées durant leur dernier match. Quant à Océane, elle était définitivement retournée dans l'ombre, évitant au maximum les filles et les garçons de l'équipe de volley-ball, et plus que tout l'horrible concierge qui l'avait tant tourmentée. Sa mère ne lui avait plus reparlée de sa punition, et elle en était presque venue à l'idée qu'elle l'avait oubliée.
La jeune femme était étendue sur son lit, occupée à lire un roman quand elle entendit sa mère toquer à la porte avant d'entrer.
- Viens Océane, j'ai organisé un barbecue, tout le voisinage est présent, il ne manque plus que toi.
- Non, ça m'intéresse pas, je préfère rester ici et lire.
- Sauf que je n'ai pas demandé ton avis, trancha-t-elle durement, je t'ai dit de venir donc tu viens.
La jeune femme soupira longuement en posant son livre sur son lit. Elle aurait du s'en douter, elle devra passer tout l'après-midi à sourire et à faire semblant de trouver les enfants insupportables des voisins charmants tout en mangeant des saucisses trop cuites. Super !
Elle la suivit jusqu'au jardin, où une quinzaine de personnes étaient déjà occupées à manger et rire. Elle passa ensuite les prochaines 10 minutes à faire la bise, à féliciter des couples heureux et à trouver trop mignons des enfants plus intéressés à l'idée de toucher sa poitrine qu'à la saluer.
Elle s'empara ensuite d'une saucisse brûlante et se mit à manger sans appétit. Océane s'approcha discrètement de Jacob, le beau voisin un peu plus vieux qu'elle qui lui faisait mine de rien beaucoup d'effet, il fallait bien l'avouer. Alors qu'elle allait engager la conversation avec lui, elle entendit alors un tintement de verre. La jeune femme se retourna pour voir que sa mère avait tapoté son verre de sa fourchette pour attirer l'attention de tous.
- Bonjour à tous, et merci d'être venu aussi nombreux, et d'avoir amené vos adorables enfants avec vous. La raison pour laquelle j'ai organisé cette rencontre, en plus de votre charmante compagnie évidemment, (la remarque fut saluée d'une salve d'applaudissements) est de procéder à une justice.
Tous froncèrent les sourcils, et Océane sentit la peur monter en elle au fur et à mesure qu'elle comprenait ce que sa mère voulait dire.
- Ma très charmant fille Océane ici-présente m'a fait une peur bleue il y a de cela plusieurs jours maintenant. Quelques jours après que je l'aie surprise en train de fumer dans ma maison, cette jeune femme n'est tout simplement par revenue de la nuit à la maison, et je n'ai pas eu la moindre nouvelle d'elle avant son retour de l'école le lendemain soir !
Des murmures parcouraient déjà l'assemblée, et les regards désapprobateurs se faisaient nombreux.
- Quand je l'ai confrontée, elle m'a bêtement répondue qu'elle avait passé la nuit avec des amis, et qu'elle avait « oubliée » de me prévenir. J'ai ensuite remarqué un détail plus que choquant... ma fille ne portait ni culotte si soutien-gorge sous des vêtements plus que vulgaires et révélateurs !
Cette fois, les murmures se firent assassins, et les remarques se firent nombreuses à son égard. Quant à Océane, la rougeur qui s'empara de ses joues n'aida pas à défendre son cas.
- Et en plus de tout cela (le silence retombe aussitôt) j'ai reçu le lendemain un appel de l'école me disant que ma fille ne s'était pas présentée en cours cette journée-là ! J'ai appris que malgré l'éducation que je lui ai octroyée, ma fille est une ingrate, menteuse, irresponsable et irrespectueuse traînée !
Le dernier mot finit de mettre le feu aux joues de la fille en question, alors que tous les regards se tournaient vers elle, et aucun n'était amical.
- As-tu quelque chose à dire pour ta défense ?
Océane savait qu'elle n'avait rien à dire, car la vérité serait encore pire que ce qu'ils imaginaient, et préféra donc garder le silence, qui fut compris par tous comme un silence coupable.
- Maintenant que l'accusée est jugée coupable, je propose que la sanction soit appliquée immédiatement !
