Océane
fut réveillée en sursaut par un bruit sourd. Elle mit quelques
secondes à se souvenir d'où elle se trouvait, et surtout dans
quelle situation, mais celle-ci me fut rapidement remise en mémoire
pas la douleur lancinante dans ses bras, bloqués dans une position
plus qu'inconfortable par du tape gris. Encore partiellement
endormie, la jeune femme se débattit lentement, mais elle ne pouvait
pas bouger une seule partie de son corps, ligotée de la sorte.
C'est
alors que le grincement indiquant que la porte s'ouvrait retentit à
ses oreilles. Toujours aveuglée par le bandana, elle ne pouvait pas
voir ce qui se passait, mais elle tenta de faire le plus de bruit
possible pour attirer un aide potentielle. À travers le tissu,
Océane vit alors que la lumière avait été allumée, et que la
personne qui était entrée ne pouvais que l'avoir vue.
- Mais
bordel de merde, qu'est-ce que c'est que ça ?
La voix
bourrue lui disait vraiment quelque chose, mais elle n'arrivait pas à
mettre un nom dessus. La jeune femme en détresse essaya tant bien
que mal de lui faire comprendre de la libérer, mais il ne semblait
pas en avoir envie. Elle entendit les pas s'approcher et une main
saisit la feuille que Delphine et Mégane avaient collé sur son
ventre. Elle fut retirée sans douceur, arrachant à Océane une
complainte étouffée par son bâillon.
-
Mfffh ! Mffffffh ! Tenta-t-elle d'articuler pour lui faire
comprendre de l'aider sans attendre, mais elle n'obtint aucune
réaction et elle supposa qu'il était en train de lire cette
mystérieuse feuille.
Puis, à
sa grande surprise, Océane entendit alors un grand éclat de rire.
La jeune femme ligotée ne comprenait pas ce qui pouvait possiblement
être drôle dans cette situation, mais cela ne lui disait rien de
bon, qu'est-ce que ces deux monstres avaient bien pu écrire sur
cette feuille? Certainement rien de bon pour elle.
- Alors,
il semblerait que quelques-unes de tes amies ont voulues de faire une
petite blague, ricana-t-il.
Océane
sentit qu'il s'approchait d'elle, et le bandeau qui recouvrait ses
yeux disparut pour laisser place à une lumière qui bien qu'assez
faible suffit à l'aveugler pendant plusieurs secondes. Quand elle
put enfin voir correctement, Océane reconnut cette personne, et ce
constat lui arracha une plainte d'horreur. Il s'agissait du concierge
de l'établissement, connu et reconnu comme un pervers sale et
répugnant par toutes les étudiantes de l'école.
- Oui,
moi aussi je suis très content de te voir, c'est rare que j'aie de
la compagnie aussi tôt le matin ! Je rentre tranquillement dans
mon local de bon matin, et voilà ce que je trouve ! Un joli
cadeau très bien emballé en plus !
Il lui
mit alors le feuille sous les yeux, et Océane la lut en sentant la
panique monter en elle. Il n'y avait écrit que quelques mots sur la
feuille, mais leur sens était on ne peut plus clair.
Punissez-moi
s'il-vous-plaît !
Il retourna ensuite la feuille, sur laquelle un texte plus long était
écrit.
J'ai
été une très vilaine fille, et je mérite d'être très sévèrement
punie. J’accepterai toute les sanctions que vous jugerez bon de
m'infliger sans dire un mot, et je suis entièrement à votre
disposition.
Sa
nudité totale se rappela aussitôt à son bon souvenir lorsque le
vicieux commença à tripoter sa poitrine largement mise en avant pas
les liens sans la moindre retenue. La jeune femme gigotait de son
mieux, mais cela ne l'empêcha en rien de peloter chaque partie de
son corps à la portée de ses grosses mains sales. Les larmes
recommencèrent à couler le long de ses joues. Être touchée par
des filles de mon âge était une chose, mais être tripotée de la
sorte par un homme de cet âge atteignait un tout nouveau niveau de
souffrance et de honte.
Ce
dernier ricana, avant de s'emparer de ses seins et de violemment les
tordre, lui arrachant un cri de douleur qui fut réduit par son
bâillon à un vague gémissement. Les larmes aux yeux, elle le vit
s'approcher et commencer lentement à les lécher, lui arrachant des
petits gémissements pitoyables, pendant qu'elle essayait en vain
d'échapper à son emprise.
- Allez,
je suis sûr qu'au fond, tu aimes ça, n'est-ce pas petite salope ?
-
Mffffh ! Mfffh ! Sanglotait Océane alors qu'il commençait
à mordre ses mamelons, lui arrachant de nouvelles plaintes sourdes.
Après
de longues minutes de souffrance, il délaissa sa poitrine et il la
retourna sur le ventre sans la moindre douceur. La jeune femme se
sentait extrêmement exposée, et ce fut avec horreur qu'elle sentit
ses mains se poser sur ses fesses pour commencer à les peloter sans
la moindre gêne. Soudainement, il les écarta, dévoilant, sous ses
gémissements, le peu d'intimité qu'il lui restait à son regard
lubrique. Il continua de la peloter ainsi pendant un temps qui parut
infini à Océane, mais finalement il ponctua le tout d'une grande
claque sonnante sur ses fesses et se releva.
- Bon,
c'est important de s'amuser, mais il y a un travail à faire !
Il faut que je fasse le tour de l'école pour faire le nettoyage
avant que les élèves n'arrivent, et tu vas m'aider, un peu de
compagnie ne me fera pas de mal.
-
Mfffh ?
Il
s'empara alors d'un couteau et se pencha de nouveau vers sa victime.
Terrifiée, Océane reculait de son mieux, mais il l'attrapa par les
cheveux et la rapprocha de lui tandis qu'il coupait le scotch passant
au-dessous et au-dessus de ses seins. Il l'arracha ensuite, avant de
la pencher en avant pour faire de même avec les liens qui retenaient
ses mains prisonnières.
La
surprise fut telle qu'elle sentit à peine le douleur du scotch
arraché. Océane resta quelques secondes immobile, puis sans
réfléchir elle utilisa la nouvelle liberté de ses bras pour gifler
son tortionnaire de toutes ses forces. Cet action stupide entraîna
une réaction immédiate quand le concierge la gifla à son tour avec
une force bien plus grande que la mienne. La force du coup l'envoya
la tête contre le sol, et, profitant de son étourdissement, il
ramena ses mains devant elle et, s'emparant d'un nouveau rouleau de
scotch, lui ligota de nouveau les mains.
Il prit
ensuite la jeune femme par la taille et la redressa d'un seul
mouvement, la mettant à genoux devant lui. Océane vit alors qu'il
tenait un nouvel objet à la main, un objet qui en le reconnaissant
lui arracha une plainte de terreur. Sans tenir compte de ses
gémissements, il se pencha vers elle, et lui passa autour du cou le
collier de chien qu'il tenait à la main. Océane eut beau se
débattre, il le serra assez pour qu'il reste en place, avant de
s'emparer d'une laisse et de la passer dans l'anneau prévu à cet
effet.
- Voilà
petite chienne, maintenant tu vas venir avec moi. Et tu as intérêt
à avancer rapidement si tu ne veux pas une nouvelle punition.
D'accord ?
Impuissante,
Océane ne put que faiblement hocher la tête alors qu'il s'emparait
de l'autre extrémité de la laisse en ricanant. Il se releva et
s'approcha de la porte lentement, tout en tirant sa victime derrière
lui. Océane comprit alors que la tâche serait loin d'être facile.
En effet elle pouvait à peine remuer mes jambes, étant ligotée au
niveau des chevilles et des genoux, et si elle pouvait s'appuyer sur
ses mains, elles étaient solidement attachées ensemble. Elle était
obligée d'avancer ses deux jambes en même temps, tout en s'aidant
de ses mains pour ne pas tomber. Cette méthode était très lente,
mais elle n'avais rien de mieux dans sa position.
La jeune
femme avait peur qu'il ne la trouve trop lente, mais il semblait
trouver hautement amusant de la voir se traîner de la sorte à sa
suite, comme un petit chien bien dressé. Son attitude rendait Océane
elle-même malade, mais depuis la veille les humiliations qui ne
cessaient de s'enchaîner l'avaient complètement matée, ou presque.
Elle ressentait encore la honte et l'humiliation, mais elle avait
sans doute déjà versée toutes ses larmes pendant la nuit qu'elle
avait passée, ligotée et bâillonnée, dans le local du concierge.
Il la
traîna ainsi tout le long du couloir, précédant à son inspection
matinale. Dans une main il tenait sa laisse, et dans l'autre un seau
contenant son matériel de nettoyage. Il s'arrêtait fréquemment
pour nettoyer ou enlever des déchets. Océane se contentait de la
suivre dans sa position humiliante, et il n'hésitait pas à profiter
de la situation à tout moment en tirant brusquement sur la laisse,
ce qui avait pour effet immédiat de la faire tomber par terre sous
ses rires bruyants. Il s'arrêtait aussi régulièrement pour lui
attraper les fesses ou les seins et les peloter à sa guise sans
qu'elle ne puisse rien faire d'autre que vainement gémir derrière
son bâillon.
Quand
ils arrivèrent aux premiers escaliers, Océane crut qu'elle allait
éclater en sanglots. Elle dut monter chaque marche en se soulevant à
la force de ses bras qui, après être restés ligotés tant d'heures
n'en avaient plus beaucoup. Bien évidemment, le concierge se
contenta de la regarder faire, en tirant de temps en temps sur la
laisse comme pour la rappeler sa situation, comme si elle en avait
besoin !
Une fois
finalement arrivée au deuxième étage, ses bras tremblaient et elle
pouvait à peine avancer.
- Bon,
soupira-t-il en se penchant vers sa victime, je vais faire preuve de
pitié, et te laisser un moment de repos, surtout ne fais rien de
stupide !
Il prit
l’extrémité de la laisse et l'attacha à un des casiers qui
bordait le couloir de l'étage. Il lui attrapa ensuite violemment le
sein et le tordit violemment, arrachant une plainte de douleur à la
jeune femme.
-
Surtout, ne bouge pas ! Sourit-il en la laissant ainsi pour
faire le tour de l'étage.
Océane
attendit qu'il tourne au coin du couloir, puis quand elle fut sûre
qu'il ne reviendrait pas avant un moment, elle tenta de s'enfuir. Ses
liens étaient trop solides pour qu'elle fasse quoi que ce soit, donc
son seul moyen d'évasion serait que le nœud de la laisse la
retenant au casier ne soit pas très solide. C'était un espoir très
très faible, mais elle n'avait rien de mieux sous la main.