Cette décision fut approuvée par tous, et la punie chercha sans succès un échappatoire.
- Puisque tu aimes tant t'exposer Océane, pourquoi ne retirerais-tu pas tes vêtements toi-même ? Je ne suis pas un monstre, tu peux garder tes sous-vêtements, mais tout le reste s'en va.
La jeune femme portait un short et un T-shirt, et refusait catégoriquement de les enlever devant tous ces gens, surtout les enfants bien plus jeunes qu'elle qui ne rataient rien du spectacle.
- Vous êtes tous complètement fous ! S'écria-t-elle, vous pouvez toujours rêver pour que j'exauce vos rêves lubriques !
Sur ces mots, elle tourna les talons et se dirigea d'un pas rapide vers la maison, mais elle ne put pas aller très loin. Quelques secondes à peine plus tard, une poigne ferme lui attrapait les bras et les lui ramenaient brusquement dans le dos. Elle vit avec une chavirement au cœur qu'il s'agissait du grand et beau Jacob qui la retenait ainsi fermement.
Océane était maintenant au milieu des invités, et elle sentait la tension monter de plus en plus alors qu'ils se rapprochaient d'elle en cercle. La jeune femme se débattait et criait, mais elle ne reçut aucun signe de pitié. Certains étaient réprobateurs envers son attitude, et d'autres, surtout les plus jeunes, semblaient très excités par la tournure des événements.
Sa mère s'avança vers Océane et la gifla violemment, ce qui eut pour effet immédiat de faire cesser toute résistance.
- Silence ! Si tu ne peux pas agir en adulte responsable, tu seras traitée comme une petite fille !
Sur ces mots, elle s'approcha encore plus, elle déboutonna le short de sa fille et le fit glisser lentement le long de ses jambes avant de lui faire lever un pied, puis l'autre pour le retirer. Océane savait sa situation désespérée, et une quelconque résistance ne ferait qu’aggraver son cas.
Comprenant le message silencieux de sa mère, Jacob lui fit lever les bras en l'air afin que sa mère puisse faire glisser le T-shirt et s'en emparer également. La jeune femme se retrouva donc en sous-vêtements au milieu d'une foule de ses voisins, donc certains bien plus jeunes qu'elle qui semblaient au bord de l'extase.
- C'est ainsi que tu aurais du recevoir ta punition, déclara sa mère sans la moindre pitié, mais puisque tu as été incapable d'accepter ta punition avec dignité, je ne vois pas pourquoi tu la recevrais avec dignité !
Avant que sa fille ait pu comprendre ce qu'elle voulait dire, sa mère profita du fait que Jacob tienne encore ses bras en l'air pour dégrafer d'un geste habile son soutien-gorge et le lui retirer du même geste. Océane recommença alors à se débattre, ce qui n'empêcha pas sa mère de s'emparer de sa culotte et de la faire glisser jusqu'au sol, avant de ne me l'enlever.
Paniquée, Elle se rendit compte qu'elle était nue comme un ver face à toutes ces personnes, et que ses bras retenus dans mon dos l'empêchaient non seulement de me couvrir, mais faisaient pointer ses seins en avant d'une manière très suggestive. Sa toison n'était pas plus camouflée aux regards.
- C'est bien comme ça que tu aimes de promener dans la rue, non ? Jacob, veux-tu bien la mettre en position ?
Sans perdre plus de temps, Jacob se retourna, entraînant sa prisonnière avec lui, et après que les autres voisins aient débarrassé la table de jardin, il la pencha dessus, bombant ses fesses par la même occasion, ses bras toujours maintenus dans son dos.
La tentative d'Océane pour garder ses jambes le plus serrées possibles fut bien vite réduite en cendres par sa mère qui l'enjoignit du genou à écarter les jambes. Désespérée, elle obéit tout en ayant une parfaite idée de ce qu'elle offrait ainsi, de nouveau. Tout recommençait ! Elle devait être plus que maudite pour se retrouver dans ces situation de manière aussi régulière !