Elle se
redressa sur les genoux, et se servant du fait que ses mains étaient
désormais attachées devant elle, et non pas dans son dos, Océane
commença à tirer sur la laisse pour en tester la solidité. Elle
était faite pour retenir un molosse, donc elle n'avait aucune chance
de la faire céder, mais elle pouvait essayer de dénouer le nœud
qui la rattachait au casier. Elle s'en approcha rapidement pour
l'observer, et elle vit qu'il avait serré les nœuds avec un force
démesurée, de plus ses mains attachées l'empêchaient d'utiliser
toute sa dextérité, mais elle n'avait pas le choix, et le jeune
femme se mit donc rapidement et silencieusement à la tâche.
Tout en
regrettant de n'avoir pas les ongles plus long, Océane réussit
petit à petit à défaire les nœuds, tout en sentant que son cœur
battait de plus en plus fort, sous la peur de voir revenir son
tortionnaire. Finalement, elle réussit à se détacher, et elle dut
retenir un cri de joie, qui n'aurait de toute façon donné qu'un
vague gémissement. Un regard circulaire lui assura que le concierge
était toujours loin.
Toujours
ligotée, la jeune femme se traîna, lentement mais sûrement, pour
traverser le couloir et revenir aux escaliers. Pour éviter de faire
du bruit, elle appréhenda chaque marche l'une après l'autre dans le
plus grand silence quand elle entendit alors un bruit qui me glaça
la sang, celui de pas. D'ici quelques secondes il découvrirait sa
disparition et si elle restait dans ces escaliers il la trouverait en
un rien de temps.
Sans
plus me soucier de la discrétion, ni de la douleur, Océane se
laissa rouler jusqu'en bas des marches, en tentant tant bien que mal
de retenir ses gémissements de douleur qui auraient immédiatement
révélé sa position. Une fois revenue au rez-de-chaussé, elle
savait bien qu'elle ne pourrait pas quitter l'établissement à
temps, elle fit donc de son mieux pour s'éloigner de la cage
d'escaliers malgré les liens qui la ralentissaient considérablement.
Épuisée,
Océane sut bientôt qu'elle ne pourrait pas aller beaucoup loin sans
se reposer. Elle vit alors à quelques mètres d'elle la porte des
toilettes. Difficilement, elle se redressa et, sautillant jusqu'à la
porte, elle l'ouvrit et entra dans les toilettes des garçons, se
disant qu'il n'y penserait peut-être pas. Quelques autres bonds
l'amenèrent devant la porte d'un cabinet qu'elle ouvrit dans la
foulée. Une fois à l'intérieur, Océane verrouilla la porte et
s'assit sur la cuvette et relevant ses jambes pour qu'elles ne soient
pas visibles de l'extérieur. Si elle restait ainsi assez longtemps,
il serait obligé d'arrêter de la chercher avant que les étudiants
n'arrivent. En attendant, il fallait qu'elle trouve le moyen de se
libérer de ce scotch. À l'aide de ses mains, elle tenta de retirer
les liens de ses jambes, mais elle n'avait plus la moindre force, et
les nombreuses couches que Mégane et Delphine avaient mises
l'empêchaient de faire quoi que ce soit sans des ciseaux ou un
couteau.
Pendant
qu'elle les maudissait intérieurement, Océane entendit alors des
bruits de pas dans le couloir. Il était proche, et elle sentit la
chair de poule la gagner.
- Alors,
petite chienne, tu t'es échappé ? Si tu reviens gentiment vers
ton maître, je promets de ne pas te faire de mal... pas trop en tout
cas. Mais si je dois venir te chercher moi-même, ça va très mal se
passer pour toi !
Sans
s'en rendre compte, la jeune femme retenait mon souffle alors qu'elle
entendait les pas se rapprocher dangereusement de sa cachette. Avec
horreur elle entendit la porte des toilettes s'ouvrir et les pas
s'approcher encore plus. Terrorisée, elle ferma les yeux, espérant
qu'il ne fasse que passer et repartir.
- Salut,
petite chienne.
Océane
releva aussitôt la tête pour voir le visage du concierge l'observer
par-dessus la porte du cabinet.
-
Mfffffh ! Tenta-t-elle de crier, mais elle était définitivement
piégée.
-
Attends-moi quelques secondes, j'arrive.
Puis il
disparut. Elle l'entendit s'affairer devant la porte quelques
instants, puis elle s'ouvrit largement, la laissant sans protection
face à lui.
Avant
qu'elle ait pu faire quoi que ce soit, il fut sur elle et la traînait
dehors en la tenant par les cheveux. Les cris de douleur de la jeune
femme étaient étouffés par le bâillon, et il se semblait pas s'en
occuper le moins du monde.
- Je
t'avais prévenu, maintenant il faut assumer, petite chienne
désobéissante.
Il
traîna sa victime de cette très douloureuse manière tout le long
du couloir jusqu'à revenir à son local. Il la jeta par terre dans
le couloir et y entra, pour en ressortir immédiatement après avec
un tabouret.
- Il
reste plus d'une heure avant que les élèves ne commencent à
arriver, et je te promets que cette heure sera très amusante, pour
moi en tout cas !
Il
s'assit sur le tabouret, et souleva Océane d'un coup pour la coucher
en travers de ses genoux. Au moment où elle devinait ce qu'il avait
en tête, les premières claques commencèrent à tomber. Il frappait
lentement, mais avec une puissance tout autre que sa mère ou les
filles de son équipe de volley-ball. Chaque coup lui faisait
horriblement mal, et ligotée et bâillonnée comme elle l'était,
elle ne pouvait absolument rien faire ou dire.
Peu de
temps après le début de la punition, ses fesses étaient de nouveau
en feu, et la douleur allait en augmentant.
- Tu
sais, commença le concierge, tu as beau être magnifique ligotée
comme ça, je ne peux m'empêcher de me sentir triste à l'idée de
ne pas pouvoir voir ces magnifiques jambes gigoter dans tous les
sens.
Aussitôt
dit, aussitôt fait. Son couteau surgit de sa poche et il découpa
les trois bandes de scotch qui retenaient les jambes d'Océane
solidement prisonnières depuis la veille. Elle ne put profiter bien
longtemps de la liberté, car aussitôt après les claques
recommencèrent à tomber sur ce rythme régulier et horriblement
douloureux.
N'étant
plus retenues ensemble par les liens, ses jambes commencèrent
bientôt à s'agiter follement sous les claques. Elle se débattait
tellement qu'elle faillit tomber de ces genoux.
- Bon,
j'ai besoin d'une meilleure prise il semblerait !
En même
temps qu'il disait ces mots, il s'empara d'une main ferme du sein
droit de sa victime, le serrant fortement. Et pour être sûr, il
bloqua une de ses jambes sous la sienne, et passa son autre jambe
entre les miennes pour aller bloquer l'autre, les immobilisant ainsi
largement écartées.
Totalement
immobilisée, elle ne put que subir la suite de sa punition, que sa
nouvelle position avait renouvelée. L'intérieur de mes cuisses en
prirent également pour leur grade, et les claques viraient souvent
au pelotage. Pendant tout ce temps, sa main gauche ne quitta pas sa
prise sur son sein, qu'il serrait fortement pour la maintenir en
place. Les claques étaient de plus en plus fortes, et aucune partie
n'était épargnée. Il frappait autant les fesses que les cuisses
que l'intérieur de celles-ci, et bien qu'elle ne puisse pas les
voir, elles devaient être d'une uniforme couleur rouge.
Son
bâillon, plus efficace que jamais, étouffait tous ses cris de
douleur, mais ses gémissements devaient grandement exciter son
tortionnaire au vu de la bosse déformant son jeans qu'elle sentait.
Quand à ses mains, elles ne l'aidaient pas vraiment, ligotées comme
elles l'étaient. Les larmes de douleur coulaient à présent sans
retenue sur ses joues, et la souffrance lui avait fait oublier toute
dignité. Océane se tortillait de toutes ses forces, mais il la
retenait fermement et elle ne put pas bouger d'un pouce de la
position humiliante qu'il lui avait infligé.
Les
secondes passaient comme des minutes, et les minutes comme des
heures. Après ce qui lui semblait être des heures et des heures de
torture, Océane sentit les claques s'espacer de plus en plus, puis
finalement s'arrêter.
- Et
c'est tout le temps que bous avions, conclut le concierge en me
pelotant une dernière fois sans la moindre vergogne. Rentre
là-dedans, et débrouille-toi pour le reste.
Puis,
sans la moindre délicatesse il la poussa de ses genoux pour qu'elle
aille s'écraser par terre dans un gémissement de douleur, avant de
la traîner dans son local, où il l'abandonna avant de tourner les
talons et de partir en fermant la porte derrière lui, la laissant de
nouveau dans le noir.
Fini...
c'est fini...
Cette idée ne réconfortait que très peu la jeune femme humiliée
et, roulée en boule dans ce local sombre, elle éclata en sanglots.
elle ne sut pas combien de temps elle resta ainsi, prostrée, à
pleurer toutes les larmes qui restaient dans son corps meurtri, mais
elle finit par reprendre le contrôle de son corps et de son esprit,
pour tenter de se libérer. Ses pieds étaient désormais libérés,
et elle put donc rejoindre le bureau du concierge, pour y trouver un
cutter posé dans un coin. Elle s'en empara, et après de nombreuses
tentatives qui faillirent lui coûter de nombreuses coupures, la
jeune femme réussit à couper le scotch.
Enfin libérée, elle s'attaqua alors à la tâche la plus longue, et
la plus douloureuse, enlever son bâillon. Mégane et Delphine
avaient en effet fait plusieurs tours de scotch autour de sa tête,
et le retirer ne se ferait pas sans douleur. Elle s'y attela
lentement et prudemment, et après de longues minutes d'effort et de
douleur, elle enleva la dernière ligne de scotch qui recouvrait sa
bouche. Je recracha aussitôt la culotte sale qui était dans sa
bouche depuis bien trop longtemps.
Sa bouche était horriblement sèche et elle mourait de soif.
Heureusement le local du concierge possédait son propre lavabo,
auquel elle but pendant de longue minutes pour étancher sa soif.
Après cela, elle jeta un regard à ses fesses, pour voir qu'en effet
la douleur déchirante qu'elle ressentait était bien représentée
par une couleur rouge sombre équitablement répartie sur toutes la
longueur de ses cuisses, et en écartant ses fesses elle vit que même
cette partie n'avait pas du tout été épargnée, ce qui expliquait
en partie sa souffrance.
Océane
vit
alors dans le coin de la pièce une pile de tissus qui attira mon
attention. Elle
s'approcha
pour voir que Mégane et Delphine lui
avaient laissé des vêtements
avant de partir. Tout d'abord surprise par cet acte de pitié, elle
comprit
rapidement leur pensée ne voyant que ces vêtements se constituaient
d'une mini-jupe et d'un petit débardeur, et qu'il n'y avait pas la
trace du moindre sous-vêtement. Elle
savait
qu'elle aurait
l'air d'une prostitué habillée de la sorte, surtout que la jupe
très courte ne couvrirait pas la rougeur de ses
cuisses et peu celle de ses
fesses, mais c'était
toujours mieux que de rester nue.