Mais avant qu'elle ait pu s'étendre plus sur sa malchance presque surnaturelle, Océane sentit que sa mère était sérieuse quand elle s'empara immédiatement de sa brosse en bois fétiche.
- Tu m'as fait attendre 24 heures sans me donner de nouvelles, cela te fait donc 24 claques. Puis tu es revenue sans tes sous-vêtements sans pouvoir me donner d'explication, cela double ton nombre de claques à 48. Puis tu as séché l'école, cela double ton nombre de claques à 96. Puis finalement, le pire de tout, tu m'as menti en ne me le disant pas, ce qui double ton nombre de claques à 192.
À l'écoute de ce nombre ahurissant, Océane sentait déjà ses fesses lui faire mal, comme une préparation pour ce qui allait suivre.
- Nous sommes 12 personnes majeures en droit de donner en fessée à cette jeune femme. Je propose que nous lui donnions chacun 16 coups pour arriver au juste total.
Toutes les personnes concernées acceptèrent avec enthousiasme, et les mineurs protestèrent à grands bruits, sans résultats.
Sa mère prit le premier tour, et donna à Océane ses 16 coups de brosse avec sa minutie habituelle. La douleur fut très brève à venir, et ses premiers gémissements de douleur arrivèrent déjà. Quand elle eut fini sa besogne, sa mère fut immédiatement remplacée par un homme d'une cinquantaine d'années.
Celui-ci refusa poliment la brosse, et préféra s'emparer de sa large ceinture de cuir. Rien que sa vue arracha un petit cri à la punie, et le premier coup lui arracha une longue plainte de douleur. Sans montrer la moindre pitié, il continua sa besogne et au bout des 16 coups, ses fesse étaient déjà bien rouges.
- Elle crie trop fort, intervint une jeune mère, elle réveille mon bébé !
- Tu n'as pas honte, se moqua un des voisins en s'approchant d'Océane, attends j'ai un bonne idée. Il emprunta le foulard de sa femme, et s'approchant de la jeune femme le lui enfonça dans la bouche avant de le serrer fortement derrière sa tête, étouffant ainsi ses futurs cris de douleur.
- Bonne idée, le félicita la mère, tu veux prendre le prochain tour ?
Celui-ci accepta avec joie, et préféra donner ses 16 coups à la main. Les cris et gémissements d'Océane étaient désormais en grande partie absorbés par le bâillon qui, bien que plus confortable que le dernier qu'elle avait porté, augmentait considérablement son niveau d'humiliation.
Les personne s'enchaînaient derrière elle pour pouvoir donner leur dose de claques. Certains utilisaient leurs mains nues, d'autres la brosse de bois, un homme utilisa même sa chaussure. Mais le plus douloureux restait la ceinture, qui laissait de profondes marques dans la peau.
Les 192 coups finirent par être tous donnés, et à la fin, la jeune femme se reposait entièrement sur la table, car ses jambe défaillaient. Aucune partie de ses fesses ou de ses cuisses n'avait été épargnée, et plus les coups avançaient plus elle avait du écarter les jambes pour ne pas tomber, en dévoilant toujours plus à ces gens qui n'auraient jamais du en voir autant, tout cela sous les acclamations des enfants qui se régalaient du spectacle.
Sa mère la redressa alors, et son premier réflexe fut de protéger sa touffe d'une main et sa poitrine de l'autre, mais sa mère s'empara de ses mains et la força à les laisser le long de son corps. Océane voulut ensuite enlever ce bâillon ridicule, mais une nouvelle claque l'en découragea.
- Jeune fille, si tu crois que ta punition est terminée, tu es loin du compte ! Il est encore tôt et il reste beaucoup de viande à manger ! Ce barbecue est loin d'être terminé, et tu vas rester ici, à cet endroit précis jusqu'à ce que je dise autrement. Compris ?
Matée, sa fille hocha doucement la tête en retenant ses larmes.
- Non, intervint sa mère, par comme ça, ce n'est pas ainsi que se tient une fille punie.