Après avoir enfilé les habits, la jeune femme se demanda ce qu'elle
ferait ensuite. Impossible pour elle d'aller en classe dans cette
tenue, pas après ce qui s'y était passé. Elle attendit donc que le
premier cours de la journée commence, et quand elle fut sûre que
les couloirs seraient vides elle sortit du local et se dirigea vers
la sortie de l'école. Une fois dehors, elle prit une longue
respiration pour se calmer et décider de quoi faire ensuite. Elle ne
pouvait pas rentrer chez elle, c'était une évidence, et se balader
dans les rues serait très humiliant.
Mais
elle
n'avait
pas le choix. Elle
marcha pour le moment dans la rue, sans trop savoir où aller et en
tentant d'éviter les regards surpris ou grivois des passants. Elle
s'arrêta
dans le premier café qu'elle
vit,
et s'installa
dans le fond de la salle. Elle
n'avait
pas d'argent sur elle,
et elle
prétexta attendre un ami pour pouvoir rester sans consommer.
Plongée dans ses pensées moroses, la jeune femme resta de
nombreuses heures à cette place, jusqu'à s'endormir. Elle fut
réveillée par la serveuse qui lui indiqua que si elle voulait
rester plus longtemps il fallait commander quelque chose. Elle vit
alors l'heure, il était 15:20. Océane se leva alors en tentant de
cacher sa tenue indécente au mieux, et pris le chemin de la maison
en se disant qu'en partant à cette heure elle éviterait le flot
d'étudiants qu'elle ne tenait absolument pas à croiser. Océane fut
chez elle une vingtaine de minutes plus tard, mais elle patienta au
coin de la rue, afin de faire croire qu'elle revenait de l'école. Sa
mère ne devait pas la voir dans cette tenue, il fallait qu'elle
rentre discrètement, qu'elle aille dans sa chambre et qu'elle se
change.
C'est alors que quelque chose lui vint à l'esprit. Elle n'étais pas
rentrée de la nuit, et n'avait absolument rien dit à sa mère, qui
devait être folle d'inquiétude. Inquiétude qui ne tarderait pas à
se transformer en rage quand elle la verrait.
Terrorisée, elle ouvrit lentement la porte de la maison, et se
dirigea le plus silencieusement possible vers l'escalier. C'est en
posant le premier pieds sur une marche qu'elle entendit le bruit
qu'elle redoutait le plus en ce moment, le raclement de gorge de sa
mère.
La jeune femme terrorisée se retourna lentement pour la voir, face à
elle, lentement taper son pieds sur le sol.
- Où. Étais. Tu. Jeune. Fille !
- Je... je....
- Tu avais complètement disparue ! J'ai failli appeler la
police, et je l'aurais fait très bientôt ! Donc, où
étais-tu ?
- J... j'ai passé la nuit avec des amies. Ça été décidé à la
dernière minute et j'ai oublié de te prévenir, désolé.
- Tu es peut-être majeure, mais tant que tu vis sous mon toit, il y
aura des règles à respecter, et... mais qu'est-ce que c'est que
cette tenue ?
Paniquée, Océane n'eut pas d'autre choix que de s'approcher.
Stupéfaite, sa mère était bouche-bée devant la mini-jupe et le
petit débardeur très vulgaire. Heureusement, les marques rouges
avaient disparues au cours de la journée, mais elle ne put que
remarquer l'absence de culotte. Quand elle le remarqua, elle poussa
un petit cri et s'approcha de sa fille pour vérifier son top, et
voir qu'elle ne portait pas de soutien non plus.
- Mais... qu'est... qu'est-ce que cela veut dire ?
- J... je.... eh bien...
Elle ne savait absolument pas quoi dire pour expliquer cela, et finit
par se murer dans un silence qui poussa sa mère à s'imaginer mille
scénarios.
- Ma fille... une traînée ! Je peux t'assurer que ta punition
sera exemplaire !
Océane sentit la sueur couler dans son dos, elle ne pourrait pas
supporter une des fessées de maman maintenant, pas après tout ce
qui lui était arrivé !
- Mais pas ce soir, finit-elle fermement. Va dans ta chambre et mets
des vêtements décents ! Puis tu y resteras toute la soirée,
tu ne souperas pas ce soir !
À
cette remarque Océane
entendit
son
estomac gronder. En effet elle
n'avait
rien mangé depuis hier midi, et son
ventre criait famine, mais
préférant ne pas provoquer sa
mère, elle
choisit
sagement de lui obéir et de monter dans sa
chambre. Une fois couchée
dans son
lit, elle
s'endormit
aussitôt, plongeant dans des cauchemars d'humiliation et de
douloureuses fessées.
xXx
Plusieurs
jours avaient passé depuis ce jour horrible, qui avait
définitivement marqué à vie la pauvre Océane. La première chose
qu'elle avait faite fut de quitter l'équipe de volley-ball. Elle
apprit ensuite avec satisfaction qu'elles n'avaient pas réussi à
trouver de joueuse remplaçante et avaient été écrasées durant
leur dernier match. Quant à Océane, elle était définitivement
retournée dans l'ombre, évitant au maximum les filles et les
garçons de l'équipe de volley-ball, et plus que tout l'horrible
concierge qui l'avait tant tourmentée. Sa mère ne lui avait plus
reparlée de sa punition, et elle en était presque venue à l'idée
qu'elle l'avait oubliée.
La jeune
femme était étendue sur son lit, occupée à lire un roman quand
elle entendit sa mère toquer à la porte avant d'entrer.
- Viens
Océane, j'ai organisé un barbecue, tout le voisinage est présent,
il ne manque plus que toi.
- Non,
ça m'intéresse pas, je préfère rester ici et lire.
- Sauf
que je n'ai pas demandé ton avis, trancha-t-elle durement, je t'ai
dit de venir donc tu viens.
La jeune
femme soupira longuement en posant son livre sur son lit. Elle aurait
du s'en douter, elle devra passer tout l'après-midi à sourire et à
faire semblant de trouver les enfants insupportables des voisins
charmants tout en mangeant des saucisses trop cuites. Super !
Elle la
suivit jusqu'au jardin, où une quinzaine de personnes étaient déjà
occupées à manger et rire. Elle passa ensuite les prochaines 10
minutes à faire la bise, à féliciter des couples heureux et à
trouver trop mignons des enfants plus intéressés à l'idée de
toucher sa poitrine qu'à la saluer.
Elle
s'empara ensuite d'une saucisse brûlante et se mit à manger sans
appétit. Océane s'approcha discrètement de Jacob, le beau voisin
un peu plus vieux qu'elle qui lui faisait mine de rien beaucoup
d'effet, il fallait bien l'avouer. Alors qu'elle allait engager la
conversation avec lui, elle entendit alors un tintement de verre. La
jeune femme se retourna pour voir que sa mère avait tapoté son
verre de sa fourchette pour attirer l'attention de tous.
-
Bonjour à tous, et merci d'être venu aussi nombreux, et d'avoir
amené vos adorables enfants avec vous. La raison pour laquelle j'ai
organisé cette rencontre, en plus de votre charmante compagnie
évidemment, (la remarque fut saluée d'une salve d'applaudissements)
est de procéder à une justice.
Tous
froncèrent les sourcils, et Océane sentit la peur monter en elle au
fur et à mesure qu'elle comprenait ce que sa mère voulait dire.
- Ma
très charmant fille Océane ici-présente m'a fait une peur bleue il
y a de cela plusieurs jours maintenant. Quelques jours après que je
l'aie surprise en train de fumer dans ma maison, cette jeune femme
n'est tout simplement par revenue de la nuit à la maison, et je n'ai
pas eu la moindre nouvelle d'elle avant son retour de l'école le
lendemain soir !
Des
murmures parcouraient déjà l'assemblée, et les regards
désapprobateurs se faisaient nombreux.
- Quand
je l'ai confrontée, elle m'a bêtement répondue qu'elle avait passé
la nuit avec des amis, et qu'elle avait « oubliée » de
me prévenir. J'ai ensuite remarqué un détail plus que choquant...
ma fille ne portait ni culotte si soutien-gorge sous des vêtements
plus que vulgaires et révélateurs !
Cette
fois, les murmures se firent assassins, et les remarques se firent
nombreuses à son égard. Quant à Océane, la rougeur qui s'empara
de ses joues n'aida pas à défendre son cas.
- Et en
plus de tout cela (le silence retombe aussitôt) j'ai reçu le
lendemain un appel de l'école me disant que ma fille ne s'était pas
présentée en cours cette journée-là ! J'ai appris que malgré
l'éducation que je lui ai octroyée, ma fille est une ingrate,
menteuse, irresponsable et irrespectueuse traînée !
Le
dernier mot finit de mettre le feu aux joues de la fille en question,
alors que tous les regards se tournaient vers elle, et aucun n'était
amical.
- As-tu
quelque chose à dire pour ta défense ?
Océane
savait qu'elle n'avait rien à dire, car la vérité serait encore
pire que ce qu'ils imaginaient, et préféra donc garder le silence,
qui fut compris par tous comme un silence coupable.
-
Maintenant que l'accusée est jugée coupable, je propose que la
sanction soit appliquée immédiatement !
Cette
décision fut approuvée par tous, et la punie chercha sans succès
un échappatoire.
-
Puisque tu aimes tant t'exposer Océane, pourquoi ne retirerais-tu
pas tes vêtements toi-même ? Je ne suis pas un monstre, tu
peux garder tes sous-vêtements, mais tout le reste s'en va.
La jeune
femme portait un short et un T-shirt, et refusait catégoriquement de
les enlever devant tous ces gens, surtout les enfants bien plus
jeunes qu'elle qui ne rataient rien du spectacle.
- Vous
êtes tous complètement fous ! S'écria-t-elle, vous pouvez
toujours rêver pour que j'exauce vos rêves lubriques !
Sur ces
mots, elle tourna les talons et se dirigea d'un pas rapide vers la
maison, mais elle ne put pas aller très loin. Quelques secondes à
peine plus tard, une poigne ferme lui attrapait les bras et les lui
ramenaient brusquement dans le dos. Elle vit avec une chavirement au
cœur qu'il s'agissait du grand et beau Jacob qui la retenait ainsi
fermement.
Océane
était maintenant au milieu des invités, et elle sentait la tension
monter de plus en plus alors qu'ils se rapprochaient d'elle en
cercle. La jeune femme se débattait et criait, mais elle ne reçut
aucun signe de pitié. Certains étaient réprobateurs envers son
attitude, et d'autres, surtout les plus jeunes, semblaient très
excités par la tournure des événements.
Sa mère
s'avança vers Océane et la gifla violemment, ce qui eut pour effet
immédiat de faire cesser toute résistance.
-
Silence ! Si tu ne peux pas agir en adulte responsable, tu seras
traitée comme une petite fille !