Elle s'approcha de la punie et lui croisa les mains derrière la tête. Sur sa lancée, elle poussa ses coudes en arrière, ce qui eut pour effet immédiat de mettre ses seins considérablement en avant. Ne s'arrêtant pas en si bon chemin, elle lui fit écarter largement les jambes, et après qu'elle ait baissé la tête de honte, elle la lui redressa et la força à regarder les gens dans les yeux.
- Tu resteras ainsi, et si tu bouges ne serais-ce que d'un cheveu, tu es repartie pour une nouvelle fessée à nouveau doublée, c'est-à-dire 384 claques !
Terrorisée, Océane se jura que peu importe ce qui arriverait, elle resterait parfaitement immobile. Sa mère lui retira alors son bâillon humide.
- Et si tu n'émets ne serais-ce qu'un son, même chose, d'accord ?
Muette et immobile, Océane ne savait pas comment répondre à sa mère qui se contenta de son silence. Puis elle retourna vers les voisins en souriant.
- Voilà, cette petite fête peut continuer. Ne faites pas attention à elle, elle n'est qu'une statue décorative !
Totalement humiliée et exposée, Océane vit du coin de l’œil des ombres s'approcher de moi. Sans oser se retourner, elle vit alors les 4 enfants s'approcher d'elle, menés, bien évidemment, par sa peste de sœur Camille, accompagnée de trois garçons de son âge.
- Tu es sûre ? Demanda un d'eux.
- Bien sûr, elle n'osera rien dire, et comme maman l'a dit, elle est juste une statue décorative, qu'est-ce que tu risques ? Le but c'est de la faire réagir. Si elle ne bouge que d'un poil, on a gagné !
À la fois enragée et horrifiée, la jeune femme vit les petits monstres s'approcher lentement d'elle. Tout d'abord timides, ils gagnèrent rapidement en confiance en la chatouillant absolument partout où leurs mains pouvaient se rendre. Camille leur apprit que les seins étaient une partie particulièrement sensible, et ils se concentrèrent dessus.
Heureusement elle n'était pas vraiment chatouilleuse, mais le fait d'être tripotée ainsi par des jeunes la mettait extrêmement mal à l'aise, et cette peste de Camille ne perdait rien pour attendre ! Quand ils se rendirent compte que les chatouilles ne servaient à rien, ils commencèrent à lui donner de petites fessées. Ils étaient tous les quatre regroupés derrière elle à la fesser sans pour autant lui causer de grande douleur, quand Camille prit la parole.
- Attendez, je vais vous montrer quelque chose.
Puis, comble de l'horreur, elle s'empara d'une de ses fesse dans chacune de ses mains et les écarta.
- Là elle devrait réagir, commenta-t-elle alors que je sentais les regards des garçons bloqués sur mon intimité que je ne pouvais en rien dissimuler.
Au même moment, les parents des enfants les appelèrent pour rentrer à la maison. Extrêmement déçus, il donnèrent chacun à Océane une dernière fessée avant de partir rejoindre leurs parents. Quant à la punie, elle n'avait ni bougé ni parlé, et elle vis à son regard que Camille en était extrêmement mécontente, ce qui représentait son seul élément de joie de la journée.
Enfin tranquille, elle resta ainsi au total de nombreuses heures, le temps que tous finissent de discuter et se décident de rentrer. En passant à côté d'elle, Océane eut droit à des commentaires réprobateurs, moralisateurs, grivois et même à quelques caresses ou claques.
Quand tous furent partis, elle n'osa quand même pas bouger avant que sa mère n'arrive finalement et lui adresse la parole.
- C'est bon, tu peux bouger. Maintenant tu vas tout ranger, et quand tu auras finie tu iras directement dans ta chambre, je ne veux pas te voir de la soirée.
Quittant enfin cette position humiliante, Océane dut faire de nombreux aller-retour entre le jardin et la maison pour ramener toutes les assiettes. Quand tout fut propre, elle ne se fit pas prier pour courir dans sa chambre en sanglotant de cette nouvelle journée d'horreur.

Océane ne savait pas ce qu'elle avait bien pu faire pour hériter d'autant d'humiliations, mais elle ne pouvait qu'espérer que celle-ci était bel et bien la dernière, et qu'elle n'aurait plus jamais à se montrer nue de cette manière.