Sur ces
mots, elle s'approcha encore plus, elle déboutonna le short de sa
fille et le fit glisser lentement le long de ses jambes avant de lui
faire lever un pied, puis l'autre pour le retirer. Océane savait sa
situation désespérée, et une quelconque résistance ne ferait
qu’aggraver son cas.
Comprenant
le message silencieux de sa mère, Jacob lui fit lever les bras en
l'air afin que sa mère puisse faire glisser le T-shirt et s'en
emparer également. La jeune femme se retrouva donc en sous-vêtements
au milieu d'une foule de ses voisins, donc certains bien plus jeunes
qu'elle qui semblaient au bord de l'extase.
- C'est
ainsi que tu aurais du recevoir ta punition, déclara sa mère sans
la moindre pitié, mais puisque tu as été incapable d'accepter ta
punition avec dignité, je ne vois pas pourquoi tu la recevrais avec
dignité !
Avant
que sa fille ait pu comprendre ce qu'elle voulait dire, sa mère
profita du fait que Jacob tienne encore ses bras en l'air pour
dégrafer d'un geste habile son soutien-gorge et le lui retirer du
même geste. Océane recommença alors à se débattre, ce qui
n'empêcha pas sa mère de s'emparer de sa culotte et de la faire
glisser jusqu'au sol, avant de ne me l'enlever.
Paniquée,
Elle se rendit compte qu'elle était nue comme un ver face à toutes
ces personnes, et que ses bras retenus dans mon dos l'empêchaient
non seulement de me couvrir, mais faisaient pointer ses seins en
avant d'une manière très suggestive. Sa toison n'était pas plus
camouflée aux regards.
- C'est
bien comme ça que tu aimes de promener dans la rue, non ?
Jacob, veux-tu bien la mettre en position ?
Sans
perdre plus de temps, Jacob se retourna, entraînant sa prisonnière
avec lui, et après que les autres voisins aient débarrassé la
table de jardin, il la pencha dessus, bombant ses fesses par la même
occasion, ses bras toujours maintenus dans son dos.
La
tentative d'Océane pour garder ses jambes le plus serrées possibles
fut bien vite réduite en cendres par sa mère qui l'enjoignit du
genou à écarter les jambes. Désespérée, elle obéit tout en
ayant une parfaite idée de ce qu'elle offrait ainsi, de nouveau.
Tout recommençait ! Elle devait être plus que maudite pour se
retrouver dans ces situation de manière aussi régulière !
Mais
avant qu'elle ait pu s'étendre plus sur sa malchance presque
surnaturelle, Océane sentit que sa mère était sérieuse quand elle
s'empara immédiatement de sa brosse en bois fétiche.
- Tu m'as fait
attendre 24 heures sans me donner de nouvelles, cela te fait donc 24
claques. Puis tu es revenue sans tes sous-vêtements sans pouvoir me
donner d'explication, cela double ton nombre de claques à 48. Puis
tu as séché l'école, cela double ton nombre de claques à 96. Puis
finalement, le pire de tout, tu m'as menti en ne me le disant pas, ce
qui double ton nombre de claques à 192.
À l'écoute de ce
nombre ahurissant, Océane sentait déjà ses fesses lui faire mal,
comme une préparation pour ce qui allait suivre.
- Nous sommes 12
personnes majeures en droit de donner en fessée à cette jeune
femme. Je propose que nous lui donnions chacun 16 coups pour arriver
au juste total.
Toutes les
personnes concernées acceptèrent avec enthousiasme, et les mineurs
protestèrent à grands bruits, sans résultats.
Sa mère prit le
premier tour, et donna à Océane ses 16 coups de brosse avec sa
minutie habituelle. La douleur fut très brève à venir, et ses
premiers gémissements de douleur arrivèrent déjà. Quand elle eut
fini sa besogne, sa mère fut immédiatement remplacée par un homme
d'une cinquantaine d'années.
Celui-ci refusa
poliment la brosse, et préféra s'emparer de sa large ceinture de
cuir. Rien que sa vue arracha un petit cri à la punie, et le premier
coup lui arracha une longue plainte de douleur. Sans montrer la
moindre pitié, il continua sa besogne et au bout des 16 coups, ses
fesse étaient déjà bien rouges.
- Elle crie trop
fort, intervint une jeune mère, elle réveille mon bébé !
- Tu n'as pas
honte, se moqua un des voisins en s'approchant d'Océane, attends
j'ai un bonne idée. Il emprunta le foulard de sa femme, et
s'approchant de la jeune femme le lui enfonça dans la bouche avant
de le serrer fortement derrière sa tête, étouffant ainsi ses
futurs cris de douleur.
- Bonne idée, le
félicita la mère, tu veux prendre le prochain tour ?
Celui-ci accepta
avec joie, et préféra donner ses 16 coups à la main. Les cris et
gémissements d'Océane étaient désormais en grande partie absorbés
par le bâillon qui, bien que plus confortable que le dernier qu'elle
avait porté, augmentait considérablement son niveau d'humiliation.
Les personne
s'enchaînaient derrière elle pour pouvoir donner leur dose de
claques. Certains utilisaient leurs mains nues, d'autres la brosse de
bois, un homme utilisa même sa chaussure. Mais le plus douloureux
restait la ceinture, qui laissait de profondes marques dans la peau.
Les 192 coups
finirent par être tous donnés, et à la fin, la jeune femme se
reposait entièrement sur la table, car ses jambe défaillaient.
Aucune partie de ses fesses ou de ses cuisses n'avait été épargnée,
et plus les coups avançaient plus elle avait du écarter les jambes
pour ne pas tomber, en dévoilant toujours plus à ces gens qui
n'auraient jamais du en voir autant, tout cela sous les acclamations
des enfants qui se régalaient du spectacle.
Sa mère la
redressa alors, et son premier réflexe fut de protéger sa touffe
d'une main et sa poitrine de l'autre, mais sa mère s'empara de ses
mains et la força à les laisser le long de son corps. Océane
voulut ensuite enlever ce bâillon ridicule, mais une nouvelle claque
l'en découragea.
- Jeune fille, si
tu crois que ta punition est terminée, tu es loin du compte !
Il est encore tôt et il reste beaucoup de viande à manger ! Ce
barbecue est loin d'être terminé, et tu vas rester ici, à cet
endroit précis jusqu'à ce que je dise autrement. Compris ?
Matée, sa fille
hocha doucement la tête en retenant ses larmes.
- Non, intervint sa
mère, par comme ça, ce n'est pas ainsi que se tient une fille
punie.
Elle s'approcha de
la punie et lui croisa les mains derrière la tête. Sur sa lancée,
elle poussa ses coudes en arrière, ce qui eut pour effet immédiat
de mettre ses seins considérablement en avant. Ne s'arrêtant pas en
si bon chemin, elle lui fit écarter largement les jambes, et après
qu'elle ait baissé la tête de honte, elle la lui redressa et la
força à regarder les gens dans les yeux.
- Tu resteras
ainsi, et si tu bouges ne serais-ce que d'un cheveu, tu es repartie
pour une nouvelle fessée à nouveau doublée, c'est-à-dire 384
claques !
Terrorisée, Océane
se jura que peu importe ce qui arriverait, elle resterait
parfaitement immobile. Sa mère lui retira alors son bâillon humide.
- Et si tu n'émets
ne serais-ce qu'un son, même chose, d'accord ?
Muette et immobile,
Océane ne savait pas comment répondre à sa mère qui se contenta
de son silence. Puis elle retourna vers les voisins en souriant.
- Voilà, cette
petite fête peut continuer. Ne faites pas attention à elle, elle
n'est qu'une statue décorative !
Totalement humiliée
et exposée, Océane vit du coin de l’œil des ombres s'approcher
de moi. Sans oser se retourner, elle vit alors les 4 enfants
s'approcher d'elle, menés, bien évidemment, par sa peste de sœur
Camille, accompagnée de trois garçons de son âge.
- Tu es sûre ?
Demanda un d'eux.
- Bien sûr, elle
n'osera rien dire, et comme maman l'a dit, elle est juste une statue
décorative, qu'est-ce que tu risques ? Le but c'est de la faire
réagir. Si elle ne bouge que d'un poil, on a gagné !
À la fois enragée
et horrifiée, la jeune femme vit les petits monstres s'approcher
lentement d'elle. Tout d'abord timides, ils gagnèrent rapidement en
confiance en la chatouillant absolument partout où leurs mains
pouvaient se rendre. Camille leur apprit que les seins étaient une
partie particulièrement sensible, et ils se concentrèrent dessus.
Heureusement elle
n'était pas vraiment chatouilleuse, mais le fait d'être tripotée
ainsi par des jeunes la mettait extrêmement mal à l'aise, et cette
peste de Camille ne perdait rien pour attendre ! Quand ils se
rendirent compte que les chatouilles ne servaient à rien, ils
commencèrent à lui donner de petites fessées. Ils étaient tous
les quatre regroupés derrière elle à la fesser sans pour autant
lui causer de grande douleur, quand Camille prit la parole.
- Attendez, je vais
vous montrer quelque chose.
Puis, comble de
l'horreur, elle s'empara d'une de ses fesse dans chacune de ses mains
et les écarta.
- Là elle devrait
réagir, commenta-t-elle alors que je sentais les regards des garçons
bloqués sur mon intimité que je ne pouvais en rien dissimuler.
Au même moment,
les parents des enfants les appelèrent pour rentrer à la maison.
Extrêmement déçus, il donnèrent chacun à Océane une dernière
fessée avant de partir rejoindre leurs parents. Quant à la punie,
elle n'avait ni bougé ni parlé, et elle vis à son regard que
Camille en était extrêmement mécontente, ce qui représentait son
seul élément de joie de la journée.
Enfin tranquille,
elle resta ainsi au total de nombreuses heures, le temps que tous
finissent de discuter et se décident de rentrer. En passant à côté
d'elle, Océane eut droit à des commentaires réprobateurs,
moralisateurs, grivois et même à quelques caresses ou claques.
Quand tous furent
partis, elle n'osa quand même pas bouger avant que sa mère n'arrive
finalement et lui adresse la parole.
- C'est bon, tu
peux bouger. Maintenant tu vas tout ranger, et quand tu auras finie
tu iras directement dans ta chambre, je ne veux pas te voir de la
soirée.
Quittant enfin
cette position humiliante, Océane dut faire de nombreux aller-retour
entre le jardin et la maison pour ramener toutes les assiettes. Quand
tout fut propre, elle ne se fit pas prier pour courir dans sa chambre
en sanglotant de cette nouvelle journée d'horreur.
Océane ne savait
pas ce qu'elle avait bien pu faire pour hériter d'autant
d'humiliations, mais elle ne pouvait qu'espérer que celle-ci était
bel et bien la dernière, et qu'elle n'aurait plus jamais à se
montrer nue de cette manière.